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 Mr. Hycks

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Mr. Hycks
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Mr. Hycks

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MessageSujet: Mr. Hycks   Mr. Hycks Icon_minitimeMar 25 Oct 2011 - 14:52


Mr. Hycks

Sexe: Masculin

Lieu et date de naissance: Londres, en l’an de grâce 1802

Race: Hybride vampire-lycanthrope

Mr. Hycks Barre_14

Apparence physique:

Imaginez-vous un dandy du siècle dernier : un mélange de retenue et d’un soupçon de prétention, de charisme et d’humilité, de classe tout en restant sobre, et vous aurez une bonne approximation de ce que vous ressentirez en me voyant.
Mes cheveux mi-longs tirés en arrière sont toujours soigneusement gominés à la brillantine, de même que ma moustache qui rebique élégamment en deux petites vagues venant ourler mes lèvres.
Mes yeux vairons représentent à merveille la dichotomie qui m’habite : l’un noir, l’autre bleu perçant toujours encadré par un monocle destiné à corriger un léger défaut de vision le jour.
Je sors rarement sans couvre-chef, et mes vêtements sont toujours taillés –sur mesure- dans un extrême raffinement et dans les matières les plus nobles. Rien à voir avec les camelotes synthétiques bon marché dont vous vous affublez, vous les humains d’aujourd’hui, j’ai su garder de mon époque le goût des belles choses qui durent, contrairement à la société de consommation d’aujourd’hui qui jette les choses tout juste après les avoir achetées.
Malgré ma mise venue de l’ancien temps, il y a fort à parier que vous oublierez mon visage peu de temps après m’avoir croisé, car j’ai depuis longtemps cultivé cette aptitude à être parfaitement commun afin de me fondre dans le temps et le paysage. Seuls mes proches peuvent discerner ma véritable nature derrière ce masque banal derrière lequel je me dissimule.

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Est-il besoin de le préciser, je suis un homme de poigne, aimant diriger et doté d’une aptitude naturelle à exercer l’autorité. Je n’ai cependant rien d’un dictateur, bien au contraire, mais j’ai cultivé avec les années cette aptitude à décrypter le caractère de mes collaborateurs me permettant de toujours adopter le ton juste avec eux sans jamais dénoter la moindre faute de goût. Ainsi, je peux me montrer paternaliste avec les personnes ayant besoin d’être rassurées comme donner un coup de pied au derrière des flemmards patentés ne fonctionnant qu’au bâton.

En ce qui concerne mes goûts personnels, je me qualifierais d’amateur de bonnes choses et d’esthète en règle générale. Je n’apprécie que les œuvres d’art d’une extrême qualité, les meilleurs alcools vieillis dans les règles de l’art, et je ne fume que les cigares que je fais clandestinement importer de Cuba. J’attends de mes collaborateurs qu’ils soient excellents dans leur travail et de mes compagnes que leur physique agréable soit accompagné d’une tête bien faite et bien pleine. En un mot, je méprise la médiocrité, l’excellence est la seule alternative envisageable.

C’est sans doute cet élitisme qui a façonné mon idéologie actuelle…

Mr. Hycks Barre_16

Je suis né au cours de l’année 1802 au sein d’une petite famille bourgeoise de Londres. Mon grand-père était ferrailleur, tout comme son père l’était avant lui et ainsi de suite. Mon père, afin de briser ce cercle sans pour autant le dénaturer avait décidé de s’orienter vers une partie plus noble du métier en ouvrant à crédit sa propre fonderie, qui fabriquait à l’époque des pièces destinées à diverses industries : bâtiment, essieux pour les fiacres… Ce qui lui permit de donner à sa famille un meilleur niveau de vie. Nous ne roulions pas sur l’or, mais nous avions suffisamment pour avoir un toit au-dessus de nos têtes, de quoi manger en toute saison et surtout pour moi le luxe de pouvoir m’instruire.
Les affaires de mon père prenant de l’essor, nos moyens financiers se développèrent, me permettant de pouvoir pousser mes études jusqu’à la faculté, où j’appris auprès de grands professeurs les clés du commerce et de la finance, le tout dans le but avoué de reprendre un jour l’affaire familiale.

C’est à grâce à la faculté que je rencontrai la douce Mary-Jane, sœur de l’un de mes camarades, que j’épousai en justes noces à la fin de mes études, juste après avoir rejoint mon père au sein de la fonderie familiale. Les affaires étaient plutôt prospères, nous offrant ainsi la possibilité de traiter des métaux précieux et d’entrer par-là même dans l’industrie du luxe : l’orfèvrerie et l’horlogerie nous propulsèrent dans les rangs des grands de ce monde, qui s’ils nous considéraient toujours comme des petits parvenus appréciaient notre savoir-faire à sa juste valeur.
A force de fréquenter l’intelligentzia londonienne, je me pris à avoir des aspirations qui m’étaient alors inconnues et à mépriser quelques peu l’existence modeste que je menais alors.
C’est ainsi que j’ai commencé à me laisser influencer par mes fréquentations, à fréquenter les maisons closes, fumer de l’opium et boire de l’absinthe, délaissant totalement Mary-Jane et ses désirs de progéniture.
Bien vite, les prostituées ne suffirent plus à assouvir mes désirs de pouvoir, je me mis alors à entretenir des maitresses, sortes de concubines raffinées que j’installais dans de confortables appartements afin de pouvoir en disposer à ma guise. C’est ainsi qu’un jour, je suis tombé sous le charme d’une beauté diaphane, la superbe Bianca, que je me mis à fréquenter assidument. Je me doutais pas alors que le petit jeu de domination auquel je me livrais alors allait se retourner contre moi, car la belle était une créature dont la belle robe rose était ornée d’épines extrêmement dangereuses : Bianca était une vampire, qui décida une nuit de faire de moi son disciple.

C’est ainsi que je devint vampire, en l’an de grâce 1835. Le cacher à ma famille et à mon entreprise ne fut pas chose aisée : il fallut trouver tout un tas de subterfuges pour expliquer mes absences la journée et mon activité plus que nocturne. Heureusement si je puis dire, j’avais Bianca à mes côtés, qui m’aidait à maitriser ma nouvelle existence, m’apprenant par là-même à chasser les humains sans se faire repérer. Elle passait de longues journées à m’expliquer ma nouvelle nature, à m’apprendre à ne plus considérer les humains comme nos égaux mais comme une race inférieure, tout juste bonne à nous nourrir.

Sans doute fut-elle un peu trop habile à m’instiller son savoir, car une nuit où, cédant aux avances de ma femme toujours en désir éperdu de maternité je ne put me contrôler devant la proximité de cette peau si appétissante et de ce sang si chaud, tuant ainsi la pauvre Mary-Jane.
L’affaire fut bien vite étouffée et je ne fus pas ennuyé par les services de police, mais malgré le soutient déculpabilisant de Bianca, je commençais à m’interroger sérieusement sur ce que j’étais devenu. Je me mis donc en quête éperdue de réponse, fréquentant divinateurs et cartomanciens, ceux qui étaient alors spécialistes l’occulte.

C’est au cours de cette quête que je rencontrai Oz McBernick, un jeune aristocrate qui pour tromper son ennui versait dans l’alchimie à ses heures perdues. Cet homme ne s’intéressait que modérément aux vampires, car une autre race retenait toute son attention : les lycans, qui selon lui étaient bien plus forts que les vampires car leur masse musculaire était autrement plus développée et surtout qu’ils ne craignaient pas la lumière du jour. En contrepartie, il leur était quasiment impossible de contrôler leurs transformations et ce qu’ils faisaient alors.
C’est ainsi qu’est né le projet un peu fou de réunir en un seul être le meilleur des deux races, et je devins le cobaye attitré de McBernick. Cette période ne fut pas de plus heureuse, j’ai subit en tant que vaillant rat de laboratoire des expériences affreuses que je ne souhaiterais pas même à mon pire ennemi.
Cependant, un beau jour, et on ne sait pas quel procédé, le projet se concrétisa : l’alchimiste avait réussi son œuvre et avait fait pénétré la lycanthropie en moi. Ce fut le début d’une seconde période d’expérimentations et de tests, où McBernick et moi tentions de réguler les effets secondaires de ces expériences, car il était hors de question que je provoque un esclandre à la Jack l’Eventreur qui allait sévir quelques années plus tard.

La vie reprit peu à peu son cours normal, et j’appris avec le temps à tirer le meilleur de mon statut d’hybride, tirant ma force et ma résistance au soleil du côté lycan, et le contrôle et la longévité du vampire.
L’entreprise continua de se développer au fil des ans, et le temps fit son œuvre : mon père décéda, me cédant l’entièreté de l’entreprise, puis ce fut le tour de ce bon vieux McBernick, qui finit par perdre la raison à force de tenter de reproduire l’hybridation, qui devait rester un succès unique.

Il ne restait au final plus que Bianca et moi à la tête d’une société de métallurgie fort prospère, et la demoiselle se mit à devenir de plus en plus gourmande, convoitant une grosse part du gâteau que mon père et moi avions mis tant de temps et de sueur à confectionner.

C’est ainsi qu’en l’an de grâce 1888, je profitais de la psychose créé par Jack l’Eventreur pour me débarrasser de l’indélicate en imputant son meurtre au célèbre serial killer.
Libéré de toute attache et commençant à me faire officiellement vieux, je rebaptisai la société Steel Corp et la transformai en Société Anonyme dont je restai sous l’alias Mr.X l’actionnaire majoritaire et me mis à sillonner le monde.

J’ai fait de nombreuses rencontres fort enrichissantes au cours de ce périple, vampires, lycans, mais aussi quelques humains extraordinaires doté de quelques aptitudes intéressantes, sans jamais trouver l’alter ego dont je rêvais, devant me faire à l’idée que j’étais probablement le seul être de mon espèce à hanter cette planète.
Les années passant et l’Histoire se déroulant sous mes yeux, dévoilant son lot de guerres, de famines, d’atrocités et de génocides en tout genre m’ont amené à beaucoup réfléchir sur notre condition et sur le devenir de notre planète, me menant à la conclusion que les humains n’étaient que des microbes néfastes peuplant la planète comme les bactéries se développent dans les colons.
Leur nature belliqueuse, avide et égoïste les pousse sans cesse a commettre les pires actes, qu’il s’agisse de massacrer leurs semblables pour une sombre histoire de couleur ou d’ethnie, sans se rendre compte que malgré les différences dont ils s’affublent ils ont exactement le même goût à l’intérieur.
Leur propension à ruiner leur planète dans la seule optique du profit immédiat destiné à assouvir l’avidité de leur courte existence m’a finalement poussé à reconnaître que l’humanité était vouée à disparaître, le maillon inférieur de l’évolution qui allait se faire surpasser par les races supérieures, les vampires et les lycans.
Malheureusement, cette fois-ci l’évolution est apparue en deux races distinctes, rendant leur destinée plus dure à accomplir. C’est pourquoi mon but est de rallier ces deux races dans le but d’unir leurs forces et d’amoindrir leurs faiblesses afin d’éradiquer ces parasites que sont les humains, tous justes bons à être conservés en tant que bêtes d’élevage destinés à l’alimentation vampire.
Je ne dis pas que tout est bon à jeter dans la race humaine, par exemple leurs installations agricoles seront parfaitement adaptées à leur élevage et leur abattage, une fois que leur vraie condition leur sera rendue… Mais chaque chose en son temps, la cause n’en est qu’à ses prémices !



Signes distinctifs

En tant qu’hybride vampire-lycan, j’ai su tirer le meilleur parti de chaque race : le temps n’a aucune emprise sur moi, et mes capacités de régénération me rendent quasiment intuable.
Je ne crains en effet ni la lumière du jour, ni les croix ou autres objets bénis et encore moins les métaux.
Je ne peux toutefois pas me métamorphoser comme un lycan classique, le loup en moi a disparu mais j’ai conservé sa force et ses sens développés à l’état latents en moi, et même s’ils sont amoindris par rapport à un loup en pleine lune j’apprécie de pouvoir en bénéficier quand bon me semble et sans abîmer mes vêtements de surcroît.

Au niveau alimentaire j’affiche clairement une préférence pour les aliments carnés, notamment la viande humaine, mais je suis aussi capable de consommer des mets plus classiques, même si je ne leur trouve plus tout à fait le même attrait qu’autrefois.


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