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 Jaro

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Jaro
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Jaro

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MessageSujet: Jaro   Jaro Icon_minitimeMar 1 Nov 2011 - 17:48


Jaro

Sexe: Mâle

Lieu et date de naissance: Afrique du Sud, 1743

Race: Vampire

Jaro Barre_14

Apparence physique:
Ma haute stature est assortie de la carrure musculaire adéquate, puissante et harmonieuse, sculptée au cours des siècles. Ma peau est métissée de par mes origines mixtes, mais avec le temps le café a eu tendance à se délayer dans le lait, la vie prolongée dans les souterrains n’ayant pas tendance à flatter le teint. Mes cheveux tressés en dreadlocks m’arrivent à la taille, car je ne les ai jamais coupés, en rapport avec une ancienne coutume africaine selon laquelle la puissance et la virilité des hommes était reliées à leur tignasse.

Même si l’on dit souvent qu’il faut vivre avec son temps, je suis resté attaché au style vestimentaire du début de ma vie vampirique, qui est à mon goût beaucoup plus approprié à mon rang que les fripes actuelles.
Vestons à boutons chromés, chemises à jabot sont donc mon lot quotidien. Il arrive parfois que je me laisse séduire par des matières plus contemporaines, telles que le jeans.

J’apporte une grande importance à mon couvre-chef : si, en tant que Roi, je ne porte pas de couronne, je prends toujours garde à ce que ma tête soit dignement ornée. Je possède donc une collection importante de chapeaux, des hauts de formes en passant par les chapeaux-melon, les feutres, les borsalinos, panamas et autres trilbys.

Signes distinctifs
On me dit souvent que je dégage une aura assez intimidante, et c’est sans doute vrai, mais que voulez-vous, le mélange du pouvoir et de l’expérience a souvent cet effet sur la foule…

Jaro Barre_15
Malgré mon statut de monarque de l’Undertown, j’ai toujours cultivé un certain côté rebelle, ce qui est loin d’être incompatible : ayant déjà déjoué les règles de toutes les façons possibles, je sais mieux que quiconque déjouer les intrigants et les remettre à la place qui est la leur.
Dirigeant du monde souterrain, j’attends de mon peuple qu’ils me témoignent le respect dû à mon rang. Aussi, je ne souffre pas le moindre manque de respect, et mes requêtes ont intérêt à être exécutées dans la minute sous peine de déclencher une de mes fameuses colères, qui se soldent presque toujours dans le sang, que voulez-vous, on ne se refait pas.
Certes, j’inspire une certaine crainte, mais qui est souvent mêlée chez la gent féminine de fascination. Mon aura, dont je vous parlais précédemment, émet un certain magnétisme auprès des femmes, et je peux dire sans vantardise aucune qu’aucune ne me résiste.
Que dire de plus, si ce n’est que pour arriver là où j’en suis il faut avoir une ambition démesurée et un caractère en acier trempé. La fonction que j’occupe n’est pas taillée pour les fillettes : les états d’âme, les remords et l’apitoiement n’ont pas leur place.


Jaro Barre_16
Je suis le fruit d’une union défiant toutes les convenances : en 1743 en Afrique du Sud, il n’était pas question pour un haut dignitaire anglais de s’acoquiner avec une autochtone, de même qu’une native du pays n’avait pas le droit de céder aux avances d’un colon, et pourtant cela n’empêcha pas mes parents de me concevoir. Je bénéficiai donc d’une réputation exécrable avant même de venir au monde, cristallisant sur ma petite personne la haine de deux ethnies.

Cela ne s’arrangea pas avec le temps, bien au contraire, et en grandissant je ne trouvai ma place nulle part. Loin de me laisser abattre, je décidai de prendre le contrepied de ces deux peuples à l’esprit étriqué et de les arnaquer tous les deux : c’est ainsi que j’ai débuté le trafic de pierres précieuses, les extorquant aux africains et en les revendant un bras aux anglais.
Cette activité se développa bien vite en réseau, et je me retrouvai à la tête de tout un réseau mafieux local. Les affaires étaient prospères, et je me suis contenté de cette existence jusqu’en 1948, à la proclamation de l’apartheid.

Cette loi absurde, pondue par un imbécile d’humain réussit à me rendre l’existence difficile même au sein du réseau criminel sud-africain, je décidai donc de m’exiler dans d’autres pays , tels que le Mozambique et le Botswana.

Au cours de ce périple, je remarquai deux choses : la première, qu’il était beaucoup plus dur de fréquenter ses semblables qu’en Afrique du Sud, la deuxième que les conditions de vie des rares créatures que l’on réussissait à croiser était en général assez lamentables. A quoi d’autre aurais-je du m’attendre, dans des pays où les proies elles-mêmes n’ont pas de quoi se nourrir ?
C’est durant cette période que naquit un projet un peu fou : pourquoi ne pas fédérer autour de moi les exclus de ces provinces, vampires, lycans, et mêmes humains, partant du principe que l’union faisait la force ?

Ma rencontre avec les sœurs Fall en Namibie me permit de concrétiser ce projet, et nous commençâmes à recruter pour la meute, un réseau de créatures reclues en tout genre, et nous nous installions dans un lieu à jamais protégé de la lumière du jour et des regards des autres : des grottes souterraines.

Le recrutement dura des années et traversa tout le continent, et la Horde prit de l’ampleur. Une fois arrivés en Egypte, j’entendis un jour parler de la construction d’un parc d’attraction dédié aux créatures de la nuit. Au début, je n’y prêtai pas attention, pensant qu’il s’agissait d’une énième façon que les occidentaux paresseux avaient trouvée pour occuper leur trop plein de temps libre, jusqu’au jour où un l’un de mes informateurs m’apprit qu’il s’agissait en fait d’une société écran destinée à camoufler les agissements des créatures locales, qui apparemment étaient présentes en nombre suffisant pour que le monde extérieur s’y intéresse.

L’occasion était trop belle : une cité occidentale terre d’asile des créatures telles que nous, sublimée par un parc qui allait y amener la crème des touristes embourgeoisés de ce monde ? Ne pouvant résister à cet appel, nous décidâmes de déménager la Horde dans les sous-sols irlandais et faire bénéficier à Galway de notre expérience criminelle.

Quelques temps après notre implantation, le parc fut détruit par un incendie criminel – qui pour une fois ne provenait pas de nous, je vous le certifie – mais je pris la décision de rester, habité par la conviction que notre place était bien ici.



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