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 Grace Broderick

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MessageSujet: Grace Broderick   Grace Broderick Icon_minitimeJeu 3 Nov 2011 - 10:11


Grace, BRODERICK

Sexe: Féminin

Lieu et date de naissance: Millburn, Royaume-Uni, le 24 février 1987

Race: Humaine

Grace Broderick Barre_14

Apparence physique:

Grace possède une silhouette assez ordinaire, de taille moyenne. Plutôt mince, elle a toujours regretté de ne pas avoir plus de formes et a tendance à cacher son corps sous des vêtements souvent très amples. Elle est très frileuse d'ailleurs, plus personne ne s'étonne donc de la voir se balader en permanence avec au moins un foulard et des mitaines. Ses fringues sont faites maison, souvent originales dans la coupe, mais sombres ou ternes dans les couleurs.

Sa carnation est très pâle, et Grace ayant tendance à rougir très vite (parce qu'elle a froid, chaud, qu'elle est gênée, peinée, contente, qu'elle fait un effort, ou qu'elle ne fait rien du tout...) elle a quasiment en permanence les joues rosées, mais d'une belle couleur pleine de santé. Ses yeux bleus très clairs se lovent au fond de son visage et attirent l'attention comme un puits de lumière, donnant à ses traits des airs très juvéniles. C'est en partie pour cela qu'elle a commencé à se piercer ; pour tenter de se donner un air moins innocent et plus adulte. Mais le simple labret qui devait lui donner confiance en elle a finit par devenir une véritable passion du piercing, et elle compte désormais tout un tas de trous sur le corps, langue, oreilles, nez... Prochaine étape, tétons et micro-dermal sur la nuque.

Sportive, Grace aimait se maintenir en forme physiquement ainsi que manger sainement. Sa démarche est souple et ses gestes proches du corps, elle se tient souvent les bras croisés, comme dans un geste de défense. Elle évite généralement de se maquiller, mais prends soin de sa peau et de ses cheveux, qu'elle a longs et brun foncé. Cela, pourtant, c'était avant Galway : depuis, ses cheveux ont terni, elle a pris pour mauvaise habitude de négliger ses repas et son sommeil, palliant avec de l'alcool. Elle est devenue émaciée, sensible et a acquis un physique beaucoup plus nerveux, des yeux souvent dans le vague.


Signes distinctifs

Elle ne l'a pas encore découvert, et pour cause, mais Grace possède la capacité de transmettre et d'imposer aux autres ses sentiments ; une sorte d'extrapathie, une empathie inversée. C'était un pouvoir très discret avant d'arriver à Galway, la jeune femme n'étant pas vraiment émotive mais au contraire calme et réservée. Ce don, elle ne le contrôle pas, il est purement instinctif et quasiment inévitable. La seule chose que les gens de son entourage ont remarqué à ce sujet, c'est que les patients qu'elle prend en charge semblent puiser du courage et du calme dans sa présence, précieuse lorsque l'on vient de se faire arracher une jambe sans anesthésie ou que l'on perd son sang par une blessure béante. Sa joie est aussi communicative que ses malheurs et les émotions qu'elles provoque disparaissent radicalement avec elle quand elle part. Heureusement, Grace est aussi sensible à son environnement : cela lui permet de ne pas transmettre de manière impromptue des émotions joyeuses à qui vient de perdre quelqu'un ou de tirer la gueule sans façon devant quelqu'un qui se marie, par exemple. Cependant, son don a tendance à se renforcer de plus en plus, de manière incontrôlée et inconsciente, au vu de toutes les émotions que provoquent en elle les phénomènes de Galway.

Grace Broderick Barre_15

Grace n'a jamais eu peur de rien. Cela ne veut pas dire qu'elle ne frissonnera pas devant une grosse araignée velue ou qu'elle n'aura pas un mouvement de recul avant de sauter dans le vide à l'élastique, mais elle n'a jusque là jamais eu de raison d'être vraiment morte de trouille devant quoi que ce soit. Et son caractère placide et raisonnable s'accorde assez bien avec ce fait. Rationnelle et sachant garder un sang froid remarquable dans les situations les plus extrêmes, on l'apprécie pour ça dans son métier ; infirmière.

Peut-être plus que le fait de vouloir aider les autres, c'est la pression familiale et les bonnes notes qui ont conduit Grace sur cette voie. Ses parents auraient préféré la voir médecin, mais sans doute par esprit de provocation elle a refusé de leur accorder ce plaisir.
C'est qu'elle n'exprime que rarement ses opinions, mais cela ne l'empêche pas d'en avoir : elle ne considère simplement pas souvent les dialogues avec les gens du commun comme intéressants.

La jeune femme est sûrement plus réfléchie que la plupart des gens, et elle ne dira rien qu'elle n'aura mûrement pensé. Franche et sans égards pour l'égo de qui que ce soit, elle n'a pourtant pas le désir de faire du mal, même s'il lui arrive occasionnellement de heurter la sensibilité des gens ; dans ces cas, son impassibilité la sauve, les gens ne prenant l'entière mesure de ce qu'elle a dit que lorsqu'ils ne sont plus en sa présence et sous son influence.
Grace a de grandes difficultés à se lier avec les gens, côtoie beaucoup de monde, mais ne s'est jamais vraiment rapprochée de qui que ce soit, et ne peut prétendre avoir beaucoup d'amis.
L'un de ses tics consiste à se passer la main dans les cheveux lorsqu'elle est gênée, et parfois à se mordiller la lèvre de nervosité.

Depuis son arrivée à Galway, Grace a cependant prit une mauvaise habitude qui lui fait abaisser ses barrières et la laisse exprimer pleinement ses émotions ; cela est assez problématique dans le sens où ces émotions incontrôlées prennent possession de son entourage. Cette mauvaise habitude, c'est la boisson ; sa meilleure amie du moment s'appelle Eristoff, et c'est la seule capable de lui donner suffisamment de courage que pour aller risquer sa vie à la clinique et accepter sereinement toutes les bizarreries de ce monde.



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Née près de Millburn, Grace a grandi dans une famille anglaise ordinaire, de la classe moyenne et sans prétentions. Son père était médecin généraliste dans la ville toute proche et sa mère femme au foyer. Deux grands frères et une grande sœur, dans l’ordre s’il vous plait, ont fait d’elle la cadette de la famille. Tous étaient déjà quasiment partis de la maison lorsqu’elle se rendit enfin à Londres pour suivre ses études d’infirmière. Et elle profita de ses études pour partir deux ans à l’étranger.
Elle fit son internat à Paris, puis Bruxelles, où elle passa chaque fois un an. Ce qui lui permit d’apprendre dans la foulée le français presque parfaitement et d’accumuler les connaissances, jusqu’à hésiter pendant un moment à se tourner vers la chirurgie.

De retour à Millburn avec son diplôme en poche, Grace se rendit compte qu’elle ne pouvait plus supporter de rester dans l’entourage de ses parents. Ce n’est pas qu’elle ne s’entendit pas bien avec eux, non. Mais elle s’était rendu compte qu’il planait un certain malaise entre eux depuis toujours, que lui avait révélé sa longue absence de la maison. Sans savoir pourquoi, elle s’était alors mise à chercher avec frénésie un contrat loin d’eux. Et peut-être par manque de recherche, un trop grand empressement à partir ou les deux, elle se retrouva à postuler à Galway. Si elle avait eu plus de temps, peut-être aurait elle changé d’avis, ou au moins visité la ville avant d’accepter le poste. Mais elle se retrouva finalement forcée d’y faire son nid. Et ce n’était pas si mal que ça, elle le vit dès son arrivée : Galway lui plaisait bien finalement, avec ses gens étranges, son ambiance singulière. Grace avait hâte de s’y installer !

Ses parents, quant à eux, virent leur fille s’éloigner avec soulagement. Elle ne se souvenait pas des raisons, et tant mieux, mais Grace leur faisait presque peur parfois, quand elle n’était pas dans les parages. Eux se souvenaient très bien de l’enfance mouvementée de Grace, lorsqu’elle n’était qu’une gosse avide d’attentions et qu’elle manipulait son entourage sans s’en rendre compte. Cela avait commencé de façon imperceptible, par les infirmières et les médecins qui la chouchoutaient à l’hôpital, après l’accouchement. En grandissant, ses besoins se firent impérieux, sa conscience de soi se développant, elle se fit enfant-roi, et qui la côtoyait avait bien du mal à ne pas le ressentir et à le croire. Ceux qui, par un heureux hasard, n’étaient pas sensible à son influence subissaient son courroux, et donc, de fait, le courroux de tout son entourage…
C’est ainsi qu’un jour, exaspérée par l’un de ses camarades de maternelle, elle frappa le petit garçon qui venait de lui chiper sa poupée pour la contrarier. Elle se détourna, en colère, sans voir qu’autour d’elle les enfants proches ressentaient exactement la même envie. Le petit garçon fut passé à tabac par de petits poings furieux, pendant que Grace s’éloignait. Mais lorsqu’elle fut assez loin pour que cesse son influence, il était déjà trop tard pour le petit cadavre. Les adultes présents ne la côtoyaient pas depuis assez longtemps pour soupçonner quoi que ce soit, surtout que Grace était alors autant qu’eux la proie de la terreur, bien naturelle, suite à l’évènement.
Mais ses parents, qui la côtoyaient chaque jour, et qui avaient l’occasion d’observer de loin le comportement de ses frères et de sa sœur avec elle, firent vite le rapprochement. Ils tentèrent de l’isoler, le temps que le père de Grace, médecin, se procure des drogues pour abrutir la petite fille. Le seul effet visible fut que tous ceux qui l’approchaient pendant son état d’hébétude étaient abrutis à leur tour. Ils me mirent alors à s’administrer eux-mêmes, à faible dose, des antypsychotiques. Et le résultat fut immédiat, Grace ne pouvait plus rien leur faire. Seulement, cela signifiait isoler la fillette des contacts étrangers, qui eux étaient toujours susceptibles de se faire manipuler. Elle passa ainsi les dix premières années de sa vie presque enfermée chez elle. On lui déclara une santé fragile et elle fut gardée loin de tout. Très jeune alors, elle finit par s’habituer à cet état de fait, et il sembla que son pouvoir allait en décroissant, puisque s’en servir ne lui apportait plus aucun résultat. Elle grandit donc presque comme une enfant normale. À l’adolescence, ses parents finirent par risquer d’arrêter les narcoleptiques. Et par la suite, ils risquèrent à la mettre au collège. La jeune fille, d’abord réticente, s’habitua enfin aux contacts avec les étrangers, appris à se sociabiliser. Mais resta toujours une nature discrète et réservée.

Cela finit par changer avec son arrivée à Galway ; la curiosité face aux phénomènes étranges qui donnaient sa raison d'exister à la ville lui permirent d'en avoir une également. Cela n'était pas sans danger, et il lui était arrivé plus d'une fois de se retrouver dans une sale position, que ce soit en haut d'un arbre sur un parcours d'accrobranche alors que rôdait une créature indéfinie mais hostile sur le plancher des vaches, ou directement dans la clinique, prise en otage par une enfant surdouée, assassin expert dans son domaine. Heureusement, des rencontres intéressantes contrebalançaient ces dangers. Malheureusement, pour les supporter, Grace se mit à boire. D'abord à petite dose à son arrivée à Galway, puis plus régulièrement, pour tenir éveillée, mieux s'endormir ou, assez paradoxalement, pour mieux se faire à la réalité. La destruction du parc n'eut pas de réel impact sur son emploi, puisque le CRS allait apparemment être maintenu, grâce à Stasi qui y travaillait dur. Elle pu continuer pendant ce temps-là de travailler à ces cas. Au fond, le parc ne l'intéressait pas, toute sa vie était maintenant au centre ; quoi qu'elle a pu remarquer, depuis ces faits désastreux, que l'hôtel dans lequel elle avait établi ses pénates n'était plus du tout fréquenté, les touristes ayant déserté la ville. Ce n'était pas plus mal au fond. Mais il faudrait quand même qu'elle pense un jour à se trouver une maison, ou un appartement dans la ville - Bon, une petite gorgée de vodka pour se donner du courage, à cette idée...


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Comment avez-vous trouvé le forum ? Je suis devin. Je sais tout. Je vois tout. (Sans rire, me revoilà)

Des questions / remarques avant de vous lancer ?[/list] Edit : 13ème membre inscrit sur ce forum, message posté à 11:11... 666 ème message ? Non ? Oh, c'était presque parfait... Haha, c'est un signe, je me vais encore mieux me plaire, ici.
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MessageSujet: Re: Grace Broderick   Grace Broderick Icon_minitimeJeu 3 Nov 2011 - 16:42

Bonjour, et re-bienvenue parmi nous!

Tout est en règles, aussi je vous ouvre les portes de la nouvelle version, amusez-y vous bien.

Vous pouvez laisser vos commentaires sur la nouvelle version dans ce topic.

Concernant vos Rps, ceux-ci doivent se situer chronologiquement après ceux situés sur l'ancienne version. Vous pouvez en débuter de nouveaux ici et participer à l'event où vous êtes conviée:

Grace Broderick Convocation-event-2e573a9

La participation n'est bien entendu pas obligatoire, mais peut être cumulée avec d'autres rps étant donné que l'event se situe hors temps.

Bonne bêta test et à très bientôt !
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Grace Broderick

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