Sexe: Masculin

Lieu et date de naissance: XVIème siècle difficile d'être plus précis

Race: Vampire


Apparence physique:

Bien des vampire restent dans l’esthétique vestimentaire du temps de leurs transformations. Une sorte de blocage, un moyen de garder son identité propre malgré le temps qui passe, les époques qui défilent.

Étrangement ce n’est pas le cas de Kain. Alors que la période de sa transformation est marqué par des tenue ostentatoires, qui seraient aujourd’hui aisément remarquées, le vampire a opté pour un certains classicisme. Quelque soit les époques, sa tenue restait toujours "passe-partout". Pas de fioriture, pas de quoi se faire remarquer à cause d'habits extravagants.
Aujourd’hui vous le croiserez la plupart du temps en chemise blanche, pantalon ou jeans noir, bottines, passer inaperçu étant la B A bas de ses hobbies.

Mais ce n'est pas la seule raison de se choix vestimentaire, en effet le vampire compense un physique quelque peu original, à savoir des cheveux blanc, presque argentée, une peau dont la pâleur ne laisse que peu de doute quand à ce qu’il est, et surtout des yeux perçants d’une couleur assez unique, entre le marron et l’or.

Signes distinctifs

Rien de bien particulier, si ce n'est d'étranges tatouages sur son torse dont la singification n'est connu que de lui... Disons plutôt que toutes les personnes qui l'ont su ne sont plus de ce monde.


Décrire la psychologie de ce vampire s’apparenterait à lire le roman le « silence des agneaux », ou voir le film, une très bonne adaptation sois dit en passant.

Kain correspond parfaitement à ce personnage, intelligent, cultivé. Il est sur de lui, et généralement obtient ce qu’il désire.
Manipulateur, il éprouve un réel plaisir à semer la confusion chez les autres. Détruire physiquement ne lui suffit pas, pouvoir plonger sa victime dans une détresse absolue, l'écraser psychologiquement, lui enlever toute espoir reste un jeu auquel il s'adonne dès qu'il en a l'occasion.

Avec son vécu, son expérience, il a appris à éprouver les limites éthiques instaurées par les hommes. Oui tous comme Hannibal, Kain est un monstre, il ne possède aucune limite. Il maitrise la notion de bien et de mal, et il a clairement choisit son camp. Chacun de ses actes sont prémédités, réfléchis.

Malgré tous Kain a des sentiments, éprouve des choses. Peut être son point faible, si vous arrivez à casser la coquille qu'il consolide depuis des centaines d'années. Non il n'a pas de cœur, mais il éprouve de la colère et peut même se montrer impatient. Qui sait peut être arriverez vous à lui faire perdre le contrôle et donc commettre une faute....



Je suis né en France, cela fait maintenant plusieurs centaines d’années. A une époque ou l’hygiène était plus que déplorable, ou l’espérance de vie était moitié moindre que celle d’aujourd’hui, et ou les disparités entre les nobles et le reste du monde étaient disproportionnées. Étoffes de soies brodées d’or pour les uns, guenilles malodorantes pour les autres. Un fossé infranchissable séparait ces deux castes.
J’eus la chance de naître dans des draps de satins, fils unique d’une famille au sang noble. Le sang, je ne savais pas encore à quel point mon destin allait être lié à lui, pour l’instant celui qui coulait dans mes veines m’apportait l’avantage d’une vie luxueuse et dénuée d’embuches. Sans doute la période de mon existence la moins intéressante à compter.
Je reçus une bonne éducation et fus destiné à prendre la suite de mon père, une fonction de commandement civil, l’ancêtre de la politique, au sein de la cours. Toute ma vie avait soigneusement été planifiée par mes parents. Et je ne vous parle pas que de ma vie professionnelle.
J’ai rencontré celle qui serait bientôt ma femme lors d’une soirée organisée pour mes 21 ans.
Cachée derrière son éventail, gloussant à chacun de mes propos, et surtout issue elle aussi d’une famille noble, je compris tout de suite qu’elle deviendrait ma femme. Du moins mes parents surent trouver les arguments pour m’en convaincre.
C’est ainsi que je devins à l’âge de 21 ans l’époux d’Eugénie de Castanet, quittant le célibat pour vivre une vie de couple parfaite. Quelques mots échangés le matin et le soir, un accouplement autorisé tous les 10-15 jours en position missionnaire afin d’être sur de pouvoir assurer la descendance… La vie idéale.

Finalement ma seule véritable distraction était ce qu’aujourd’hui je pourrais nommer comme un « club de gentleman », deux soirs par semaines nous nous retrouvions entre homme d’affaire pour passer une agréable soirée loin de nos foyers.
Bien entendu les discussions tournaient toujours des mêmes sujets, à savoir le travail, pour notre égo personnel et nos femmes, pour pouvoir nous plaindre.
Même si pour être franc, nos femmes restaient le principal centre de discussions. Nous commentions leurs cotés dépensières, toujours à faire venir décorateurs, jardiniers, et autres artisans pour décorer nos luxueuses demeures, rigolant de leurs inutilités, chacune de nos phrases étant ponctuées par un « mais que feraient-elles sans nous ? ».
Amusante interrogation lorsqu’on sait que justement, profitant de nos réunions elles en tenaient également avec justement ces fameux artisans… Aujourd’hui j’aime dire qu’alors nous parlions d’elles cigare à la bouche, elles par contre ne pensaient pas à nous, jouant justement avec les cigares de leurs invités.
Cependant, un soir, la routine fut brisée. Durant cette période, la France était en proie à un fléau, la peste noire. Maladie qui finit par toucher certains des membres, obligeant d’annuler une de nos réunions. La suite est assez aisée à deviner. Mon retour à l’improviste dans ma demeure me donna tous le loisir de voir à quoi s’occuper mon épouse durant les soirées ou j’étais absent. Le paysagiste, qui quelques instant auparavant s’occuper activement du jardin intime de ma femme disparut sans demander son reste.
La dispute qui s’en suivit fut très violente et franchit rapidement la limite du simplement verbal. Alors qu’Eugène quittait la pièce en hurlant, je lui ai violemment attrapé le bras. Elle se débattit, et lorsque je lâchais prise, elle perdit l’équilibre et tomba dans les escaliers.
Même si cela c’est déroulé il y a plusieurs années, je me souvient avec précision de son corps gisant sur le sol, une petite tache rouge, grandissante au niveau de sa tête. Mon premier meurtre, mais pas le dernier, loin de là.
Affolé, sans réellement réfléchir à mes actes, j’ai quitté la maison et suis parti errer, dans la ville, encore sous le choc. C’est ainsi que je me suis retrouvé, sans vraiment réaliser ce que je faisais, dans un bar sordide, une bouteille d’alcool fort devant moi.
Je ne suis pas resté seul longtemps. Rapidement une femme m’aborda. Les yeux bleu, malicieux, un physique de rêve avantageusement mis en valeur par un décolleté plongeant et une robe raccourcie volontairement afin de dévoiler de fines et longues jambes. Gentille, avenante, remplissant mon verre dès qu’il était vide, elle m’incita à me confier.
Il ne me fallut pas beaucoup de temps pour lui avouer mon crime. Sans doute le besoin d’alléger ma conscience. Cependant sa réaction me surprit, elle ne sembla pas effrayée, au contraire je dirais, la soirée se termina même dans une chambre sordide de cette taverne.
A peine quelques heures après avoir tuer ma femme, j’étais nue allongé sur le lit, une parfaite inconnue sur moi, me chevauchant. La plus belle, la plus intense, la plus incroyable relation que je n’aurais jamais de mon vivant ! Car oui, la douce n’était pas si inoffensive que cela, et alors que je l’aurais plutôt comparé à une succube, il s’agissait en réalité d’une tout autre créature de la nuit. Et alors qu’elle ondulait sur moi, nue ses magnifiques courbes mise en valeur par l’éclairage des quelques bougies présentes dans la pièce, son regard changea, elle me pressa contre elle et je senti une vive douleur dans mon cou. Étrange et extraordinaire sensation que de sentir sa vie partir en même temps que son plaisir augmentait…
La fin de la soirée est flou, difficile de dire si mon plaisir a atteint son apogée avant que ma vie ne quitte mon corps, une seule chose était sur, j’avais franchi une limite, et le retour en arrière n’était à présent plus possible.

Ma nouvelle maitresse, Lilith m’expliqua ce qui venait de m’arriver, elle m’avait transformé car je lui plaisais, elle voulait un jouet avec lequel s’amuser durant l’éternité, mon sort avait été scellé dès mon entrée dans ce bar. Cette nuit là fut la dernière que je passa vivant, j’étais mort et j’avais ressuscité différent. Elle me donna mon nouveau nom, Kain.
Les années qui suivirent furent horribles. Profitant de l’ascendant qu’elle avait sur moi, elle me força à combler le moindre de ses désires, de ses caprices. Ma vie tourna donc autour du meurtre, de la luxure, et de la drogue. Elle m’initia à la torture, et j’appris à être craint, détesté, haït… A chaque horreur que l’on commettait, à chaque crime que l’on perpétrait elle me disait que je m’y habituerais, que j’y prendrais du plaisir. Et elle avait raison, petit à petit mon dégout, mes réticences laissèrent place à des sensations bien plus plaisantes, enivrantes je dirais même.
Le sexe, la drogue, le sang, la terreur et la mort, voilà ce à quoi mon existence était vouée, voilà ce qui suscitait maintenant en moi une véritable passion. Et rapidement d’esclave je devins compagnon. Kain et Lilith, deux monstres voyageant sans réelle but que de propager malheur et souffrance.
Seulement avec le temps j’en voulais plus, et l’attitude de ma maitresse, anarchique sans aucune retenue, bestiale, ne me plaisait pas. Nous étions toujours sous l’effet de drogues, peu organisés et obligés de fuir laissant sur les lieux des monticules de preuves, d’erreurs que nous renouvelions à chaque fois. Cette situation m'insupportait, et je commençais à rêver d’émancipation. Mais comment faire ? J’étais malgré tout son objet, sa chose et jamais elle me laisserait faire, de plus l’ascendant qu’elle avait sur moi m’empêchait de la tuer, à l’époque j’étais bien trop faible.
Le hasard fit bien les choses et finalement l’occasion tant espérée se présenta d’elle même. Vers la fin du XVIIIème siècle nous avions décidé de retourner en France, nous ignorions alors tout de l’événement historique qui était en train de s’y dérouler. La fin de la monarchie était proche, et il n’était pas bon de faire partie de la noblesse. Ce fut pour moi l’occasion rêvée de tendre un piège à Lilith.
J’ai ainsi fait courir le bruit qu’elle était issue d’une famille au sang bleu. Vu le chaos qui régnait dans la ville, personne ne prit le temps de vérifier la véracité de la rumeur colportée. Je disparus l’espace d’un instant, lorsque j’entendis la foule grondante taper à la porte de l’auberge. Le temps que ma douce compagne réalise il était trop tard, elle fut capturé et condamné à perdre la tête en place publique. Moi j’avais déjà quitté la ville.
Aujourd’hui encore je m’amuse à me demander ce qui mit fin à ses jours, avait-elle eut le temps d’atteindre l’échafaud ou le soleil c’était-il chargé de sa mise a mort sous les regards ahuri d’une foule médusée ? Personne ne le sait, et finalement la seule chose qui importait, c’était ma libérée.
La suite des évènements serait triviale à vous raconter, mais le récit durerait des heures, je me concentrerais donc simplement sur quelques faits. J’ai laissé ma signature dans chacune des villes que j’ai visités. Avec le temps je me suis perfectionné, ne faisant plus d’erreurs, m’amusant même de constater la terreur dans laquelle je plongeais la cité. Si vous voulez retracer mon parcours, rien n’est plus simple il vous suffira de rechercher les faits les plus immondes commis ces dernières centaines d’années.
Vous connaissez l’histoire de Blaise Ferrage ? Une légende trop sanglante pour être vrai selon les historiens… Un autre exemple ? Vous souvenez vous de l’histoire d’un certains Jack à Londres, au doux surnom de l’éventreur, j’avoue m’être beaucoup amusé durant cette période à Londres.
J’avoue avoir hâte de connaître le surnom que l’on m’affublera lors de mon séjour à Galway…

Dès mon arrivé, j'ai pu remarquer que la ville était en proie à de profonds changement. Profitant de ce chaos, j'ai pu racheter un petit bar branché le Bloody Valentine, que j'ai décidé de rénover.


Comment avez-vous trouvé le forum ? Ce personnage est mon deuxième sur ce forum. Mon personnage principal est Stasi

Le JDR et vous? Idylle récente ou vocation de longue durée? Une longue histoire principalement sur ce forum :p

Des questions / remarques avant de vous lancer ? aucune

Re-bienvenue!

Comme j'ai envie de chipoter, il manque le champ "qui suis-je" et tous les champs et la feuille de personnage... Zou! Au boulot!

Comme le dit l'adage, mieux vaut tard que jamais :p

Voila qui est fait^^

Au risque de vouloir jouer les pointilleux, la feuille de personnage n'est toujours pas remplie (et le "Qui suis-je" ne renvoie pas au bon personnage, accessoirement)

Bon j'avoue que remplir la moitié des données c'est tellement... moi.... >_<

Voila normalement tout est complété, n'hésitez pas à me dire q'il me manque encore des choses^^

Tout est en ordre! Evitez cependant de mettre des liens dans la feuille de personnage, car ils ne sont pas pris en compte: j'ai donc pris la liberté de modifier votre compte principal.

Rebienvenue parmi nous!