Sexe: M.
Lieu et date de naissance: 25 mars 1982, Nouvelle Orléans.
Race: Humain (alternatif).
Apparence physique:
Joseph est un peu l'idée que l'on se fait du hipster afro-américain charismatique. La trentaine bien conservée, une physionomie intelligente et un visage la plupart du temps plaqué du sourire paisible de celui qui n'a pas besoin de réussir sa vie pour la trouver belle. D'une taille normale – 1m 80 – sa musculature n'est pas très marqué bien qu'elle le mette savamment en valeur, confirmant pour celles qui auraient encore un doute que l'éphèbe a tiré le bon lot à la naissance, car il ne l'entretient pas particulièrement bien que ses travaux soient souvent physiques. Quotidiennement, il aime s'habiller classe s'en être classique. Vieilles vestes en toile, jeans – parfois bons marchés – mais toujours choisit avec goût et portés avec élégance, les vestes en cuire rouge usées et les chemises à bandes ou vestons semblent lui porter à cœur, accompagnant bien un chapeau melon ou moins souvent un béret, posé en maître sur sa chevelure noire et courte. Mais on le verra aussi presque tout le temps avec toute une panoplie de colliers et de bracelets, allant du simple lacet au chapelet en passant par les colliers de perles en bois colorés de fabrication artisanale de Dieu seul sait où (sans doute du marché aux puces). Ayant un ascendant américain, sa mère lui a laissée une peau de mulâtre caractéristique à tout les fils du faubourg Marigny dont il faisait parti,
Signes distinctifsS'il y a bien un signe qui permette de le distinguer d'un autre loustique dans son genre – en fait il y en a trois – c'est ça : sa voix de vieux matou, qui se reconnaîtrait entre mille. Éraillé aussi bien qu'affriqué, son phrasé traînant américain est toujours fidèle à lui même, qu'il parle ou qu'il chante.
Mais son œil droit le discrimine aussi tout particulièrement de la masse du fait de la cataracte qui le voile depuis sa naissance. Celle-ci, bien que discrète et facilement dissimulable par une lentille (que Joseph porte tout le temps), le gène tout de même ; ou tout du moins le gênait. Maintenant il l'assume totalement mais il a prit l'habitude, depuis sa plus tendre enfance, à porter des lunettes de soleil, qu'il n'enlève que rarement et qui sont presque devenues un style de vie pour lui tant sa panoplie de paire semble se renouveler entièrement chaque semaine – ce qui, comme le savent les gens qui le fréquentent quotidiennement, n'est pas le cas, sans maquer tout de même d'évoquer une certaine part de vérité.
Le vévé du lwa Marinette est tatoué sur son biceps droit.
Dans le même genre, une série de petite cicatrices sur ses deux avant bras témoignent d'utilisations passées de son pouvoir, utilisations dont on ne pourra pas lui arracher récit. Ces cicatrices se distinguent clairement des vestiges des tentatives de suicide juvéniles et immatures des adolescents d'aujourd'hui.
Enfin, puisqu'il est question de pouvoir, permettez moi d'évoquer ce qui fait sa particularité, et que peu de gens connaissent vraiment : le sien, de pouvoir. Joseph possède un don qui lui a été révélé lors d'un rite Petro très privé porté en son honneur. D'aucun dirait que celui-ci lui est attribué à la magie, le monde blanc lui en penserait tout autrement. En effet, celui qui aurait l'intension de fouiller dans sa vie pourrait y dénicher des témoignages assez troublants de sa famille concernant sa petite enfance durant laquelle il aurait - alors que la mère avait le regard tourné - fendu à plusieurs reprise la porcelaine vétuste du lavabo sans que l'on puisse expliquer pour quoi. De plus, de nombreuses drogues ont étés consommés avant le rituel.
Concrètement, Joseph peut transformer son sang en force physique. Bien sûr, ce don est soumis à de nombreuses règles :
- Lorsque le sang se transforme en force, il est consumé, on ne trouvera donc pas de restes sur place.
- La transformation est exclusivement soumise à la volonté de Joseph qui peut saigner comme un humain normal.
- Pour atteindre son adversaire, le sang n'a pas besoin d'être en contact avec la cible puisqu'une fois transformé en force, celle-ci se répand dans l'espace.
- Lorsque le sang est sortit du corps de Joseph depuis quelques secondes, il ne pourra plus se transformer en force.
- La puissance de la force dépend de nombreux facteur. Tout d'abord l'était physique et mental de Joseph (la colère l'accroit, la fatigue l'affaiblit etc.) mais aussi la quantité de sang et la distance. La force se dissipe au fur et à mesure de sa propagation dans l'espace et devient moins puissante, une plus grande quantité de sang offrira une meilleure portée ainsi qu'une puissance supérieur à courte porté. La porté optimale semble aller jusqu'à trois mètres, mais après, cela dépend de la résistance de la cible.
- L'application de la force se fait sur la totalité du corps étranger ; sur toute sa surface donc mais aussi - dans une moindre mesure - à l'intérieur du corps (le principal du choc étant absorbé à la surface). De près, l'individu aura l'impression d'avoir courut à pleine vitesse vers un mur, ne pouvant savoir où il a mal exactement. Après le moment du choc la douleur persistera sous la forme de courbatures prononcées sans être intolérables. Si le choc a été particulièrement violent, la cible pourra subir des dommages internes de l'ordre du déboîtement d'épaule ou du trauma crânien superficiel. En général, les cibles proches sont projetés sur un ou plusieurs mètre suivant l'intensité.
- Joseph décide de la direction de la force. Il peut lui donner une direction opposée à la localisation de la blessure sans que celle-ci l'emporte en traversant son corps s'il le souhaite.
- Ce qu'il ne sait pas encore, c'est qu'il peut - avec une longue pratique - modeler la forme de la force pour la transformer en force tranchante ou la faire se propager tout autour de lui.
- Lorsque quelqu'un tente de boire son sang, il est fort probable que celui-ci soit confronter à une mauvaise surprise. Cela dit, la surprise et la douleur empêcheront de l'utiliser correctement et la force ne pourra pas causer de dommages mortels au vilain agresseur, bien qu'elle pourra l’éjecter violemment de son acte infâme.
Une dernière précision : Marinette est également protectrice des loups-garous, de fait, bien que le pouvoir marcherait tout de même à leur encontre, Joseph ne peut pas s'en servir les jours de pleine lune. De plus, son corps est à la même température qu'eux, un lycan le prendra alors pour l'un des leurs s'il se fit à la chaleur corporelle mais pour un humain s'il se fit à l'odeur.
Joseph est quelqu'un de vertueux à sa manière. Il n'est pas brusque, ni rancunier mais patient, sage et bienveillant. Parfois vulgaire, il n'en n'est pas moins intelligent : ayant lu beaucoup durant son enfance, il en connaît un rayon sur l'occulte et l'ésotérisme. Acerbe dans ses propos par moments, il faut le connaître pour comprendre que son cynisme n'est qu'une bonhomie de spectacle. Il est friand d'humour et de débauche. Il a essayé toutes les drogues existantes et continu encore d'innover en la matière tout en étant également un buveur et un fumeur invétéré. Mais sa drogue la plus dure, c'est la musique. Fervent dévot du jazz, il ne vit que pour cet art dont il est persuadé qu'il lui apporte la transcendance. Enfin, pour ça et les femmes, qu'il admire tout autant qu'il respecte, sans pouvoir tenir en place, se contentant d'histoires d'un soir renouvelées à l'infini et qui semblent tout à fait faire son bonheur tandis que celles-ci répondent favorablement aux charmes mystérieux qui émanent de lui et que lui même ne saurait expliquer si tant est qu'il lui prenne d'être humble. Il ne fait pas parti de ceux dont le passé est sombre ou qui portent une solide carapace pour cacher la chitine de douleur rongeant un être meurtri et éternellement fatigué. Non, lui reflète très bien l'esprit de la Nouvelle Orléans, et plus particulièrement de son quartier, à savoir la joie de vivre malgré les tempêtes qui s'abattent. Syncrétiste vaudou-chrétien, il parle le créole louisianais ainsi que l'anglais de naissance et croit traditionnellement au saint Bondye et aux forces invisibles, dont il sera finalement témoin. Ses amis ont droit à une place importante dans son estime et seront traités avec autant de respect et de loyauté que les membres de sa famille.
Tout commença un soir brûlant de mars, aux chaleur estivales précoces de 1982, alors que son père s'inquiétait d'un front trop plissé au chevet de madame Madeleine Mosso. La pauvre dame avait toujours eut l'accouchement difficile, héritage de famille disait-on. Ahmad, lui, pensait surtout que c'était parce qu'une gazelle n'était pas faite pour mettre au monde des lions. Et en parlant de lion, la sueur qui perlait sur le front de la maman lui parut bien vite une fraîche rosée alors qu'elle contemplait le fruit de son labeur : un bébé lion, comme son père.
Dernier d'une portée de cinq enfants, Joseph, été né avec une cataracte qui lui empêchait de voir. Le couple n'avait malheureusement pas les moyens de payer l'opération et culpabilisaient premièrement d'un tel fardeau pour leur enfant. Mais se petit mal se dissipa bien vite à mesure qu'ils le voyaient grandir et pétiller de joie ainsi que de curiosité. Il s'adonna à la lecture avec une passion qui surprit ses parents mais n'était pas en mal lorsqu'il était question de faire les quatre cents coups avec ses frères et sœurs, ce qui lui valut un certain nombre de corrections. Alcalin sans être turbulent, le passage à l'adolescence se révéla d'autant plus étonnant alors que les vers qui l'empêchaient de tenir en place s'étaient évanouis dans un profond coma. Il était alors le plus sage, curiosité de la famille et de ses amis qui l’appelaient l'intello bien que son niveau intellectuel fut tout à fait normal.
Il s'enflamma littéralement pour la musique qui l'avait toujours titillée depuis l'âge tendre. Il savait jouer du piano et était en phase de devenir un pianiste reconnu dans sa ville lorsque son père mourut d'une crise cardiaque. Une tragédie pour la famille qui s'effondrait non tant économiquement que moralement. Mais tout les six, ils relevèrent bien vite la tête pour en sortir fortifiés et on ne peut plus soudés. Joseph abandonna alors totalement le piano pour se concentrer sur la contrebasse de feu son paternelle – bien qu'il aurait put jouer des deux. Ce fut un exutoire et un deuil magistral qu'il lui accorda, jouant bientôt à la perfection de cet instrument millénaire, qui avait connu plusieurs générations de Mosso et qui avait été plus d'une fois reconstruite suite à des accidents.
A l'âge de 16 ans, il fit comme ses frères et arrêta l'école pour travailler afin de faire survivre la famille. Il oscillait alors entre les petits boulots (il fut poissonnier pendant des années) et les concerts dans des cafés, jouant et chantant, dans un rythme effréné qui n'allait pas sans lui plaire. Bien sûr, ce fut à cette période qu'il fit craquer le plus de demoiselles, bien qu'il ne les laissait déjà pas en reste avant.
Lorsqu'il fut mit au chômage technique parce que la poissonnerie dans laquelle il travaillait ferma, son intérêt pour la magie et les livres attira l'attention de la vieille femme dans l'échoppe de laquelle il se rendait au moins une fois par mois et elle l'engagea. Un travail qui, si il n'était pas très bien payé, le passionna d'autant plus qu'il eut accès à des œuvres plus hermétiques au publique.
Le jour de ses vingts ans fut un jour marquant pour lui. Alors qu'il se rendait chez lui où sa famille l'attendait avec un énorme gâteau, deux voitures se percutèrent devant lui, l'une d'elles s'étant enflammé. Ni une ni deux, il s'était rué vers le sinistre afin d'en extirper les corps inconscients au péril de sa vie. Cela pourrait paraître cliché, mais ce fut bien ce qu'il fit. Il fut rapidement rejoint par d'autres passants qui mirent eux aussi la main à la pâte, sauvant ainsi la vie des deux conducteurs. Lorsqu'il reprit son travail le lendemain, Marina (la vieille femme) lui dit qu'elle avait prédit l’événement et qu'il s'agissait là d'un mauvais tour qu'un lwa lui avait joué mais qu'elle ne l'avait pas prévenu car elle considérait cela comme une épreuve. Elle l'invita à une cérémonie qui aurait lieue le soir même avec un nombre restreint d'initiés, invitation qu'il n'aurait décliné pour rien au monde.
Quand il s'y rendit, on lui expliqua que le lwa qui était responsable de l'accident était Marinette ou Marinette Bwa Chech, que Joseph connaissait pour avoir beaucoup lu sur elle. On lui dit qu'ils devraient accomplir un rituel et que, s'il réussissait à ne pas tomber lorsqu'elle le chevaucherait au milieu du péristyle, elle lui devrait une faveur. Au fond, assit, silencieux, un vieille homme vêtu d'un chapeau de paille fumait la pipe en le regardant avec amabilité. Joseph comprit immédiatement qu'il s'agissait de Papa Legba. Marina lui expliqua qu'il était là pour veiller à ce que les règles soient respectés afin que le lwa tienne sa part du marcher, et pour assurer la connexion entre les deux êtres lors du rituel. Après une heure pour le moins éprouvante, Joseph avait tenu tête aux insultes, aux violences et à la fougue de Marinette sans tomber. On lui accorda le don du sang de Bwa Chech, la magie du sang, porteur de désastre, invoqué par le vévé de Marinette qui fut tatoué sur son bras. Le vieille homme lui donna un nouveau nom : celui de Tonton Jo. Ainsi, sans même que sa famille ne soit au courant de ce qui s'était passé se soir là, chacun de ses frères et sœur l'appelait par ce nom. Cela le perturba un moment mais il s'en accoutuma finalement.
Il réussit aussi tant bien que mal à cacher les cicatrices qui suivaient chaque expérimentation sur son nouveau don qu'il avait apprit à maîtriser avec précision en tenant compte des aléas. Apprenti au près de Marina qui était également mambo, on lui demanda plusieurs fois quelques services de nature magique où il se distingua pour ses qualités de guérisseur, ironie étrange pour quelqu'un qui portait en lui une magie destructrice. Il découvrit alors une communauté de gens, trop pauvres pour se faire soigner par la médecine conventionnelle ou qui ne lui faisaient pas confiance, qui venaient le voir lorsque leur enfant avait de la fièvre ou lorsque l'arthrite les faisaient souffrir. Ne demandant nul argent, il recevait en revanche avec joie des amulettes et autres chapelets qu'il portait sur lui et gardait précieusement, surtout lorsqu'il jouait de la contrebasse dans un café où sa transe musicale était décuplée.
Enfin, beaucoup plus tard, Marina, mourut de sa belle mort, fatiguée mais paisible. Une partie de son testament lui conseilla de se rendre dans une autre ville, dans un autre continent, afin de rencontrer sa destiné. Ayant confiance en la vieille dame qui avait toujours su garder la tête sur les épaules même dans ses derniers instants, il prit la décision de suivre son conseil. Après des adieux déchirant avec sa famille et ses amis, il s'envola pour le vieux continent grâce à des économies qu'elle avait mit à sa disposition dans ses legs. La tristesse de quitter son foyer fut rapidement remplacé par une foultitude de questions et une curiosité excitante. Pas qu'il ne porte d'intérêt au premier, juste que cette ville qui lui avait été décrite piquait au plus au point son émerveillement. Il se demandait comment cela devrait être. Heureusement pour lui, quelqu'un l'attendait là bas, à l'aéroport international de Dublin, et qui pourrait le loger en attendent qu'il trouve un travail. La personne en question s’appelait Andrew Bell, un irlandais pure souche, qui avait put déniché à Marina un grand nombre de livres originaire de cette terre de mystères où il se trouvait maintenant.
Lorsqu'il se réveilla dans la voiture, alors que la pluie battait de son plein de l'autre côté de la paroi lisse et transparente, laissant une multitude de larmes fébriles s'effondrer lentement vers le bas, il jeta un regard sur ce vert si caractéristique des landes gaéliques. Lentement mais sûrement, un rectangle flottant au dessus du sol s’avançait, menaçant, irrémédiable. Intrigué, Tonton Jo le détailla un peu plus. Il reconnut en premier lieu le "Wellcome" qui lui était adressé. En second lieu, le "H" blanc dessiné par une petite bande de vandales, recouvrant le "W". Il prit cela avec le sourire. Peu de temps après, un autre panneau, bien plus élevé et bien plus inquiétant capta son attention. Il ne pouvait en détourner le regard, il ne pouvait fermer les yeux. Puis, lorsqu'il passe derrière lui, il les referma enfin, constatant que sa vision y était toujours imprégnée, fantomatique. Il avait envie de dormir, il avait faim, cette ville lui donnait faim, cette ville dont le nom ne pouvait s'éteindre dans son âme.
Sur la pancarte, il y avait écrit Galway.
Comment avez-vous trouvé le forum ? Premier compte : Kelly.
Le JDR et vous? Idylle récente ou vocation de longue durée? Une vocation de longue durée au point d'en être phylogénétique.
Des questions / remarques avant de vous lancer ? Bien évidemment, celui qui me taira n'est pas encore né ! En ce qui concerne le pouvoir de mon personnage, je tiens à donner un exemple bête si cela vous paraît encore un peu sombre : un méchant pas beau et teigneux se pointe devant Tonton Jo et en veux à sa bourse (tiens, à tout hasard, Sarkozy qui correspond bien à la description). Celui-ci peux, pour se défendre, s'ouvrir les veines (oui oui c'est hardcore et un peu paradoxal, je sais ^^'). Par le simple fait de sa volonté, il peut transformer son sang en vecteur force. C'est à dire que celui-ci deviendra une simple force mécanique qui va aller brutaliser son adversaire. Le sang n'a pas besoin de toucher l'objet pour que la force s'y applique car celui-ci se propage dans l'air, toutefois il se dissipe selon la distance. Quelqu'un qui sera loin de Tonton Jo sera alors moins affecté voire pas du tout. Ça veut aussi dire qu'une plus grande quantité de sang sera nécessaire à une plus grande portée et que plus de sang sera mit à contribution, plus le vecteur force sera puissant. Ce que Tonton Jo ne sait pas encore, c'est qu'il peut en modifier la forme. Il peut par exemple limité sa propagation sur une des trois dimensions pour lui donner une forme de lame et ainsi obtenir un effet tranchant en lieu et place d'un effet contondant. Mais cela nécessitera de l'entraînement de sa part et, en aillant bien conscience que cette arme peut s'avérer redoutable s'il décide de se faire une bonne petite saignée féodale, je fera en sorte à ce que son utilisation reste mesuré et bien évidement ne porte atteinte à la vie d'aucun PJ (ce que le personnage lui même tentera d'éviter puisqu'il est de nature pacifique, mais dans une ville comme celle-ci...). Lorsque le sang est coagulé ou en bonne voix de coagulation voire même lorsqu'il est sortit de son corps depuis plus de quelques secondes, il n'a plus de pouvoir dessus et doit rejouer du schlass s'il veut postillonner des munitions supplémentaires. Cela dit, que le sang soit coagulé ou pas, il peut l'enflammer s'il trace la forme du vévé de Marinette ou de Papa Legba. Bon les flammes ne servent strictement à rien puisqu'en réalité le véritable pouvoir de ce truc et de taper la discute avec l'une ou l'autre des entités, donc rien qui permette de prendre le dessus sur une quelconque situation. Si l'existence de ces entité vous gêne par rapport au BG du forum, rien ne nous empêche de considérer le fait qu'il ne s'agit peut être finalement que d'un délire hystérique du personnage et que seuls ses pouvoirs ont une réelle substance. Si donc vous avez une question ou une objection particulière, et bien je ne vous apprend pas votre boulot d'admin que vous connaissez déjà très bien * yeux tout mignons *.
Ah oui et sinon j'ai l'intention d'écrire les récit à la première personne, en vue subjective donc. J'espère que vous n'y voyez pas d’inconvénient ?