Sexe: Masculin

Lieu et date de naissance: France, automne 1805

Race: Vampire


Apparence physique:

Viggo mesure 1m80 pour seulement 65 kg. Il n'est donc pas très costaud. Il possède de grande jambes et des mains fines. De plus, il est imberbe. Ses cheveux en pagaille sont châtains foncés, presque noirs, et ses yeux gris. Un tatouage orne sa joue gauche. Mais ce n'est pas le seul, son épaule gauche et son torse en sont couverts.
Il porte autour de son cou une chaine en argent au bout de laquelle pend la bague de Mia, cette chaine est toujours sous ses vêtements.
Concernant ses vêtements, il porte un trench-coat noir la plupart du temps ouvert. Dessous, il porte un pantalon foncé. Sa chemise claire est rehaussée d'un veston noir lui aussi. Des bottes noires viennent terminer le tableau. Dans son dos, au niveau de sa taille, se trouve une dague fixée horizontalement à sa ceinture. Cette dernière n'est pas visible directement puisqu'elle est sous son trench-coat.
Il a aussi toujours sur lui, dans une poche intérieur de son manteau, au niveau du coeur, un étui métallique pour cinq gros cigares.

Signes distinctifs

Le tatouage qu'il prote sur la joue et du même coup, ceux qu'il a ailleurs sur le corps.


Humour noir, cynisme, amusement, lassitude... Voila quelques mots qui suffisent à décrire Viggo. En effet, il est toujours en recherche de quelques chose qui l'amuse ou l'intrigue. Cependant il se lasse assez rapidement de ce qu'il fait et a donc besoin de trouver autre chose.
De plus, C'est un grand amateur d'humour noir. Il est d'ailleurs parfois difficile de différencier l'humour noir ou le cynisme de ce qu'il pense vraiment. Il hésite rarement à dire ce qu'il pense ou à mettre les gens mal à l'aise. Dans le même ordre d'idée, il aime aussi jouer avec les gens, poussant le vice jusqu'à la torture mentale par moment, même si cela lui a déjà valu quelques mauvais coups.
Malgré cela, Viggo est un solitaire. Il n'aime pas le vie de groupe, encore moins être dirigé. Il n'est pas asocial ou ermite. Loin de là, il aime passer du temps avec d'autres personnes. C'est vraiment l'esprit de groupe qui le dérange. Tout comme les idées de classes, castes et autres groupements.
Un dernier point est très marqué dans le caractère du vampire, c'est un collectionneur. Ainsi, la plupart des objets qu'il possède ont une signification. Petit exemple, la dague qu'il porte vient d'un vampire asiatique qu'il a tué il y a de nombreuse années. Cela peut aussi s'apparenter à de la nostalgie.



Jean Demart est né une après-midi pluvieuse d’automne dans une maison d’un petit village de la campagne française en 1805. Ca mère avait accouché dans la douleur après plus d’une demi journée de travail. Il s’en était fallut de peu qu’elle meurt en couche. Jean, quant à lui, était maigrichon et pas très vaillant.. Beaucoup parièrent sur sa mort, mais il n’en fut rien.

Son père était le boucher du village. Il vécu une enfance miséreuse. En effet, le village était peu peuplé et loin des grandes routes de voyage. Ils se nourrissaient principalement des cultures et des animaux du jardin. Malgré cela, il eu une enfance relativement heureuse. Il passait son temps dehors avec les autres enfants et participait comme il pouvait à la vie de la maison. A l’age de 12 ans, il débuta ce qui était prévu depuis sa naissance, c’est-à-dire travailler avec son père dans le but de reprendre un jour l’affaire familiale.
Ainsi, il commença à apprendre l’art de la boucherie. Il se révéla doué dans ce domaine et maniait particulièrement bien les couteaux. Son père ventait ses mérites à qui voulait les entendre, n’oubliant pas de préciser que c’était une qualité héréditaire. Toutefois, Jean fit rapidement face à un handicap, même s’il avait grandi, il n’était pas taillé comme son père et gardait son air freluquet. Du coup, il était difficile pour lui de porter les corps de cochons et autres.

Suite à cela, l’ambiance familiale se dégrada. Son père commençait à douter de sa capacité à reprendre la boucherie et jugeait que c’était de sa faute s’il n’était pas physiquement capable. Jean passa de moins en moins de temps chez lui et se mit à rêver d’autres lieux. A 16 ans, il partit en pleine nuit sans un mot. C’était la dernière fois qu’il voyait ses parents.

Il rejoignit un des grands axes commerciaux et paya un marchant pour pouvoir faire le chemin avec lui, c’est ainsi qu’il se retrouva à Paris. Rapidement, il trouva du travail dans une taverne. Il travaillait dans les cuisines et était chargé de couper la viande, de la boucherie en somme mais aussi de la plonge. Il fit preuve d’une grande capacité d’adaptation. Il s’intégra facilement et se mit même à apprendre la cuisine. Quelques mois plus tard, suite au départ d’un cuistot, il fut promu et travailla derrière les fourneaux tout en devant toujours s’occuper de la découpe.

Un jour, alors qu’il attendait en salle, au bar, que le patron lui donne sa paye, son regard fut attiré par deux femmes. L’une était blonde et l’autre rousse, mais c’était cette dernière qui attira son regard. Elle avait la peau claire, des cheveux couleur feu, des yeux noirs profonds, une forte poitrine et portait des vêtements bourgeois. Il n’arrivait pas décrocher son regard, il était comme déconnecté de la réalité, le bruit l’entourant était lointain. Il vivait en quelque sorte son premier coup de foudre. C’est son patron, en ayant marre qu’il ne réponde pas, lui tapant sur l’épaule. Ce contact physique lui fit reprendre ses esprits, il empocha son argent et s’en allant les yeux baissés n’osant plus regarder cette femme.

Il avait connu des femmes mais aucune comme celle-là. Doucement, elle se mit à hanter ses pensées. Tous les jours, il jetait un œil en salle pour voir si elle était là. Il désespérait ne la voyant pas revenir. Puis un soir, alors qu’il avait presque perdu espoir, il la vit. Son souffle se coupa et il sentit son corps bouillonné. Il ne pouvait même pas dire qui était avec elle, tellement elle l’obsédait. Les mois passèrent et s’était toujours le même refrain, elle finissait tôt ou tard à réapparaitre. Il fallut du temps pour qu’il comprenne qu’elle venait chacun fois que le même chanteur animait la soirée. Un soir, elle lui adressa un léger sourire. Il rougit, son cœur s’emballa et il se réfugia en cuisine.

L’air de rien, il se renseigna sur elle auprès de ses collègues. Il apprit qu’elle vivait avec deux autres femmes, apparemment ses sœurs, dans un manoir. Toutes trois étaient des mécènes. Cependant plusieurs rumeurs faisaient état d’évènements bizarres s’étant déroulés chez elles mais il n’y prêta guère attention.

Plusieurs mois plus tard, lors de sa sortie de la taverne, elle était là dehors et l’accosta. Il la trouva encore plus belle que d’habitude. Le souffle court, le cœur battant la chamade et les jambes fébriles, il bégaya une salutation. Un petit rire cristallin traversa ses lèvres, elle s’approcha plus près de lui. Il pouvait sentir son parfum à la fraise. Elle lui expliqua qu’il leur manquait un cuisinier et qu’elles avaient un grosse réception le lendemain soir. Elle lui proposa de venir travailler chez elles. Il serait nourri, logé, blanchi et recevrait en plus un petit salaire. Elle lui donna son adresse et lui dit de s’y présenter le lendemain matin s’il était intéressé. Elle le salua et lui envoya un baiser avec la main.
Il ne put répondre, il était comme paralysé. Il resta ainsi sans bouger jusqu’à ce que sa silhouette disparaisse dans l’obscurité. Après quelques minutes, il reprit possession de ses moyens et s’en voulut de ne pas avoir pu répondre. Il alla démissionner et rentra dans son petit appartement. Il était tellement excité qu’il n’arrivait pas à dormir, il prépara son baluchon et attendit. Finalement il s’endormit tard dans la nuit.

Le lendemain matin, il se présenta à l’adresse indiquée, son baluchon sur l’épaule, plein d’enthousiasme. Il avait 19 ans et ne savait pas dans quoi il venait de s’aventurer. Il fut reçu par l’intendante qui l’attendait, elle lui montra la cuisine, le présenta aux autres domestiques et lui montra ses appartements. Il apprit le nom des trois maitresses de maison. Grace à une peinture, il pu les découvrir. Julia était mince et élancée, elle aussi avait la peau claire et des petits taches de rousseurs ornaient son visage. Alexia était une brune au teint plus mat mais clair quand même, elle était plus forte que ses deux sœurs et sa chevelure crollée descendait en cascade sur son dos. La troisième se nommait Mia, pour elle il n’avait pas besoin de la peinture, il avait mieux, sa mémoire. Il passa sa première journée dans les cuisines. Il fut surpris et déçu de ne pas voir Mia et il en fut ainsi pour les moins qui suivirent. Avec le temps, il remarqua que certain domestique ne venait pas dormir dans la dépendance mais il n’y accorda aucune importance. Il vivait dans l’espérance de revoir Mia.

Après une grande réception qui avait duré tard dans la nuit, il était un des derniers domestiques dans la cuisine. Occupé à nettoyer ses ustensiles, il n’entendit pas Mia s’approcher. Il sursauta lorsqu’elle s’adresse à lui et se coupa avec le couteau qu’il nettoyait. Son doigt se mit à saigner relativement abondamment. Elle s’excusa et s’empressa de saisir le doit de Jean et le porter à sa bouche. Elle suça le doigt jusqu’à ce que le sang s’arrête de couler avec un air malicieux. Cette situation avait un coté sensuel mais surtout elle sembla libérer le jeune homme de toute gêne. Bien qu’il lui restait toujours cette sensation interne intense.
Elle lui rendit visite de plus en plus souvent le soir comme ça et il fallu peu de temps avant qu’il ne finisse dans son lit. Jean devint l’amant de Mia et abandonna petit à petit ses appartements. Elle lui apprit entre autre à lire, à écrire mais aussi à jouer du piano. Ils étaient entrés dans une triple relation domestique-maitresse, amant-amante, apprenti-mentor qui rendait les situations complexe par moment mais surtout offrait un pouvoir certain à Mia sur lui. Durant tout ce temps, il exerçait toujours la fonction de cuisinier la journée.

La première fois que cela arriva, c’était alors qu’il faisait l’amour, elle lui mordit le téton à sang. Surpris par la douleur, il la repoussa et recula. Elle se confondit en excuse, arguant que c’était la fougue qui l’avait emportée. Il lui pardonna sans plus d’explication. Mais avec le temps, cela se répéta et jusqu’à devenir une habitude. Plus le temps passait plus son emprise sur Jean augmentait.

Un jour, elle lui parla d’un art qui lui avait été enseigné par un chinois qui consistait injecter de l’encre dans la peau avec une aiguille pour réaliser un dessin indélébile. En guise d’exemple, elle lui tatoua l’épaule d’un signe dont il ne connaissait ni l’origine, ni la signification. Il apprécia moyennement l’épreuve mais ne dit rien pour ne pas contrarier celle qu’il aimait. Après son épaule, ce fut le tour de son torse.

Un soir, Mia le mordit au biceps. Il ne s’inquiéta pas au début car c’était presque une habitude. Cependant, Mia n’arrêtait pas et la douleur s’accentua. Il se débâtit et elle finit par lâcher. Ce qui le choqua le plus était la bouche pleine de sang. Il recula vers un coin de la chambre apeuré. Il ne savait pas quoi faire. Un fois encore, elle parvint à le calmer, à le rassurer et comme un louveteau, il revint se lover dans les pates de sa louve.
Ces morsures « longues » devinrent de plus en plus courantes. Un autre acte marqua l’importance de l’emprise de Mia sur Jean. Cet acte fut le tatouage qu’elle lui imposa sur la joue gauche. De ce fait, elle en faisait sa propriété mais ce tatouage allait rendre le jeune home reconnaissable toute sa vie.

Une alors qu’il faisait l’amour, alors qu’il était sur le dos, elle le mordit au niveau de la gorge. Il fit un mouvement pour se dégager mais elle le bloqua. Il recommença de plus belle. C’est à ce moment là qu’elle saisit ses avants bras et les planqua sur le lit. De manière semblable, elle bloqua ses jambes. Il était stupéfait par la force qu’elle déployait, il ne pouvait plus bouger.
Bientôt la douleur fut insupportable, il n’en pouvait plus. Il se surprit même à espérer mourir pour que cela finisse. Petit à petit, il se sentait glisser. Ses membres s’engourdissaient. Sa vue se troublait légèrement. Petit à petit la douleur disparu. Il était comme suspendu, il entendait et voyait vaguement se qui se passait mais n’avait presque plus de sensation.

La pression sur son cou se relâcha et Mia eut ce rire cristallin qui lui était si caractéristique. Ses deux sœurs entrèrent, le fait qu’ils soient tous les deux nu ne gêna pas Jean, il n’avait presque plus de contact avec la réalité. Il entendait vaguement qu’elles discutaient entre elles. Soudain il sentit quelque chose contre ses lèvres, un liquide tiède s’en écoulait. Il réalisa que c’était le sein de Mia, le liquide avait un gout métallique immanquable, c’était du sang. Il téta comme à son premier jour, comme un nourrisson. C’était en 1830 et Jean renaissait. Il avait 25 ans et était maintenant un vampire sans qu’il le sache. Il venait de passer sa dernière journée enfermé. Jean était mort, Joshua était né.

La nuit suivante, Mia lui expliqua qu’il était à présent un vampire et ce qui ça impliquait. Il ne comprenait pas, à part sa gorge douloureuse, il se sentait comme avant. Elle avait selon ses dires plus de 200 ans. Il fit ensuite la connaissance des sœurs de Mia qui avait pour seul lien le fait d’être des femmes et des vampires. Il comprit que les réceptions où venaient des artistes étaient des réceptions pour vampires. C’est ainsi qu’il commença une nouvelle éducation, celle du vampirisme. Il apprit à se nourrir, à chasser, à vivre, à se faire passer pour un humain. Le temps passait mais malgré tout il gardait cette dépendance envers Mia. Cette dernière n’hésitait pas à en jouer pour pousser toujours plus loin Joshua. Elle avait cependant arrêté les expériences corporelles comme les tatouages.

Une nuit, Mia lui avait donné comme mission de ramener une fillette de moins de 12 ans dont il aurait bu presque tout le sang. Il s’était exécuté sans broncher même s’il avait eu quelques difficultés à passer à l’acte. Alors qu’il revenait, fillette sur l’épaule, il aperçut de la fumée s’émaner de la maison. Il abandonna le corps et courut jusqu’au manoir. C’est là qu’il découvrit la maison en feu. Il parcouru la foule du regard et ne vit ni Mia, ni ses sœurs. Il se précipita à travers les badauds et s’engouffra dans la maison en feu. Plusieurs cadavres gisaient sur le sol, il les suivit jusque dans le grand salon. C’est là qu’il vit l’horreur. Les corps meurtris des trois sœurs étaient étendus sur le sol. Toutes trois étaient décapitées ou presque. Il prit le corps de Mia et le serra contre lui. Il voulait mourir, il voulait disparaître. Il sentit une force le tirer dans le dos, deux hommes étaient venus le chercher. Il lâcha le corps de son aimée, alors qu’il tenait encore sa main, il se saisit de la bague qu’elle portait chaque jour.

Il sortit de la maison hagard, il titubait et était déconnecté de la réalité. Tout lui semblait loin, à tel point qu’il n’avait ni remarqué, ni sentit que sa manche était en feu et le brulait. L’eau que lui lança un homme pour éteindre le feu le ramena à la réalité. Il poussa les gens qui l’entourait et s’enfuit en courant. Il courut aussi longtemps qu’il pouvait. Il s’arrêta à l’entrée d’un égout et y entra car le soleil se levait. Il s’enfonça dans l’obscurité avant de s’écrouler au sol. Il avait tout perdu, il avait perdu la seul femme qu’il ait vraiment aimé, il avait perdu le peu de connexion qui lui restait de Jean.
Joshua avait 38 ans et venait de perdre toute humanité.

Il passa plus de deux ans à errer dans les bas-fonds de la ville, se nourrissant principalement de clochard et d’animaux. Il n’arrivait pas à se laisser mourir mais ne voulait pas d’une « vraie » vie non plus. Une nuit, il décida de se prendre en main, avait-il finit son deuil ? Il ne se posa même pas la question. Il se dirigea vers le port et embarqua dans un bateau pour l’Amérique. Le seul souvenir qu’il emportait avec lui était la bague de Mia pendue à son cou.

En Amérique, il rencontra d’autres vampires, apprit à se servir d’une arme et à se battre. Très vite, il comprit qu’il était relativement doué pour tuer et qu’il aimait ça. Il commença à vendre ses services aux plus offrants. C’est aussi là-bas qu’il rencontra pour la première fois des lycans ainsi que des humains aux capacités particulières. En 1882, il avait parcouru presque tous les Etats-Unis et était devenu un pistoléro un peu trop connu à son gout. Joshua avait 77 ans et quittait les USA. Il avait 77 ans et se faisait maintenant appelé Jack. Il aimait changer de nom pour retomber dans l’anonymat, bien que son tatouage facial le rendait reconnaissable pour la plupart des personnes qui l’avaient rencontré. Il se promena un peu partout dans le monde et comme un ogre de la culture, s’imprégnait des cultures locales. Il vendait souvent ses services aussi différents soient-ils.

Au début de la seconde guerre mondiale, beaucoup de rumeurs faisaient état d’un intérêt certain des SS pour tout ce qui sortait de l’ordinaire et donc pour les créatures de la nuit. Un vampire qu’il avait connu en Amérique lui proposa de rencontrer des dignitaires allemands qui étaient à la recherche de personnes aux capacités « spéciales ». C’est ainsi qu’il rencontra Heinrich Himmler en personne. Il se révéla avoir une connaissance des créatures de la nuit qui impressionna Jack. A la fin de la soirée le chef de la SS lui proposa de diriger un petit escadron spécial constitué de d’un lycan et de 3 hommes aux atouts paranormaux. Son tatouage facial ne posa pas vraiment de problème car il n’allait pas faire partie d’une composante officielle de l’armée et ne devrait pas parader et compagnie. Les principales missions de son équipe furent des massacres, des interrogatoires « musclés », des actes de terreurs et autres horreurs. Jack n’avait pas aucune sympathie et aucun intérêt pour l’idéologie nazie, seulement il était bien payé et pouvait essayer de nouveaux trucs.
Quand il sentit le vent tourner, il retourna sa veste et se vendit au service secret américain. En contre partie, il leur apprit tout ce qu’il savait sur l’armée nazie et la partie occulte de la SS. Il fut aussi charger de tuer son équipe de tueur.
Durant les années qui suivirent, il travailla pour la CIA, surtout comme assassin, un peu partout dans le monde jusqu’à ce qu’il se lasse. Il disparut du jour au lendemain. C’était en 1975, il avait donc 175 ans et s’appelait désormais John. Il passa presque toutes les années qui nous séparent d’aujourd’hui en Afrique. Jouant au mercenaire, ils se vendait au plus offrant et participa ainsi aux diverses guerres et conflit qui ravagèrent ce continent.

En jour, il en eut marre et décida de partir sans demander son reste. Il parcourut l’Europe et c’est là qu’il entendit parler Galway. L’esprit que dégageait cet endroit l’amusa. Cela faisait longtemps que quelque chose ne l’avait amusé. Il avait 207 ans et se faisait appelé Viggo à présent. C’est ainsi qu’il débarqua à Galway.



Comment avez-vous trouvé le forum ?

Grace à Tour de jeu...

Le JDR et vous? Idylle récente ou vocation de longue durée?

Ouf... Ca fait déjà quelques années. J'ai eu une petite pause mais l'envie est revenue donc voila.

Des questions / remarques avant de vous lancer ?

Pas une question mais une excuse s'il y a encore quelques fautes mais il est tard....

Re bonjour!

Après avoir lu ta fiche je n'ai pas grand chose à redire dessus, l'histoire est sympathique et bien agencée... J'aurais juste une remarque: tu ne parles pas du tout des tatouages de ton personnage, et je pense que celui sur la joue nécessiterait d'être inclus dans l'historique car c'est un signe particulier assez important (et même vis à vis de l'histoire, les SS ou la CIA sont pas très fans du body art ^^)

Il reste aussi quelques détails HRP à régler: il faudrait que tu remplisses les champs "Qui suis-je", "Age apparent" et "Taille/poids" comme expliqué ici et que tu signes le règlement du forum.

Je pense également que ton avatar est un poil trop manga pour notre charte graphique et qu'il te sera refusé, si je peux t'aider à en trouver un autre il suffit de me dire à peu près ce que tu recherches!

Voilà, c'est tout pour moi, je laisse un admin prendre le relais

Tout d'abord merci

Encuite, concernant les tatouages, c'est vrai que je ne parle que du moment où il se fait tatouer. Mais je ne voulais pas trop m'épancher sur ce que ça a impliqué par la suite pour ne pas aller trop dans le détail. S'il faut plus de précision pour certains moments, je le ferai avec plaisir.

Concernant les SS, je me suis inspiré de le réel intérêt qu'ils avaient pour l'occulte (et des adaptations fantastiques qui en ont découlé) et pour la CIA du fait que pas mal d'ancien Nazi ont été recruté à la fin de la guerre. Et du coup, je me suis dit que le tatouage n'était pas un problème...

Je règle les détails HRP de suite.

Et pour l'avatar... Ben je vais me remettre à chercher.. Si tu peux m'aider, voila en gros ce que je cherche : Homme +/- 25 ans, pas costaud, cheveux bruns...

J'ai trouvé un nouvel avatar. J'ai, du coup, fait quelques modifications dans la description physique pour mieux collé à l'image.

L'avatar correspond bien mieux en effet ^^

Pour le tatouage je pense qu'il serait quand même intéressant de le situer au niveau de l'histoire, mais je laisse les admins se prononcer sur le sujet, je ne suis pas une grande experte sur les relations SS/body art !

Bonsoir,

Je suis du même avis que Llylewin, votre fiche est très bien, et votre nouvel avatar ne pose pas de problème.

Cependant j'avoue avoir du mal avec l'idée d'un SS avec un tel tatouage sur le visage, vu le critère drastique de sélection de ce genre d'agent à l'époque. En plus vous parlez d'un intérêt pour l'occulte dans votre poste, mais pas dans la fiche de votre personnage.

Cette histoire de tatouage a titillé ma curiosité, et j'aimerais que vous apportiez un peu plus de précision dessus (le coté occulte, les implication d'un tel tatouage etc...)

J'attend avec impatience vos explications

Voila j'ai développé la partie en rapport avec les SS. Et précisé que même s'il changeait de nom, son tatouage en faisait quelqu'un de reconnaissable.
J'espère que c'est suffisant.

Dans le cas contraire, j'apporterai plus de précision.

Bonjour,

Je vois que vous avez apporté les modifications demandées, je vous ouvre donc les portes de notre cité. Bienvenue parmi nous!

Vous pouvez désormais aller chercher un camarade de jeu dans la section Looking for Rp

Merci bien.

Bienvenue, et cette fois-ci officiellement

Bienvenue à toi sur le fofo, amuse-toi bien (je suis certains qu'un vampire comme toi ne s'ennuiera pas :p)