Sexe: Masculin

Lieu et date de naissance: Paris, 26 avril 1983

Race: Humain


Apparence physique:

Merindar est une personne pour le moins étrange. Une tignasse volumineuse sur la tête, sans arrêt une cigarette à la bouche. Un visage de marbre la plus-part du temps et ses yeux d'un noir profond sont tout aussi impénétrables que le reste. Son faciès fin et sans la moindre ride révèle chez lui une certaine jeunesse contrastée par une barbe de trois jours. Toujours vêtue de noir, il porte un long manteau en tissus, en dessous duquel on peut voir une chemise blanche, des gants en cuir de la même couleur. Un jean dont la seule couleur provient des coutures aux teintes cuivrées. Des chaussures semi montante à lacet toujours parfaitement cirée. Apparemment, il ne porte aucun bijou, si ce n'est une canne noire surmontée d'un pommeau de forme cylindrique, celui-ci est strié par de fines bandes argentées. Bref, il est d'un style à la fois vieux jeu et moderne.

Il est strict dans sa démarche. Il ressemble à un homme sûr de lui et décidé. Le pas rapide et alerte, rien ne semble pouvoir l'arrêter. Cette impression est renforcée par sa carrure, sans être une masse de muscle, il atteint le mètre quatre-vingt et semble entretenir régulièrement son corps à l'aide de musculation et d'exercice.


Signes distinctifs

Semble pouvoir contrôler l'eau qui l'entoure dans certaines limites, en voici les explications :

• L’eau ne peut être contrôlée qu’à l’état liquide.
  
• Le liquide manipulé doit être pratiquement pure (Eau, alcool léger, etc)
  
• Il ne peut l’en faire changer d’état (passage de liquide en glace/vapeur)
  
• Avec l’eau manipulée, il ne peut excéder la puissance d’un coup de poing de karatéka entrainé
  
• Plus la forme donnée à l’eau est petite, plus la concentration nécessaire pour la manipuler est grande et les séquelles importantes (Maux de crâne, AVC, etc.)
  
• Il ne peut manipuler qu’un litre d’eau au maximum répartie dans deux sphères gravitant autour de lui et agissant comme deux poings supplémentaires.
  
• Le rayon d’action de l’eau manipulée par l’hydromancien se situe dans un rayon d’un mètre autour de lui. Pas plus.

Merindar maîtrise l’escrime traditionnelle japonaise et sa canne dissimule un katana.




D'un calme froid en toute circonstance, Merindar pourrait au premier abord paraitre distant. Observateur et calculateur, cet homme est perspicace et surtout pragmatique. D'une grande intelligence, il agit pourtant de façon parfois irréfléchie à la provocation lorsqu'il s'est levé du pied gauche. Cet homme se considère comme un outil a de nombreuse choses, après tout, tout le monde finit par mourir et avant de finir dans un cercueil en bois, autant se rendre utile, voilà le fondement de sa pensée, il pousse celle-ci à l'extrême devenant le marteau d'une main qui enfonce un clou. Pour lui que ce sois au service d'un idéal ou d'un supérieur, l'homme ou toute autre créature qui soit n'est qu'un outil, un moyen utilisé pour parvenir à quelque chose de plus grand qui nous dépasse tous.

Loyauté et Justice sont pour lui deux concepts extrêmement important, la seule chose qui différencie l'homme de l'animal. Il représente l'avatar de la Justice à l'état pur. Ce fanatisme pour la justice couplée à ses capacités de réflexion font de lui l'un des pires adversaires qu'un criminel puisse avoir.




*Première page du journal de Merindar Damédarius*

Mutant... Mage... Sorcier... Tant de mots qui nous ont qualifié. Tous sont vrais, on dit qu'au Moyen Age les Hommes se sont lancés dans une chasse aux sorcières, dans les années 40 le IIIe Reich et l'URSS cherchaient à développer des surhommes à l'aide de drogues. Aux USA, certaine rumeur font état de rapports hautement confidentiels sur des personnes ayant des dons paranormaux. S'ils savaient... Je suis Merindar Damédarius, je suis né à Paris le 26 avril 1983 et je suis un mutant, mage, sorcier, surhomme ou encore hydromancien.

Si on passe outre mon don, je suis une personne tout à fait classique, j'ai grandi dans les rues de Paris et ai fait des études de criminologie. En parallèle, passionné des arts martiaux ancien, je me suis adonné à la pratique de l'escrime japonaise traditionnelle durant toutes mes années d'études. J'ai pu décrocher à la suite de mon master II de criminologie un concours de la fonction publique pour devenir commissaire, je l'ai réussis. Durant les cinq années qui suivirent, j'ai continué de faire mon métier au mieux tout en continuant de pratiquer l'art du katana.

Comment en suis arrivé là ? Tout a débuté en 1988 avec le meurtre sauvage de Lilia et Franck Damédarius, mes défunts parents. Un matin, je me suis levé. Je me souviens avoir tout de suite ressentie un malaise, papa n'était pas venu me réveiller. Je descends tranquillement les marches et là quelque chose cloche dans mon esprit. Je vois des taches rouges un peu partout et plus j'avance dans l'escalier, plus les éclaboussures se transforment en trainées. Doucement, je pousse la porte du salon. Je sens encore l'odeur du sang dans mes cauchemars, ils étaient là, tous les deux. Mon père gisait éventré, ma mère démembrée. Je crus d'abord à un jeu morbide et je criais à mes parents d'arrêter, je criais ! Criais ! Mais bien sure ils ne se relevaient pas, ils ne se relèveraient jamais. Par chance, on était mardi et tous les mardis notre voisine nous apportait un pot de miel. Pourquoi le faisait-elle ? Je l'ignorais. Mais, finalement, quelqu'un sonna à la porte. En pleurant j'allais ouvrir, la voisine me voyant plein de sang entra précipitamment dans la maison et alerta la police. Je pourrai coucher ici l'ensemble de l'affaire qui s'en est suivie, mais c'est sans intérêt pour ce journal. Suite à ceci, je fût placé chez monsieur et madame Dufour.

C'étaient deux personnes charmantes, ils n'avaient jamais pu avoir d'enfants et m'élevaient comme leur propre fils, me réveillant pour aller à l'école, me consolant quand j'étais triste, riant avec moi quand j'étais heureux. Ils étaient des parents parfaits. Malheureusement, ils ne remplaceraient jamais mes parents biologiques et leur souvenirs, je le savais déjà à l'époque, me hanterai toute ma vie.

Mon don s'est éveillé en 1994, je n'avais que onze ans. La police était venue à la maison. Je n'entendis pas les premiers échanges, mais suit à ceux-ci, madame Duporge m'invita à monter dans ma chambre, ce que je fis, en bon enfant obéissant. Six ans plus tard, le meurtrier de mes parents n'avait toujours pas été retrouvé et la police avait pris la décision de classer le dossier, c'est ce que me dit ma mère adoptive, une fois la Police partie. Je ne me souviens pas avoir ressentie une telle colère, un mélange entre douleur et haine. Monsieur Dufour m'apporta un verre d'eau pour me consoler, comme il le faisait d'habitude, mais cette fois, l'eau contenue dans le verre lui sauta au visage, comme si, dans un soubresaut il s'était jeté le verre à la figure. Ce jour là, je me suis renfermé, pour jusqu'à maintenant, ne jamais me rouvrir.

Au fur et à mesure des années, mon don devenait de plus en plus inquiétant, la moindre colère pouvait déclencher une catastrophe. Les Dufour qui m'aimaient profondément commencèrent à chercher des solutions. Médicament, calment, n'importe quoi pour calmer ce flux de haine et de colère qui générait des problèmes, mais aussitôt l'effet des drogues dissipées je devenais comme une bombe a retardement. Même à l'école, la situation devenait impossible, certains professeurs avait peur de moi, les élèves et leurs parents également. Heureusement pour moi, la faculté de contrôler l'eau n'est pas un motif légal de renvoie. Malheureusement, les enfants sont cruels, ils répondent à la peur par la haine. J'ai hérité de nombreux surnoms « Le sorcier » « Le bizarre » et même « Le monstre ». Cette spirale infernale dura jusqu'au jour où ils décidèrent de faire appel à cet homme qui fit prendre un nouveau tournant à ma vie.
Monsieur Mystiruis était un vieil homme strict, un spécialiste du paranormal. Il m'appris tout d'abord que ce que j'appelais malédiction était déclenchée par mon énervement. Il m'appris que la haine et la colère pouvaient être transformé en sentiments positifs comme la motivation, il m'a fait comprendre qu'il ne tenait qu'à moi de venger ma famille et de faire en sorte que ceci ne se reproduise plus pour personne. Une fois ceci assimilé, il m'entraîna à maîtriser cette chose qui grandissait en moi. Ce qu'il appelait un don l'était finalement devenu pour moi aussi. J'avais le pouvoir d'aller au-delà de ce que les gens normaux pouvaient faire. Lentement, mais surement j'apprenais. Les incidents étaient moins fréquents et au fur et à mesure du temps disparurent complètement au profit d'une maitrise parfaite de ce qu'on appelle l'hydromancie. Ce fut douloureux, ça pris des années, mais j'y étais enfin parvenus, jamais plus on ne se moquerait de moi. Je ne serai plus le sorcier, je serai Merindar, comme tout le monde, j'aurais à nouveau droit à un prénom. Le reste de ma vie put continuer sans encombre pendant un certain temps.

C'est une fois commissaire que tout dégénéra. Mon expérience du paranormal me poussait à aller plus loin que la normale, jusqu'à envisager publiquement le vampirisme ou la lycanthropie. Mes collègues m'avaient collé le surnom de « Merindar le fou ». Mais que disons-nous de Leonard de Vinci quand il disait que la terre tournait autour du soleil ? Que disons-nous de Christophe Colomb quand il affirmait que la terre était ronde ? Nous sommes censés tirer des leçons de l'histoire, mais l'Homme n'en tire aucune. Malgré ce surnom je continuais à traquer ces criminels, ses meurtriers, sans jamais réussir à en attraper. Même si j'étais la preuve que ces gens pouvaient exister, je n'avais aucun outil scientifique pour prouver leur existence. Je n'étais qu'un fouille-merde de bas étages. Ma persistance me valut un tour chez le psy' demandé par le préfet de police en personne. Celui-ci me déclara inapte au service et je fus contraint de quitter la police française.

On dit qu'après la pluie vient le beau temps, cette expression est vraie. J'ai erré pendant quelques jours dans les rues de Paris, je n'avais plus de but, ma vie était anéantie tout ça pour un abrutis de psy' ! Je passais mes soirées à gaspiller mes économies jusqu'au jour où je me fis interpellé par un de mes anciens indics'. Cet homme était un type bien, lui aussi croyait au paranormale et il m'informa d'une rumeur : il existait un lieu ou le paranormal et le normal ne faisait qu'un. Là-bas je pourrais peut-être retrouver le meurtrier de mes parents et venger d'autre famille victime de la sauvagerie de ces gens ne faisant pas l'effort de contrôler leur bas instinct ! C'était décidé, je prendrai le premier bateau pour Galway !






Comment avez-vous trouvé le forum ?Google is my best friends !

Le JDR et vous? Idylle récente ou vocation de longue durée?Une vieille histoire d'amour, j'ai commencé à le pratiquer j'avais 15 ans, aujourd'hui, j'ai presque 22 ans et cette passion ne m'a toujours pas quitté

Des questions / remarques avant de vous lancer ?Hm... Non je pense que tout est dit dans la fiche :p Je suis prêt !

Ah si ! Il faut bien voir la canne comme une arme non un simple objet d'apparat je dit ca afin d'éviter de surprendre les gens

Me revoici!

N'oublie pas de prévenir en postant à la suite lorsque ta fiche sera terminée, qu'on ne passe pas à côté

C'est finit !

Comme demandé sur la Chat Box je viens de détailler ma vision de l'hydromancie

Bonsoir jeune homme, et bienvenue à Galway!

Après avoir lu votre fiche, j'aurais quelques précisions à vous demander:
Tout d'abord, il faudrait détailler un peu plus votre don d'hydromancie: que pouvez-vous faire avec l'eau? La faire changer d'état? La manipuler en la faisant se déplacer? Et quelle quantité pouvez-vous prendre en charge, pourriez-vous faire déferler un tsunami sur Galway?

Ensuite, il y a quelque chose qui me chiffonne dans votre histoire qui manque à mes yeux de fil conducteur: votre personnage a seulement 21 ans, il a déjà été vagabond, apprenti en arts martiaux et ensuite détective privé sans avoir eu la moindre expérience dans ce domaine à un âge si jeune? Cela me paraît un peu décousu, il faudrait remanier un peu les évènements de votre histoire pour en faire une histoire plus cohérente.

Pour finir, faites attention à votre orthographe, car de nombreuses fautes ponctuent votre texte, l'utilisation de traitement de texte ainsi qu'une bonne relecture devraient vous aider à en venir à bout!

Bonne édition

Voilà j'ai réédité :

J'ai beaucoup plus détaillé l'hydromancie, vous me pardonnerez les cours de physique, mais je pense que c'est nécessaire ici, en bref résumé j'explique qu'il ne s'agit que d'une facilité défensive plus qu'une arme de destruction massive en prenant des exemples simples de la vie de tous les jours. Si jamais les chiffres cités au-dessus vous paraissent anormalement élevés, je vous confie ma source cela dit celle-ci est non officielle

http://yoseikanbm.free.fr/Savoir/Savoir1.htm

Parcontre, la seule chose dont il est fait mention dans cette source est la force d'un coup de poing en Kg, pour le reste je ne peux que vous renvoyer à un bon manuel de sciences physiques ^^'

Concernant le BG comme vous pourrez sans doute le constater, je l'ai complètement remanié et plus détaillé, j'ai modifié l'âge, j'ai tenté de garder le principe du personnage que je souhaitais en lui donnant un parcours plus commun

Et enfin, pour l'orthographe j'ai tout filtré à travers Bon Patron, word ne suffisant pas à palier mes lacunes.

EDIT : J'ai mis a jour le profil et la feuille de personnage

Comme demandé sur la chatbox j'ai modifié les signes distinctif de Merindar simplifiant ma vision de l'hydromancie et ajoutant ce qui était sous entendu par le BG (maitrise du katana et présence de celui ci)

Bonjour,

Je vois que vous avez apporté toutes les modifications nécessaires à votre fiche, je vous ouvre donc les portes de Galway!

Vous pouvez dès à présent rechercher un camarade de jeu dans la section Looking for rp.

En vous souhaitant un excellent séjour parmi nous,
Mr.X

Merci