Sexe: masculin

Lieu et date de naissance: Kostroma (Russie)

Race: Lycanthrope

Date de naissance: 20/07/1972


Apparence physique:

Stasi fait 1 mètre 85 pour 80 kilogrammes. Il n’est pas imposant, même si après avoir été mordu il a gagné en stature.
Avec le temps, la garde robe du doc c'est étoffé. Alors qu'a ses début vous le croisiez qu'en chemise jeans, il n'est maintenant pas rare de le voir dans une tenue plus élaborée. Pantalon noir, chemise blanche et veste noir. Il lui arrive souvent d'avoir une barbe naissante, un coté négligé du a ses fonction de chef de médecine de plus en plus prenante.
En générale, le doc reste élégant sans être trop voyant.

Enfin, lorsqu'il n'est pas en conflit avec son lycan et que ses yeux ne sont pas dorés, Il a les yeux vert clair et un regard assez expressif.

Alors que Stasi sous forme humaine, est souple, agile et rapide, son Lycan lui est massif, imposant et peut paraître lourdaud. Il a un pelage très foncé, presque noir.

Signes distinctifs

Il porte toujours des chemises à manches longues pour cacher la cicatrice qu’il a sur l’avant-bras gauche. De plus il se ballade avec deux poignards aux lames argentées, accrochés à sa ceinture (dans le dos, cachés par sa veste).
Pour les personnes l’apercevant torse nu, ils pourront contempler trois imposantes cicatrices (La première partant du Deltoïde gauche et se finissant en bas à droite du grand pectoral, la deuxième allant de l’oblique externe droit à l’oblique externe gauche de l’abdomen et enfin la dernière allant du tenseur fascia latta droit à l’oblique externe gauche de l’abdomen).



Le doc est une personne avec un fond gentil. Le genre de personne qui était au mauvais endroit au mauvais moment. Individu timide et peu sociable avant sa transformation et son arrivé à Galway, Stasi a beaucoup changé au fil des différentes expériences qui lui sont arrivés. Plus posé, le petit légiste est devenu chef de clinique. Il à troqué les calme des morgues pour les blocs animé ou encore les réunions interminables pour gérer sa clinique.
Le doc à le coeur sur la main, et il sera le premier à venir vous aider. Sa gentillesse et sa curiosité l'ont d'ailleurs constamment causé des problèmes.
C'est aussi un bon vivant qui ne dit jamais non à une soirée au bar ou au restaurant.

Une constante cependant, le doc déteste son lycan, n'arrivant pas encore à totalement ce contrôler, il craint ce changement d'état. Même si maintenant il arrive à ce souvenir de certaines parties de la soirée, et d'avoir qu'une influence limitée sur sa bête cet reste pour lui insupportable et il est près a tous pour en finir avec sa lycanthropie, allant jusqu'à être le cobaye de ses propres expériences!


Chapitre 1, Mes débuts

Je suis né dans une petite ville sans prétention, à l'Est de Moscou. On ne peut pas dire que mon enfance fut difficile, mon père et ma mère étaient propriétaires de plusieurs magasins de vêtements, le genre chics et chers qui font fureur auprès des « jeunes branchés ». Je ne manquais de rien, je pouvais même dire que j'étais un peu trop gâté. Les seuls souvenirs, « traumatisants » que je garde de mon enfance sont des crises dues à des caprices auxquels mes parents n'avaient pas voulu se plier. Chose qui était relativement rare je dois dire.

Cependant, et d'après eux, j'étais un enfant relativement éveillé pour mon âge. Curieux, cherchant toujours à comprendre, possédant un esprit « très vif » pour reprendre leurs propres termes.

Chose marrante, mes parents, semblèrent ne pas avoir totalement tort. Je n'eus en effet aucune difficulté à obtenir d'excellents résultats durant la première partie de ma scolarité. Fier de leur progéniture ils décidèrent de prendre en main mon avenir. Après mon bac, selon leurs dires j'intégrerais une faculté de médecine afin de devenir un brillant chirurgien.
Je ne pourrais les blâmer, car je dois dire qu'à cette époque de ma vie j'étais plutôt passif et acquiesçais à tous ce qu'on me disais sans forcément réfléchir aux conséquences. Dans ma petite bulle, dans ma petite vie confortable, profitant d'un confort matériel non négligeable, je me laissais facilement influencer par les longs discours de mes parents. je n'avais même pas fait l'effort de me projeter, laissant passivement « les adultes » prendre ces importantes décisions, modeler mon futur à leurs guises.

A l’âge de 17 ans après une scolarité brillante due à un rythme de travail assidu, peu de sorties et encore moins d’amis, j'intégrais une des facultés de médecine de Russie les plus cotées. Je n'eus, comme d'habitude, aucun problème avec la théorie. Apprendre par cœur des noms de muscles, d'os, de maladies, cela ne me posait que peu de problème. Cependant ce fut une tout autre histoire avec la pratique. Je ne dirais pas que j'étais maladroit. Seulement entre savoir quoi faire pour sauver une vie, et le faire, sous la pression, sous la crainte de perdre le patient si l'on ne s'exécute pas assez rapidement, pas assez précisément... Sans doute trop de pression... Aujourd'hui, avec un peu de recul, je pense que j'étais tous simplement trop jeune, trop immature pour faire face à ce genre de responsabilité. Ce fut donc un véritable échec, et je finis par me rendre compte que jamais je ne deviendrais médecin, au grand désarroi de mes parents. Heureusement, un de mes professeurs me conseilla de changer de branche. D'après lui, mis à part ce stress je demeurais un excellent étudiant, habile et intelligent. Je changeas donc de spécialisation et devint donc un médecin... Légiste.

Chapitre 2, le changement

Je devins donc un légiste réputé, m'installant dans la capitale, exerçant pour la criminelle. Je dois avouer que durant ces deux premières années, je me suis assez étonné de la formidable imagination, de l'impressionnante inventivité que l'homme avait pour s'autodétruire. Avec quel ingéniosité, avec quel vice, il arrivait à mettre fin à ses jours, ou aux jours de ce qu'il considérait comme son rival. C'est en étudiant des cadavres que finalement j'en ai le plus appris sur l'être humain sur sa véritable nature... Seulement pour être franc je ne m'attendais pas à voir ce que j'ai découvert...

J'avais alors à l'époque 25 ans, j'étais légiste depuis un peu plus d'une année, et j'avais déjà vue plusieurs dizaines, voir plusieurs centaines de cadavre,s mais jamais comme celui qu'on me présenta ce soir... D’après le rapport des inspecteurs, cela devait être un règlement de compte qui aurait fini en véritable boucherie. La victime aurait été « balancée aux chiens ». En effet, le corps avait été déchiqueté, réduis en charpie. Reconnaître les différents organes, les différentes parties étaient déjà extrêmement laborieux. Mais après l'étude des restes, après avoir analysé les marques de morsures sur les fragments d'os, pour moi cela ne pouvait provenir de chien. Les traces étaient trop grandes, les dégâts trop importants...
Je ne sais pas si la lecture assidue de livres, de bandes dessinés, ou encore de bons nombres de films dont le thème est la fantasy, mais je dois avouer qu'à cet époque, j'avais élaboré bon nombre de théories, plus extravagante les unes que les autres, afin d'expliquer la cause de ces morsures. Bien entendu, je n'en faisais part à personne dans mon entourage, conscients que je serais sans doute pas compris... Passant déjà pour un original, notamment à cause de mon absence de vie sociale, parler de mes élucubrations ne m’aurait sans doute pas été favorable. Seul mon meilleur, ou plutôt mon seul ami était au courant de mes idées, de mes hypothèses sur cette affaire. Aldrich Dzerjinski était un légiste, et lui aussi appréciait particulièrement la fantasy. Je pouvais donc me laisser aller à mes histoires en sa présence.
Un matin, alors que j'allais pour la énième fois me pencher sur les morceaux de ce corps, j'eus la surprise de ne pouvoir que constater leurs disparitions, ainsi que celle du dossier concernant cette affaire. En Russie, la disparition de preuves compromettantes était chose courante, la police, les médecins, tous étaient corrompus. Mais pour cette affaire, je ne voyais absolument pas l'intérêt de récupérer ces morceaux de chair, dont nous avions rien obtenus, même pas l'identité de la victime... Ce que je peux dire c'est que la journée fut longue. Ne voulant pas en rester là j'ai fais tous ce qui était en mon pouvoir pour tenter de réécrire le dossier, heureusement que j'avais une bonne mémoire. Mais ce fut assez long et laborieux... Ce soir, alors que je quittais la morgue, la nuit était déjà tombée depuis longtemps...
Ce soir là, afin de rentrer plus vite à mon domicile, j'avais décidé de prendre un raccourci, passant par des ruelles quelques peu malfamées mais me faisant gagner je dirais bien 20 minutes de trajet.
J'ai mis quelques minutes pour me rendre compte que j'étais suivi. L'individu, était à distance raisonnable, et il m'était difficile de le détailler avec précision, me contentant de rapidement tourner la tête pour l'apercevoir, pour vérifier qu'il me suivait. La seule chose que je pouvais affirmer, et ce malgré la distance, était que l'inconnu était grand, massif. Au bout de quelques minutes, j'ai commencé à prendre des embranchements au hasard, essayant de sortir de ces sombres et étroite ruelles, essayant de croiser du monde... Mais c'était peine perdue, et je sentais l'inconnue se rapprocher. Sans réellement savoir pourquoi, j'ai finalement décidé de faire face, dans un élan de bravoure, ou plutôt de bêtise. Je dois avoué que sur l'instant j'avais secrètement l'espoir de me tromper, de voir cet inconnu passé a coté de moi comme ci de rien était.
Ce ne fut pas le cas, l'étranger s'arrêta également, me fixant. C'est à ce moment précis, que je pus dévisager cette personne. Je ne savais pas si mon imagination influençait mon jugement mais ce ne pouvait pas être un homme, plutôt un animal, seulement il paraissait grand, trop grand pour un animal. Je crois que c'est précisément à ce moment là que j'ai réalisé, que j'ai compris face à quoi j'étais. Un loup garou, j'en étais persuadé. Durant les premières secondes, je dois avouer que j'ai ressenti une immense joie, pouvoir prouver que mes hypothèses s'avéraient fondées, que ces individus existaient, ce fut mon coté « scientifique » qui s'exprima en premier. Mais ce coté la fut bientôt submergé par une profonde angoisse. La phrase « j'étais face d'un loup garou » prenait maintenant un tout autre sens. Surtout quand la bête, d'un coup, s'élança à mon encontre.
Je n'eus que le temps de positionner mon bras gauche devant mon visage... Protection illusoire, et j'entendis mon radius se briser net sous l'effet de la phénoménale pression exercée par la mâchoire du monstre. Poussé par la violence de l'attaque, et dans un hurlement de douleur, je trébuchas et perdis connaissance.

Chapitre 3, les enfers

Je me suis réveillé à l'hôpital, groggy, une violente douleur au bras. On m'expliqua que des gens avaient été alerté par mon hurlement, et qu'apparemment ils avaient fait fuir « le gros chien » qui m'avait attaqué. Sur le moment j'ai douté.
J'ai douté de mes souvenirs, me demandant si je n'avais pas affabulé, romancé l'histoire, influencé par mes lectures... Malgré tout, une fois sortit de l'hôpital, je me suis directement dirigé chez mon ami, Aldrich, dans le but de tous lui raconter.

Étrangement, mon ami accorda un grand intérêt à mon récit. Il se mit à fixer avec insistance mon bras blessé, à tel point que cela finit par me mettre quelque peu mal à l'aise. Prétextant être fatigué, j'ai voulu lui fausser compagnie. Mais alors que je pris la direction de la porte, afin de quitter son appartement, je sentis une violente douleur au niveau de la nuque et plongea de nouveau dans une profonde inconscience.
Le réveil fut difficile. J'étais nauséeux, à demi conscient. Cependant, il me fallut pas beaucoup de temps pour me rendre compte que j'étais enfermé dans une grande cage, dont les barreaux brillaient anormalement, ils semblaient être fait d'argent... La cage était rectangulaire. Elle faisait 4 mètres de long et 2m.50 de haut et était située dans une vaste pièce qui ressemblait à une salle de torture du moyen-âge. On pouvait apercevoir une impressionnante quantité d’instruments éparpillés sur deux tables collées au mur. Instrument dont je me servais régulièrement... Durant mes autopsies. Au centre de la pièce on pouvait apercevoir une « table de dissection ». Il n’y avait pas de fenêtre, cette pièce devait être située dans une cave.
C’est à ce moment qu’Aldrich entra, comme fou. Il se mit à tourner en rond en parlant à haute voie sans même me regarder. Encore dans les vapes je n'ai compris que quelques brides de discussion.

« J’en ai enfin un….. »

« on va voir si tu te transformes, si c’est vrai alors je ne serais pas fou….. »

« ….vais t’étudier….preuves irréfutables.. »

« ils ont eu mes parents ces salopards….une boucherie……vengeance enfin…. ….mienne…. »

La suite confirma mes pires craintes. J'avais effectivement été mordu par un loup garou, ces êtres de légende existaient vraiment, et la contamination se faisait bien par morsure. Mon bras fut guérit à une vitesse incroyable, ma force et mon ouïe se développèrent. Je me sentais changer, la sensation était étrange, perturbante... Mais rapidement se fut le dernier de mes soucis. Celui que je considérais comme un ami, devint un bourreau, se servant de moi comme cobaye afin de réaliser grand nombre de test, sur ma résistance, ma régénération, ma capacité à survivre une fois éviscéré... Je ne m'attarderais pas sur cette partie de ma vie, pour la simple raison que rien que d'y faire allusion me rend nauséeux. Il semblerait, qu'Aldrich se soit aussi adonné à des expériences douteuses sur la bête qui maintenant vivait en moi, et qui sortait les soirs de pleines lunes. Je ne peux le garantir, car à ce jour je n'ai aucun souvenir de mes transformations...

Je ne peux dire combien de jours, combien de mois je suis resté enfermé dans cette maudite cage. Mais un soir, Aldrich commis une erreur... Après une de ses énièmes séances de torture, me pensant trop faible, il me détacha de la table et se retourna pour poser ses instruments. Regroupant mes forces, j'en profita pour donner un violent coup sur la tête d’Aldrich qui tomba, inconscient. Péniblement, je l'installas sur la table et l'attachas fermement. Quand il se réveilla, et qu'il réalisa que les rôles avaient changé, Aldrich hurla, et pleura comme un enfant... Ce fut la plus belle dissection de ma vie, et grâce à mes talents et ma précision, mon ami mit plus de vingt minutes avant de mourir sous l'effet de la douleur...

Chapitre 4, l'exode

La suite n'est pas très clair dans mon esprit. Encore aujourd'hui je ne suis pas sur de ce qui c'est exactement passé après. Le seul souvenir clair qui date de cette époque est mon réveil, un an et demi plus tard, dans une clairière inconnue, dans un pays inconnu. J'étais vêtu d'un jean, de basket, d'une chemise et d'une veste. A coté de moi, un sac en toile bleu, contenant de l'argent. Je n’avais qu’une certitude je devais me rendre à Galway.
Les débuts de mon éxode ne furent pas simple, ayant l'habitude de vivre dans un certain confort, le peu de liquidité dans le sac fut rapidement épuisé. J'ai donc du trouver différents moyens pour survivre et continuer mon périple. Je me suis donc servit de mes connaissances en médecine. Lorsque je traversais des villages perdus en pleine campagne, il me suffisait de jouer « au docteur itinérant ». Ainsi contre de l’argent, des objets de valeurs ou tous simplement contre le gîte et le couvert, je soignais les paysans. Il n'était pas difficile de diagnostiquer les gens. En effet en pleine campagne les principales infections étaient :

Grippe/angine/bronchite

Infection/septicémie

M.S.T.

Ou si l’on peut qualifier ça de pathologie (ça dépend si c’était voulu ou non) félicitation vous êtes enceinte!
Je tentais alors, avec les moyens du bord, de limiter la maladie, et je repartais rapidement, avant que l’infection reprenne le dessus. Avec le temps, j'ai perfectionné mes diagnostiques et j'ai finis par devenir un médecin plus que crédible.

La seule véritable difficulté fut finalement de gérer mon coté monstre, mon coté loup. En effet, chaque transformation demeure un mystère pour moi. Je n'ai aucun souvenir de ces soirs de pleine lune, et je ne pouvais que constater les dégâts fait par mon lycan le lendemain. Afin de limiter les risques, avant chaque soir de pleine lune j'essaye de m'isoler le plus possible des habitations, cherchant un bois ou une foret. J'y cache mon sac contenant mes effets, dans un endroit que je pourrais retrouver aisément, je me déshabille afin de ne pas détruire les vêtements que je porte, et j'attends... Généralement je me réveille le lendemain, toujours dans cette foret complètement nu avec les restes de promeneurs imprudents pas trop loin...

Chapitre 5, Galway

Je finis par atteindre cette ville, sans même réellement savoir pourquoi je devais m’y rendre. Fier de ma nouvelle expérience en tant que médecin « non légiste ». J’ai d’abord ouvert un cabinet au noir profitant de la grande quantité de victime dans cette ville ou visiblement la criminalité était omniprésente.
Durant ces mois j’ai appris l’existence de bien d’autre type de créatures, vampire, humain « paranormaux », fantômes… J’ai finis par me passionner par cette univers, et suis devenu un médecin spécialisé dans les espèce « non humaine » et dans les artéfacts mystiques.
Peut être à cause de cette particularité, le dirigeant du parc du Zombillenium, à l’époque nouvellement installé, me proposa de diriger une véritable clinique avec son centre de recherche. Poste que j’ai bien entendu accepté, la lycanthropie restant pour moi un véritable problème, et pouvoir faire des recherches dessus sans doute la meilleure solution envisageable.
Mais en me frottant de trop près à ce que je connaissais pas, je me suis bruler les ailes, et la rencontre avec la caractérielle vampire Llylewin et de son intriguant artéfact, je me suis retrouver a perdre tous contrôle avec mon Lycan, et marié à la reine des maquerelles de Galway.
Et pour couronner le tout, mes transformations en Lycan ont finis par attirer le chef de la police, Andréa qui me force à faire partie d’une milice afin d’éviter la prison pour meurtre.

Aujourd’hui j’ai abandonner la partie recherche de la clinique et exerce mon poste de médecin ne chef à plein temps. Je n’ai cependant pas abandonné l’idée de totalement sceller mon lycan afin de redevenir normal, je pourrais même affirmer que je touche au but…



Comment avez-vous trouvé le forum ? Grace au post de M. B. :p

Le JDR et vous? Idylle récente ou vocation de longue durée? Cela commence à faire un petit temps... Mais je suis pas vieux!

Des questions / remarques avant de vous lancer ? je peux finir les verres sur le nouveau forum?

Fiche terminée^^

*se tient près scalpel en main*

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