Rhine

Sujet: Rhine Ven 8 Nov 2013 - 0:05

Rhine

Sexe: féminin

Lieu et date de naissance : Irlande, le 10 décembre 1993

Race: vampire

Aspect physique

Rhine a les yeux presque noirs et la peau très blanche. Elle change la couleur de ses cheveux en fonction de ses envies, mais la plupart du temps, ils sont bruns. Elle porte ces derniers très longs, jusqu'au milieu du dos. Ses yeux sont toujours maquillés de couleurs très sombres, quant à ses lèvres, elles peuvent être nues ou bien peintes d'un rouge à lèvres foncé.
Rhine est mince et possède une taille de guêpe ainsi qu'un cou très fin. Elle pourrait paraître fragile au premier abord, mais lorsque l'on s'attarde sur ses yeux, la prestance qu'ils dégagent lui donne un air beaucoup moins vulnérable. Elle se tient toujours droite, la tête haute et l'air hautain. Elle porte la plupart du temps de hauts talons.
C'est une belle femme qui ne laisse pas les hommes indifférents.
En plus de son parfum aux notes de fleur d'oranger et de vanille, s'ajoutent de légers effluves de sang, formant une odeur étrange mais ne sentant pas pour autant mauvais. Ce serait même plutôt le contraire.

Rhine est quelqu'un d'ignoble et de particulièrement sadique. Elle n'hésitera pas à s'attaquer à quelqu'un pour la simple et bonne raison qu'elle en aura envie sur le moment. Elle aime faire souffrir les gens à qui elle boit le sang. Son pécher mignon, c'est de les attacher, de les saigner, et de recueillir leur sang dans des verres à pied afin de mieux le déguster. Elle est lunatique et peut entrer dans des colères noires si on la pousse à bout. Cependant, malgré la démence de son esprit, elle sait, lorsqu'elle est entourée, contenir sa folie si elle en éprouve le besoin. Elle se comportera alors de manière assez froide. Pour attirer ses victimes, elle usera de son charme naturel jusqu'à être aguicheuse parfois, afin de les attirer dans un coin à l'écart où elle pourra faire éclater sa folie et s'acharner sur ces pauvres gens.
Elle sait contrôler ses instincts sanguinaires lorsque cela est nécessaire à sa petite personne. Elle est égoïste, la seule personne comptant pour elle, c'est elle-même, viennent ensuite les personnes pouvant conduire à sa protection. Le reste des gens n'a aucune importance pour elle.
Enfin, avant sa transformation, elle était atteinte d'un début de schizophrénie qui a persisté après sa transformation. Ce début de maladie, le fait qu'elle ait cessé de lutter contre elle, et sa toute nouvelle soif de sang sont les raisons pour lesquelles elle est maintenant ce qu'on appelle une folle furieuse...

En jetant un coup d’œil à ma montre, je m’aperçus qu’il était 00:01. L’heure de sortir. Mon heure favorite. Quoi de plus attrayant qu’une nuit bien sombre d’hiver, moment où l’air est tellement vif et glacial qu’il meurtrit la peau ? Quoi de plus excitant que de se retrouver cerclé de ténèbres seulement illuminées par la lueur d'une la lune pas encore pleine ? La nuit tout est calme, les ombres plus nombreuses et plus terrifiantes les unes que les autres, faisant tourner notre imagination plus vite que le moteur d’une voiture ; le silence uniquement troublé par les cris des bêtes nocturnes, par les sinistres hululements des hiboux, et par tous ces sons discrets mais non moins stressants venant des coins de rue et nous faisant nous retourner toutes les cinq minutes.

J’esquissai un sourire et inspirai profondément l’air froid et revigorant de cette nuit particulièrement belle sous ce ciel sans étoiles. J’errais dans les rues vides de mon village, l’adrénaline et l’excitation montant en moi dès que j’entendais le moindre petit bruit suspect.
Lorsque j’arrivai devant l’avenue principale du village, une longue route s’étendant tout droit à l’horizon, une envie soudaine d’y courir jusqu’à m’en faire exploser les poumons me prit aux tripes. Quelque chose de violent. J’avais beau me répéter « Non Rhine, tu sors déjà en pleine nuit comme une imbécile, tu ne vas pas en plus te mettre à courir comme une attardée ! ». Mais il n’y avait rien à faire. Mon cœur battait la chamade à la simple idée de courir, aussi loin que j’en aurais la force, aussi vite que mes jambes me le permettraient, et de sentir l’air me fouetter le visage à l’en faire rougir. Alors, n’y tenant plus, je quittai mon manteau d’hiver, trop lourd et encombrant pour courir. Je le laissai choir là, à même le sol en plein milieu de la route. Je n’en avais rien à faire. Je devais être en train de devenir folle. Comme ma mère…
Une image me revint alors en tête : le jour où les médecins étaient venus la chercher afin de l’interner. Schizophrénie qu’ils m’avaient dit. Je n’étais jamais allée lui rendre visite dans son hôpital psychiatrique. J’avais bien trop peur. Peur que la maladie ne s’acharne plus vite que prévu sur moi si je m’approchais de trop près d’une personne qu’elle avait déjà touché. Peur totalement futile car impossible. Cette maladie n’était pas contagieuse. Non… juste héréditaire dans certains cas.
Je venais d’avoir 20 ans. Un âge auquel la schizophrénie peut se développer. Peut-être était-ce ce qui était en train de m’arriver. Ça, ou une tout autre maladie me rendant complètement folle.
Je soupirai et secouai la tête pour chasser toutes ces images et hypothèses de mon esprit.

Mon incontrôlable envie de courir ne m’avait toujours pas quittée.
Sans plus de cérémonie, mes jambes se mirent en marche puis accélérèrent de plus en plus jusqu’à courir droit devant, suivant la route. Je ne parvenais plus à réfléchir. Je n’étais plus que sensations : la douleur dans mes muscles peu habitués à courir, l’air froid entrant et sortant de mes poumons, mon cœur battant comme il n’avait encore jamais battu, ma vue se brouillant. Je voyais flou mais continuais malgré tout à avancer, et à avancer encore et encore sans jamais m’arrêter.

Puis je n’en pus plus. A bout de souffle, je dus me stopper soudainement. Mes poumons me faisaient souffrir et l’air me manquait. Pourquoi avais-je tenu à courir autant déjà ? Je tombai à genoux au sol et respirai mal. Je posai mes mains sur le goudron et retins mes larmes de tomber.

J’étais folle.

Oui, cette fois la maladie était là. Elle m’avait rattrapée. J’avais réussi à m’enfuir pendant plusieurs années, à lui échapper, mais cette fois c’était fini.
Sans crier gare, la colère prit la place de la tristesse dans mon cœur, et une rage inextinguible s’empara de moi. Tellement que j’en tremblais. Et je ne connaissais même pas l’origine de cette fureur. Je m’attrapai la tête de mes mains, appuyant fortement mes paumes sur mes tempes.

Je voulais crier. Hurler !

Et j’allais le faire. Oh oui j’allais le faire. Mais quelqu’un décida à ce moment-là de me parler. Je ne l’avais même pas entendu arriver. Je me croyais seule. Sa présence était plus que mal venue.

-Vous allez bien mademoiselle ?
Je tournai lentement ma tête vers la voix et fixai froidement l’homme à qui elle appartenait.
-EST-CE QUE J’AI L’AIR D’ALLER BIEN !? Lui hurlai-je alors à la figure.
Je devais avoir l’air dément. Tant pis. Au moins il me laisserait tranquillement sombrer dans la folie et la dépression qui m’attendaient.
Mais l’homme fit quelque chose à laquelle je ne m’attendais pas : il m’attrapa par le cou, me souleva et déclara :
-Si tu savais comme je me fous de ta santé.
La peur au ventre, la vue encore brouillée par la course que je venais de faire, je crus rêver lorsque je distinguai deux longues dents étranges sortir de sa bouche. Mais avant que j’aie pu dire quoi que ce soit, il m’avait déjà mordue, faisant couler mon sang et s’en délectant.

Je souffris. Pendant longtemps.

Et alors que je pensais que la douleur ne cesserait jamais, que mes forces me quittaient petit à petit et que je sombrais dans l’inconscient, je sentis quelque chose de chaud ruisseler dans ma gorge.

Lorsque je me réveillai, j’étais seule et une faim inexplicable me tiraillait le ventre.
Je n’étais plus en plein milieu de la route principale de mon village, mais dans ce qui semblait être une crypte. A côté de moi, une enveloppe était posée. Je la pris, encore un peu nauséeuse, et l’ouvris. J’en sortis un bout de papier vieilli.
« Je serais toi, je ne sortirais pas au soleil sans protection » y été inscrit d’une écriture soignée, surement tracée à la plume.
Alors que je me demandais ce que cela signifiait, sans prévenir, des images de ce qui m’était arrivé refirent surface dans mon esprit. La rage que j’avais ressentie avant de me faire attaquer monta une nouvelle fois en moi. Pour quelle raison ? Je n’en avais pas la moindre foutue idée. Tout ce que je savais, c’était que mon agresseur avait fait de moi une autre personne et que ma maladie n’avait pas disparu. En descendant de la tombe sur laquelle j’étais couchée, je m’écorchai malencontreusement la cuisse. Une forte odeur de sang se répandit dans la crypte bien que la coupure ne soit pas extrêmement ouverte. Ce fut alors comme si tous mes sens se réveillaient après un long sommeil, notamment mes papilles gustatives. Ma bouche se mit à saliver et je compris rapidement que ce que je voulais, c’était du sang. Je passai alors un doigt sur ma blessure et le portai à ma bouche, me délectant du liquide rouge comme je me serais régalée d’ambroisie.

J’en voulais plus.

Il fallait que je sorte d’ici. Rapidement. Cependant, il faisait un grand soleil dehors et n’étant pas kamikaze, je suivrais le conseil de mon agresseur et ferais très attention aux coups de soleil. J’attendrais la nuit. Cette nuit que j’avais toujours tant adorée.
A présent, elle serait mon terrain de chasse.

J’esquissai un sourire avant de me re lécher le doigt qui n’avait pourtant plus de sang.
J’étais une personne nouvelle et j’avais bien l’intention d’en profiter à fond. Au diable la maladie ! Ce ne serait pas elle qui me prendrait. Non… C’était moi qui l’inviterais à entrer. Elle serait mon alliée. Ma plus précieuse alliée.

Un nouveau sourire se dessina sur mes lèvres puis je me mis à ricaner. Fort, très fort, tout en tournant sur moi-même, comme la folle que j’étais volontairement en train de devenir…

Comment avez-vous trouvé le forum ?
C'est ma prof de français de prépa qui nous en a parlé study

Le JDR et vous? Idylle récente ou vocation de longue durée?
Bah là pour le coup, c'est plutôt une idylle récente. J'écris des romans toute seule d'habitude, mais je me suis dit pourquoi ne pas essayer autre chose? Du coup me voilà! Very Happy

Des questions / remarques avant de vous lancer ?
Je ne suis pas habituée aux forums rpg, mais j'espère réussir à m'habituer au fait d'écrire à plusieurs... C'est mon défi du jour mouhahaha Rhine 3982057981

Messages : 2199

Bonjour et bienvenue,

N'oublie pas de prévenir lorsque ta fiche sera terminée, qu'un admin puisse l'examiner Smile

Sujet: Rhine Ven 8 Nov 2013 - 18:51

Et voilà, c'est terminé normalement Smile

Messages : 484

Bonsoir,

Votre fiche fait froid dans le dos, cependant, avant de vous ouvrir les portes de notre sombre cité, j'ai quelques remarques et questions à vous faire.

D'abord vous devez compléter le profil de votre personnage ici.

Ensuite il reste des fautes à corriger dans votre fiche.

Enfin pour ce qui est de l'histoire, j'aurais quelques questions à vous poser.

D'abord si votre personnage vit à Galway, a-t-elle une profession ou est-elle une vampire errante?

Ensuite vous parlez de schizophrénie, mais finalement est-ce que votre personnage est atteint de cette maladie, ou alors sa folie est-elle due à sa transformation et son gout pour le sang et la violence nouvellement dévoilé?

Messages : 2199

J'ai une petite chose à rajouter: le code d'intégration de l'avatar bugge parce qu'il y a un espace de trop avant l'attribut "align" Smile

Sujet: Re: Rhine Sam 9 Nov 2013 - 18:42

J'ai fini de remplir les champs obligatoires sur le profil et j'ai corrigé les fautes qu'il restait.

Rhine vit à Galway oui, mais pour le moment c'est un vampire errant. Je pensais lui trouver un travail plus tard, c'est possible?
Et je me demandais aussi, est-ce que c'est possible que plus tard, elle intègre l'Undertown?

Et enfin, oui, elle est vraiment atteinte de schizophrénie, mais pas à un stade très avancé, la maladie commençait tout juste à se développer quand elle a été transformée. Mais ce début de schizophrénie, le fait qu'elle ait arrêté de lutter contre la maladie et le fait que le sang la passionne, ont fini par la rendre vraiment folle, même si elle parvient à se contenir quand elle en a besoin. Son instinct de protection envers elle-même est plus fort que sa folie.

Voilà voilà j'espère avoir répondu à toutes les questions Smile

A oui j'ai aussi réglé le problème avec l'avatar, il est à la bonne place maintenant Smile

Messages : 484

Bonjour,

Alors pour ce qui est de trouver un travail en jeu, cela ne pose aucun soucis, il y a plusieurs établissement sur Galway, et je pense que votre personnage pourra postuler pour du travail.

Pour ce qui est de l'Undertown, c'est avec plaisir que je vous accueillerais au sein de la horde, plus on est de fou (dans le premier sens du terme) plus on rit. Vous pourrez faire une demande en rp plus tard.

Pour ce qui est de la maladie, vu que votre personnage est vraiment schizophrène, il serait bien de le préciser dans le paragraphe psychologie.

Bon courage pour ces dernières éditions.

Sujet: Rhine Dim 10 Nov 2013 - 13:17

D'accord merci

Voilà c'est fait Smile

Messages : 484

Tout est donc en règle, il ne me reste plus qu'à vous ouvrir les portes de notre sombre cité.

Vous pouvez dès à présent solliciter un parrainage ou bien rechercher directement un partenaire de Rp.

Bon jeu sur Hell's Gate!

Messages : 921

Officiellement bienvenue Rhine !
Une copine vampire pour Kain et d'autres fous de l'hémoglobine XD On va p'être rester au chaud chez soi le soir à Galway.

Messages : 2199

Bienvenue collègue aux dents longues Cool

Messages : 931

Bienvenue à toi dame vampire !

*va quand même se cacher derrière la patronne au cas où*

Sujet: Rhine Dim 10 Nov 2013 - 22:46

Merci pour vos messages de bienvenue Smile

Messages : 355

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Coucouuu !

Messages : 717

Bienvenue à toi!

Je suis sur que nos persos vont s'adorer! Rhine 523113800

A bientôt sur la cb ou en rp Very Happy

Messages : 65

Bienvenue à toi !

(C'est moi où on collectionne les vampires sadiques et psychopathes ?)

Sujet: Rhine Lun 11 Nov 2013 - 18:17

kelly> coucou^^

kain> Haha oui j'ai cru comprendre que Kain était aussi dérangé que Rhine Wink

Juan-Carlo> Merci Smile

(Je sais pas, je ne connais pas encore les vampires d'ici)