Sexe: Masculin

Lieu et date de naissance: né le 12/03/1955 à Bardaï au Tchad

Race: Lycanthrope Fouisseur


Apparence physique:


S’il est un homme qui sache allier la bestialité exotique de ses origines et le charisme séduisant d’un dandy Londonien, c’est bien ce bellâtre de Chango.
Admirez plutôt la silhouette des cent quatre-vingt dix centimètres d’ébène massivement musculeux de ce Tchadien ténébreux. Il arbore un visage harmonieux mais grave d’une obséquieuse virilité sporadiquement déridé par un cynisme cinglant .

Son crane luisant est impeccablement rasé et agrémenté d’un chapeau melon de feutre noir qu’il réajuste souvent, lui donnant alors un angle désinvolte et flegmatique tout à fait charmant. Loin de se prendre pour une star en manque d’anonymat, Chango porte néanmoins continuellement une paire de lunettes de soleil souvent rondes adoucissant avec délicatesse ses traits indéniablement masculins. Ces lunettes ont bien évidemment l’avantage de le protéger des agressions du soleil mais également de dissimuler la direction de son regard.
Les rares personnes qui eurent l’occasion de le voir sans cette paire de sombres binocles pourraient vous affirmer qu’il a les yeux étrangement clairs… d’une couleur oscillant selon la lumière entre le gris et le vert. Serait-ce du à quelques lointains métissages ancestraux ou à la froide lycanthropie qui s’agite en lui ? Toujours est-il que ses yeux là, une fois qu’on les a vu, on ne les oublis pas.

Pour ce qui est de son nez, il est tout ce qu’il y a d’africain : largement épaté et cerné de grandes narines qui plissent naturellement quand il hume l’odeur d’une proie ou d’une menace dangereusement proche. Sa bouche généreuse aux lèvres pulpeuses et boudeuses, légèrement plus claires que le teint de son visage est encadrée par une paire de favoris qui frisottent sur sa mâchoire nerveuse. Un rare mais charismatique sourire en coin dévoile une rangé de dents impeccables et opalines qui rehaussent la force charmeuse de ses traits.

Son torse saillant de muscles athlétiques (et une tablette de chocolat bien noir, une!! ) ne gâchent en rien l’impressionnante carrure que lui octroient de larges épaules rendues puissantes et solides par des années d’excavations souterraines. Ses longues jambes fines et musculeuses soutiennent une magnifique paire de fesses fermes et rebondies qui feraient se vautrer dans le stupre tout un couvent de carmélites endurcies.

Sur l’ensemble de son corps, sa peau d’ébène est délicatement ciselée de scarifications tribales, héritage familial et témoignage probant de son appartenance à une caste guerrière Tchadienne. Les anciens de la tribu eurent recoure à l'utilisation de plantes médicinales secrètement mélangées pour permettre aux cicatrices décoratives de ne pas se résorber comme n'importe quelles blessures conventionnelle sur le corps des lycans qui guérissent avec une rapidité et une efficacité impressionnantes. Ah oui, j’allais presque oublier : Mesdames, La correction m’interdit d’évoquer trop précisément ici la générosité dont la nature à fait preuve à l’égard du sieur Chango. Mais croyez en l’adage qui dit que l’Afrique aura toujours une longueur d’avance…

Loin de s’habiller en boubous traditionnels et colliers de Koris, Chango porte une attention toute particulière à son apparence. En effet, son émigration en Europe de l’ouest lui aura donné le goût des belles toilettes qu’il choisit avec beaucoup de discernement. Optant pour les tenues les plus raffinées confectionnées dans les étoffes les plus délicates. Ses préférences vont, La plupart du temps vers des ensembles très chics mêlant des influences du début du vingtième siècle et de mouvements postmodernes tels que le gothisme, le néo-romantisme ou la haute couture masculine.

Signes distinctifs scarifications sur l'ensemble du corps.


Pour être l’Alpha incontestable de la horde des lycans fouisseurs, Chango a dut asseoir la suprématie de son leadership grâce à son autorité charismatique et un contrôle indéniable du tempérament sanguin des membres de sa petite armée. D’un esprit vif et d’un intellect clairvoyant, Chango est une forte tête par excellence, il est inflexible dans ses orientations quand il a prit une décision et il ne laisse passer aucune faute commise sans qu’elle soit punie à juste titre. Les membres subversifs de la horde qui aux fils des ans tentèrent de défaire son hégémonie, furent infailliblement balayés d’un revers de griffe vers des rôles de subalternes leur ôtant toutes crédibilités et toutes chances de renversement de son pouvoir.

Chango, sachant pertinemment que les siens le respectent autant qu’ils le craignent, porte une importance capitale au fait d’être terriblement sévère mais parfaitement juste. Un bon chef tel que lui sait que s’il en ressentait l’impérieuse nécessité, il serait capable de donner lui-même la mort à ceux qui mettraient en péril la survie de sa race. Mais il garde à l’esprit que c’est en protégeant au-delà de sa propre survie ses frères et sœurs, qu’il conservera la confiance et le dévouement indéfectible des membres de sa meute de créatures souterraines.

D’autre part, Le tempérament dominateur et irascible de Chango lui vaut d’avoir un comportement parfois fort impatient et emporté. La terrible grandeur de ses colères résonne encore dans les galeries souterraines autant que dans les souvenirs de ceux qui y ont assisté. Inutile de vous dire que présenter un refus non justifiable ou un commentaire déplacé sur l’une de ses prérogatives équivaudrait à vous mettre dans une dangereuse position où il risquerait de vous acculer et de vous enterrer définitivement.

Un autre trait caractéristique de sa personnalité est que Chango est qu’il est un homme à femmes, un séducteur macho et misogyne. Il n’accorde que peu de crédit aux capacités et talents de la gente féminine. Est-ce un héritage socioculturel de ses origines ? Toujours est-il qu’il ne se privera pas de rabaisser les femmes qui auraient à son goût l’outrecuidance de peter plus haut que leurs culs. Partie anatomique qui soit dit en passant caractérise pour lui la seule et unique fonction valable dont elles puissent être pourvues : assumer la gestation de la descendance de l’espèce et pourvoir au confort sexuel et affectif de ses guerriers. A ce titre et aux vues du succès qu’il aupres des femmes grâce a sa séduisante apparence, Chango est un « chaud » il aime séduire et posséder ses partenaires.

Mais un meneur comme lui ne redoute t’il rien ? … n’y a-t-il aucune frayeur qui se cache dans cette personnalité forte ? … et bien il se cache bien de le révéler mais Chango ne se sent jamais en sécurité dans les grands espaces tels que les steppes ou les pièces vertigineusement vide où il ne saurait trouver un coin pour se refugier. Sans que cela devienne une peur panique, il cherchera toujours à se trouver une échappatoire dans les meilleurs délais.

Parlons maintenant un peu de ce que Chango apprécie :
En terme culinaire sa préférence va tout naturellement vers les spécialités d’origine tchadienne telles que les diverses préparations du mouton et du bœuf sous toutes leurs variantes (en sauce, grillé, bouilli … et comme l’Irlande ne manque pas d’ovins ou de bovins, les festins occasionnés par quelques rapts de tête de bétail sont monnaies courantes), le thé fort et le café aux épices ou encore des boissons rafraîchissantes telles que le karkadé ou les jus de fruits. Chango ne boit jamais la moindre goûte d’alcool qu’il considère comme étant un breuvage impure et tabou qui avilie le cœur et corrompt l’esprit.

Pour ce qui est de la musique, Chango aime tout ce qui se rapporte à la musique folklorique et traditionnelle africaine. Non pas qu’il abor particulièrement les autres genres musicaux, mais étant très fière de ses origines et enclin au mal du pays, il est toujours enthousiaste d’entendre les mélopées entrainantes d’Ingamadji Némo, ou de Kaar Kaas Sonn pour ne citer qu’eux… Sur le plan littérature, Chango est loin d’être un amateur du beau verbe écrit même si son éloquence et la conviction de sa rhétorique pourraient faire penser le contraire. Disons plutôt qu’il a suffisamment entendu parler les personnes bien éduquées pour imiter leurs manières de parler et de bouger. ...


Chango, né Abakar Kotoko, « vit le jour », ou plutôt fut mit au monde sous terre le 12 mars 1955 dans le désert à environ 25 km de Bardaï, une petite bourgade située aux pieds du mont Emi koussi dans le massif du Tibesti. Premier enfant mâle d’une famille comptant déjà une sœur âgée de 3 ans (Kadidja) et 1 ans(Salima), Il fit la fierté de son père (Moussa) chef aimé et respecté d’une tribu nomade musulman. Sa mère (Omuna) lui prodigua tout l’amour d’une maman pleine de tendresse tandis que ses sœurs attendries ne manquaient jamais de se rendre utile pour subvenir au besoin du petit héritier de leur père.

Ainsi le petit Abakar passa les premières années de sa vie dans le désert avec les membres de sa tribu, ou de sa horde devrai-je plutôt dire. Car en effet, les parents, sœurs, cousins et autres membres de la tribu appartenaient tous à une race d’hominidé peu conventionnelle. Depuis toujours, des légendes locales racontaient l’existence de créatures fantastiques. Les grands-pères et les marabouts racontaient aux enfants, pour les faire se tenir tranquilles à l’heure du coucher, l’existence d’humains monstrueux, mi homme mi taupe, qui vivaient sous le désert dans un dédale de galeries labyrinthiques, d’où ils émergeaient la nuit pour attaquer le bétail et même kidnapper les gardiens de chèvres qui se risqueraient à désobéir à leurs parents. Des taupes-garous, dévoreuses de zébus, de moutons, de chèvres… et d’humains. Voila de quoi faire se tenir à carreau des centaines de générations et leur insuffler une peur viscérale du désert la nuit et des créatures qui y rôdent. Et bien une fois n’est pas coutume en Afrique, le mythe ne dit que la vérité. Les Lycans fouisseurs existent bel et bien. Et la tribu nomade d’Abakar en faisait partie.

Ainsi le fils du chef fut élevé dans le respect des traditions de la meute et ne fréquenta qu’épisodiquement les écoles de brousse que le hasard mettait sur l’itinéraire de sa tribu. Néanmoins, le groupe participait activement à l’éducation du jeune garçon qui prouva très vite par la vivacité de son esprit et la force de son caractère, qu’il serait un meneur éclairé et digne de la confiance de son père. Celui-ci pourvu à son enseignement en lui apprenant tout ce qu’il devait savoir sur ce qu’était le rôle d’un chef de tribu et la construction de galeries souterraines solides et discrètes. Ce savoir d’une grande valeur s’avéra de tout temps indispensable pour garantir aux siens la survie et la sécurité.

En quelques années Abakar devint un élève prometteur et tous s’accordaient a dire qu’il deviendrait un grand chef de meute. Pendant que le jeune garçon grandissait paisiblement auprès des siens, le pays connaissait une révolution majeure qui allait en changer la face … et l’avenir. Entre le 1960 et 1980, le Tchad, alors colonie française traversa une sombre période de changement politiques brutaux. Des dirigeants tous plus despotiques les uns que les autres furent successivement évincés du pouvoir par des putschs et des assassinats. C’est durant cette tumultueuse époque que le jeune homme perdit la plupart des membres de sa famille qui succombèrent au destin funeste qui fut le leur.

Brisé socialement et empreint d’une haine vengeresse, Abakar prit part aux guerres civiles qui saignaient à blanc le Tchad et devint un chef de guerre cruellement redouté. C’est à partir de ce moment, et dans un souci d’anonymat, qu’il changea de nom pour adopter celui de Chango.
Ainsi les faits d’armes dont Chango et ses hommes firent preuve permirent à un énième tyran (Goukouni Oueddei )de prendre le pouvoir au Tchad en 1980. Celui-ci fit aux peuples du nord en contrepartie de leur soutien logistique et militaire, la promesse d’une forme d’indépendance territoriale qui bien évidement ne fut pas tenue. Au contraire, Chango et le reste de son peuple fut persécuté et fit l’objet d’une tentative d’épuration ethnique. Les alliés d’hier deviendront les ennemis de demain … contraint à l’exile pour survivre Chango et une poignée de lycans fidèles quittent le Tchad et émigrent en France avec un statu de refugié politique.

Comme il faut bien travailler pour vivre et subvenir à ses besoins, Chango et les siens participèrent à la rénovation du métro parisien entre 1980 et 1987. Très vite les connaissances géologiques et pédologiques de Chango lui permirent d’obtenir un poste de consultant en ingénierie sur les constructions souterraines. C’est ainsi d’ailleurs qu’il se vit proposer un rôle important dans la réalisation du tunnel sous la Manche entre 1988 et 1993.

Aillant toujours l’instinct du nomadisme, Chango et sa horde, qui depuis leur arrivée en France étaient passé du simple au double. Ils continuèrent leur chemin jusqu’en Angleterre, où une fois encore ils participèrent aux travaux d’agrandissement du réseau du métro Londonien. Mais les tensions interraciales qui secouaient la communauté anglo-saxonne ne permirent que difficilement à Chango et à ses frères de s’intégrer. A tel point que le sentiment de rejet et de haine qu’il connut au Tchad refit surface. Cette colère, cette pulsion guerrière jadis si puissante ne tarda pas à intéresser des groupes armés belliqueux comme l’IRA. C’est ainsi que Chango participa indirectement aux attentats qui firent des centaines de morts dans le metro londonnien en 2005. Connaissant les structures et matériaux autant que les points faibles du réseau souterrain du « tube » il conseilla les artificiers pour qu’ils placent leurs explosifs là où ça ferait le plus mal…

C’est suite à ces événements et à la notoriété que Chango et les siens acquérirent alors au sein de L’IRA , que Jaro, ténébreux et singulier personnage noctambule prit contact avec eux. Très vite le « courant » passa entre Chango et Jaro. Tant de chose les rapprochaient. Leur couleur de peau et la mise a l’index que cela impliquait souvent en occident, le sentiment de déracinement propre aux exilés, et bien sur l’appartenance a un genre humain bien différent de leur contemporains. Jaro le vampire, Chango le lycan … et ce monde qui les rejetait pour ce qu’ils étaient. Quand Jaro proposa a Chango de rejoindre les Undercasts, le Tchadien ne voulut pas répondre de suite. Il lui fallait peser le pour et le contre, les risques encourus pour les siens et les avantages ou opportunités que représentait cette proposition. Mais après tout, Chango et sa horde de lycans-fouisseurs n’avaient rien a perdre. Et après tout, s’il restait bien une cause à défendre c’était celle des créatures de la nuit. Les humains ne méritent plus d’être aux commandes de ce monde et si Jaro lui offre la possibilité de renverser la tendance, cela vaut le coup de se battre.

Une telle entreprise nécessitait d'avoir une logistique permettant d'agir avec le plus de discrétion possible. Etre à l'abri des autorités ou des populations humaines autant que des créatures "surnaturelles" qui tenteraient d'entraver leurs plans était primordial. Ainsi établir un réseau souterrain dans la roche calcaire déjà criblée de grotte dans le sous-sol de la ville de Galway ne présenta pas de grosse difficulté pour les talents d'excavations des hommes-taupes. Pendant que le roi réunissait son peuple parmi les parias, les exilés, les utopistes, les apatrides; Chango et les siens creusaient le royaume de Jaro. Quand au bout de plusieurs mois, des dizaines de kilomètres de galeries jalonnées d'immenses cavités aux voûtes altières furent arrachés à la terre, les Undercasts investirent leur royaume. Chango et Les lycans-fouisseurs ne furent pas seulement employés comme architectes du dédale de galeries de l'undertown. Ils étaient aussi bien souvent partie prenantes aux actions sporadiques de guérilla urbaine, aux missions de pillage pour l'approvisionnement, aux sabotages des infrastructures, etc ... bref. Chango et ses frères représentaient une part non négligeable des forces de frappe des Undercasts.

Ne nous méprenons pas pour autant, les hommes-taupes, Chango en particulier ne manquaient pas de se fondre dans la population locale, aussi hétéroclite soit elle pour d'autant mieux brouiller les pistes. L'alpha des lycans-fouisseurs s'adonnait même avec délectation à l'un de ses passe-temps favoris, la luxure. Il allait pour se faire dépenser son argent, aisément gagné grâce aux diverses rapines ou commerces illégaux qu'il effectuait en surface, dans le meilleur lieu de perdition de la ville, le Quality street. C'était a ce titre l'endroit où il assouvissait le plus aisément ses pulsions libidinales jusqu'à ce qu'une opération de représailles des Undercasts à l'encontre de la gérante via son établissement le fasse définitivement apparaître dans la liste des "persona non-grata".

Bien que cette privation le contrarie profondément, Chango ne comptait pas s’arrêter là. s'il fallait mettre à feu et à sang l'ensemble de la ville pour que les Undercasts vainquent, rien ne l’en empêcherait.


Comment avez-vous trouvé le forum ?je l’ai trouvé via un site de référencement il y a fort longtemps

Le JDR et vous? Idylle récente ou vocation de longue durée?ça fait un bout de temps que je pratique le rp sur forum … a vrai dire j’ai commencé par le rp autour d’une table avec des potes .. la belle époque.

Des questions / remarques avant de vous lancer ?R.A.S.

Re-bonjour ^^

Je vais laisser aux admins le soin d'analyser ta fiche, mais il te manque quelques petites informations à remplir, comme le champ "Qui suis-je" comme expliqué juste là

Depuis l'attaque contre le Quality Street, Meluxine veut sa tete ... juste la tete, les lunettes et le chapeau

Pas officiel tant que ta fiche n'a pas été accepté, mais bienvenue a toi sur le forum (je te le redirais officiellement quand tu seras validé :p)

Bonsoir, et bienvenue parmi nous!

Etant donné que nous avons affaire à un ponte de l'Undertown, je laisse notre bon Roi Jaro s'occuper de finaliser votre cas.
En ce qui me concerne, hormis le "Qui suis-je" manquant la fiche est très bien construite, j'aurais peut-être aimé avoir quelques lignes en plus sur l'existence de Chango depuis son arrivée à Galway, mais uniquement parce que je suis curieuse!

Bonsoir,

Voila qui fait plaisir, mon maitre-taupe préféré va rejoindre nos rangs

Votre fiche est très bien écrite. Je ne ferais qu'une remarque, la même que Gianna. j'aurais aimé que vous détailliez légèrement votre arrivée dans Galway.

Chango ayant déjà été PNJisé, il est arrivé à Galway depuis un certains temps, j'aimerais que vous le mentionniez dans votre fiche.

Les précisions me conviennent, le description de la mise en place de l'Undertown était je pense importante à placer dans votre fiche vu que Chango est un des personnages qui ont suivis Jaro à Galway et qui était donc présent depuis le début.

Attention à ce que ses pulsions libidinales ne l’empêche pas de correctement effectuer ses missions, je veille au grain

Je vous ouvre donc les portes de notre sombre citée, bienvenue sur Hell'Gate!

Et bien, bienvenue officiellement parmi nous

Officiellement bienvenue Chango

Bienvenue sale bête

...."merci les filles, merci !!" (quoi j'en rajoute? ^^... c'est pas tout les jours qu'elles sont aussi nombreuses pour m'accueillir )

Allez je casse la moyenne trop féminine pour te souhaiter (officiellement) la bienvenue aussi :p