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 Mary Read

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Mary Read
Ondin
Mary Read

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MessageSujet: Mary Read   Mary Read Icon_minitimeJeu 7 Mar 2013 - 14:18


Mary READ

Sexe: F

Lieu et date de naissance: Ile de Zakynthos, le 13 septembre 1983

Race: Ondine

Mary Read Barre_14

Apparence physique:

Forme humaine :
Mary est ce qu’on peut appeler une fille nature.
La première chose que l’on remarque chez elle, ce sont ses cheveux, blonds comme les blés "effet paille", complètement desséchés par le sel marin. N’ayant quasiment jamais vu la couleur de l’eau douce, ils se sont naturellement regroupés depuis l’enfance en dreadlocks, et laissés bruts depuis.

Sa peau est étonnamment pâle pour quelqu’un ayant passé le plus clair de son temps à l’extérieur, comme si les heures passées dans l’eau de mer avaient délavé le travail du soleil. Ses yeux sont bleu océan – ça ne s’invente pas.

Sa haute stature d’un mètre quatre-vingt cinq et sa musculature fine sculptée par les heures de nage lui confèrent une stature assez imposante et une tenue très droite et fière, presque impérieuse, limite masculine diront certains.

Niveau look, Mary donne dans le minimaliste : comme elle ne se lave jamais dans sa salle de bain à cause de son épaisse sécrétion de mucus ondin, elle se cantonne à un peu de Khôl noir autour des yeux pour le côté "rebelle" charbonneux et se démaquille à l’huile d’olive, se rafraichit parfois au lait d’ânesse comme Cléopâtre, mais jamais d’eau douce, ni de lingettes ou autres produits chimiques, car l’ondine a une sainte HORREUR des produits chimiques.

Cette manie la suit aussi dans son style vestimentaire : coton, lin, bambou, laine, cuir et peaux, elle ne s’habille qu’avec des matières premières 100% naturelles, d’origine animale ou végétale. Sa tenue fétiche est composée d’un jean délavé, de bottes en cuir de saumon, d’un débardeur en coton blanc et d’un blouson en cuir noir. Petit détail : elle ne porte jamais de soutien gorge, elle trouve que cela l’opprime inutilement, vu que ses seins se débrouillent très bien tous seuls.

Forme ondine :
Attention, ondine tout nue inside:
Sous sa forme ondine, Mary est une hybride mi-femme mi-pieuvre.
Sa peau devient grisâtre et se retrouve d’un épais mucus urticant, ses yeux s’adaptent au milieu marin en devenant blancs luminescents pour lui permettre de mieux voir la nuit et d’étranges écailles se dessinent sur sa gorge et son sternum : équivalent de la ligne latérale des poissons, elle lui permet de capter les ondes sous-marines et de se déplacer au radar.

Au niveau des membres, ses mains se palment tandis que ses jambes se subdivisent pour donner des tentacules de poulpe qui lui servent fidèlement dans sa carrière : les ventouses lui permettent de s’accrocher n’importe où et notamment d’escalader la coque des bateaux, tandis que leur consistance gélatineuse lui permet de se faufiler et de se glisser dans des interstices restreints.
Inconvénient majeur: les tentacules s'adaptent très mal au milieu terrestres, non portés par l'eau ils deviennent lourds et complètement flasques.
Lorsqu'elle plonge, Mary entoure ses avant-bras de bracelets élastiques dans lesquels elle coince une lame dans son fourreau, une dans chaque bras afin de pouvoir se défendre correctement en cas d'esclandre.

Signes distinctifs
De par son expérience, Mary est une grande habituée de l’eau de mer et contrôle parfaitement bien sa transformation : elle est capable de passer d’une forme à l’autre en moins de 30 secondes.

En revanche, elle ne supporte pas l’eau douce et n’exerce aucun contrôle dessus : qu’il s’agisse de l’eau de pluie ou de celle du robinet, elle provoque chez elle des transformations partielles ou complètes totalement incontrôlables. Elle impute cet effet aux produits chimiques que l’on trouve dedans, comme le chlore ou l’acide de la pollution.
A cause de cet effet secondaire, Mary ne se lave jamais : au contact de l’eau, son mucus surgit automatiquement et neutralise l’effet de n’importe quel savon.

Mary Read Barre_15

Si on devait ne retenir d’elle qu’un seul mot, ça serait solitaire.
De son enfance en communauté ne subsistent que de vagues souvenirs et tout le reste de son existence a été mené seule, souvent contre tous.
Du coup, c’est une personne peu encline à l’empathie et relativement égoïste, ne considérant pas son prochain comme une personne à part entière. De ce fait, elle n’a jamais eu d’amis, uniquement des relations professionnelles : patron, client… Et niveau relation intime, ce n’est guère mieux : uniquement des coups d’un soir à but utilitaire, jamais de sentiments, de romance et même pas de petit déjeuner partagé au réveil.

Pour elle, l’existence se résume à une succession de défis: trouver de nouveaux challenges, de nouvelles épaves à détrousser, de futures victimes à piller… Totalement dépourvue d’attaches sentimentales, rien ne l’empêche de larguer les amarres sur un coup de tête pour aller voir si l’écume n’est pas plus blanche ailleurs, ce qu’elle fait souvent. Le monde n’est qu’un vaste terrain de chasse au trésor ne demandant qu’à être exploré par ses tentacules experts.

Hormis ses habitudes de vieux boucanier solitaire, Mary n’est reste pas moins une femme avec ses lubies et ses contradictions.
Pendant son adolescence, alors qu’elle se baignait en pleine mer, sa route croisa celle d’un bateau qui décida de dégazer sauvagement sur son sillage : l’ondine se retrouva donc entourée par une nuée de produits toxiques qui lui brulèrent atrocement les yeux et la peau, ce qui se manifesta sous sa forme humaine par une vue brouillée et des plaques rouges pendant plusieurs semaines, et une inexplicable envie de nicotine, qui se transforma en addiction à la cigarette. Fumeuse depuis ses 14 ans, elle a du tenter d’arrêter une bonne vingtaine de fois, sans succès, mais voue depuis une haine féroce à toute forme de produit chimique.

Mary Read Barre_16

Mary, de son vrai nom Thalie, est née sur l’île de Zakynthos en Grèce au sein d’une sorte de communauté ondine hippie où avaient choisi de vivre ses parents.
Tous vivaient sur les plages de l’île, alternant entre le milieu marin et les petites paillotes dans lesquelles se trouvaient leurs maigres biens matériels.
Comptant une trentaine d’âmes, la communauté de babas cool écailleux vivait des produits de la pêche et de l’artisanat qu’ils confectionnaient à partir de coquillages et de bois flotté qu’ils revendaient ensuite aux touristes pour se payer ce que mère nature ne pouvait pas leur apporter.

C’est donc cette vie de bohème que connut Thalie jusqu’à ses 7 ans, et elle en garde le souvenir d’une période dorée où elle pouvait courir tout nue sur le sable, baignée du soleil et de l’amour de ses deux parents, le tout sous le regard bienveillant de leurs « voisins ».

Malheureusement, cette période idyllique ne devait pas durer éternellement, car une sombre nuit d’automne la communauté se fit attaquer par des pêcheurs du village voisin qui ne les appréciaient guère, voyant en eux des « monstres » qui leur volaient leur travail et accaparaient l’attention des touristes.
Les félons avaient bien calculé leur coup, choisissant de les faucher en pleine nuit pluvieuse : entre ceux pris par surprise dans leur sommeil et ceux piégés par un début de transformation peu avantageuse sur la terre ferme, très peu d’adultes réussirent à échapper au massacre, certains réussirent à fuir dans l’eau et on ne les revit jamais.

Toutefois, ces bons chrétiens surent faire preuve d’un minimum de décence et ne touchèrent pas aux enfants, ils se contentèrent d’évacuer les restes de leur petite boucherie dans la mer pour qu’ils se fassent dévorer au petit jour par les mouettes, comme ils se débarrassaient des entrailles de poisson avant un jour de marché, puis dispatchèrent la petite huitaine d’orphelins dans le système public de récupération des enfants perdus.

C’est ainsi que Thalie se retrouva à errer de famille d’accueil en famille d’accueil, taciturne, renfermée sur elle-même, pas simplement à cause du traumatisme qu’elle avait vécu mais à cause de sa différence… Allez un peu expliquer vous, que vos cheveux ne sont pas bien propres parce que vous vous transformez en poulpe sous la douche, que vous ne voulez pas sortir sous la pluie pour ne pas devenir un monstre !
La mascarade prenait toujours bien au début, mais Thalie se faisait toujours prendre au final, soit par ses petits co-détenus, soit par les parents adoptifs.
De cette période, la jeune fille ne tira pas que des mauvais souvenirs, car si la plupart se montraient terrifiés et dégoûtés par son secret, certains se montraient étonnement curieux, tolérants et compréhensifs, l’aidant dans son entreprise de camouflage… Mais cela finissait toujours par remonter aux oreilles du parent le moins ouvert d'esprit qui l’expédiait aussi sec vers sa prochaine famille d’accueil.

Cette vie d’apatride dura neuf ans, enfilade d’expériences douces-amères qui ne lui laissèrent pas de rancunes particulières envers les humains mais la confortèrent dans l’idée qu’elle était différente et que les ondins n’étaient décidément pas faits pour se mêler au commun des mortels.

A 16 ans, c’est donc tout naturellement qu’elle réussit à convaincre un juge de l’émanciper et qu’elle se fit engager comme petite main sur gros un navire marchand afin de s’échapper de ce pays et de voir le monde sans avoir à craindre sans arrêt la moindre goutte de pluie : il lui suffirait de disparaître dans l’océan jusqu’à la fin de l’orage...
Pendant 3 ans elle apprit ainsi de nouvelles langues, découvrit de nouveaux pays, de nouvelles cultures, et… De nouvelles richesses!

C’est au cours de ces voyages qu’elle réalisa que loin d’être une malédiction, sa nature ondine pouvait s’avérer d’une efficacité redoutable : grâce à sa forme transformée elle pouvait plonger plus longtemps, plus profondément que n’importe qui, explorer les épaves perdues et bien d’autres choses encore.
Au début, elle explorait les fonds marins pour le plaisir et la curiosité, ramenant parfois des objets surprenants, remontant de magnifiques poissons, jusqu'à ce que ses collègues repèrent la "plongeuse" hors pair et commencent à lui demander des choses.
Ca avait commencé par de petits trucs : ramener de gros coquillages pour les enfants des autres marins, faucher quelques huîtres perlières pour leurs femmes… Avant qu’un de ses collègues l’aiguille vers un plus gros poisson, un marchant d’art passionné par les reliques d’épaves : c’est ainsi que débuta sérieusement sa carrière de « pilleuse plongeuse professionnelle ». Amphores, pièces de monnaie, vaisselle, Thalie écumait les 7 mers au gré des errances du navire pour ramener des objets au collectionneur qui savait se montrer de plus en plus généreux et l’adressait même parfois à certains de ses amis, grossissant son carnet d’adresses et de commande.
Cela lui convenait parfaitement, l'ondine aimait ce petit goût d'aventure et de challenge, bien plus que l'argent que cela lui rapportait et qui était sagement stocké sur un petit compte aux îles Caïmans.

Deux ans plus tard après le début de sa carrière de pilleuse, Thalie se fit attaquer au cours d’une de ses plongées nocturnes par un petit bateau de pêche, qui l’avait sans doute prise pour le plus gros poisson qu’ils n’avaient jamais vu. Le sang de l’ondine ne fit qu’un tour, et stimulée par les images de la nuit du massacre décida de ne pas se laisser faire et tua les trois marins-pêcheurs, leur brisant la nuque et les étouffant à l’aide de ses tentacules.

Électrisée par cette esclandre victorieuse envers les humains, l’ondine décida de rajouter un peu de piquant à sa carrière et de ne plus s’attaquer uniquement aux bateaux coulés en visant les gros bateaux qui naviguent sur les flots…
Leurs trésors n’avaient pas le charme du vintage certes, mais leurs marchandises n’avaient pas moins de valeur, et il était bien plus excitant de s’introduire à bord d’un navire de plaisance pour détrousser les touristes fortunés que de dépouiller les squelettes des bas-fonds ! La tuerie n'était pas ce qu'elle préférait, mettant tout en œuvre pour repartir aussi discrètement qu'elle était arrivée, il lui arrivait parfois de se faire prendre et n'hésitait pas alors à occire les témoins gênants. Pas que cela l'amuse, mais elle préférait les sacrifier eux plutôt que sa propre personne.
Conquise par ces sensations nouvelles, Thalie décida de se reconvertir officiellement à la piraterie et de prendre un nom à la mesure de sa nouvelle carrière : Mary Read, la célèbre femme pirate qui navigua en son temps aux côtés de Rackham le Rouge.

Cumulant ses deux amours des trésors enfouis et flottants, Mary décida de quitter l’équipage de son navire et de se lancer en freelance afin de créer des contacts à travers le monde. Pérégrinant de continent en continent, sans attaches, elle choisissait ses cibles en fonction de l’humeur du moment, s’affranchissant des contrats car elle avait réussi à se créer suffisamment de contacts pour réussir à écouler sa marchandise quoi qu’il arrive.
Vous avez certainement entendu parler dans l’actualité de la dérive d’un navire Costa Croisière ? Pourtant personne n’a jamais osé expliquer que la défaillance technique était due à une étrange créature poisseuse qui avait fichu le boxon dans les générateurs électriques…

Cela fait désormais 13 ans que Mary a quitté la Grèce et vit au gré des flots, sa carrière de pirate est bien lancée et sa petite réputation dans le milieu de la contrebande bien assise, cependant il manque quelque chose à la jeune femme… Des semblables !
Existe-t-il d’autres créatures de son acabit ? Est-elle la dernière représentante de son espèce ? Après avoir fait plusieurs fois le tour du globe, cette interrogation demeure sans réponse, c’est pourquoi la sirène a décidé de se laisser tenter par une vieille légende de matelot, selon laquelle la ville de Galway, en Irlande, regorgerait de créatures mythiques ! Il ne lui en fallait pas plus pour se laisser tenter par l’aventure, après tout, les fonds marins celtes n’avaient pas encore dit leur dernier mot et elle aurait certainement de quoi faire.


Mary Read Barre_18

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Le JDR et vous? Idylle récente ou vocation de longue durée? Looongue durée, vu mon grand âge Mary Read 660555693

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Juliet Ahston
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MessageSujet: Re: Mary Read   Mary Read Icon_minitimeJeu 7 Mar 2013 - 15:31

Piiiirate !!! lool
Par contre, c'est Marie ou Mary ? Il y a des "-ie" qui se sont glissées dans l'histoire Wink
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Llylewin
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Llylewin

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MessageSujet: Re: Mary Read   Mary Read Icon_minitimeJeu 7 Mar 2013 - 16:10

Y!

J'ai corrigé ça, mais m'est avis que je vais faire l'erreur à de nombreuses reprises Razz
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Kain
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Kain

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MessageSujet: Re: Mary Read   Mary Read Icon_minitimeJeu 7 Mar 2013 - 21:26

J'ai même trouvé ton costume de pirraatteee

Mary Read 28231310

Oui oui je disparais
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Jaro
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Jaro

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MessageSujet: Re: Mary Read   Mary Read Icon_minitimeVen 8 Mar 2013 - 0:08

Bonsoir,

Je n'ai rien à redire sur la fiche, je vous valide donc votre troisième personnage, pas besoin de vous mettre les liens classiques Wink

Cependant, comme j'aime bien pinailler, je ferais une petite remarque quand à l'avatar. Dans la description physique vous parlez d'une personnage avec des yeux bleu comme l'océan. C'est dommage que votre avatar soit en noir et blanc.
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Amy & Emmy
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MessageSujet: Re: Mary Read   Mary Read Icon_minitimeVen 8 Mar 2013 - 12:07

Bon, puisque tes deux autres comptes étaient déjà là avant moi, je peux enfin le faire - et je croyais que jamais ça n'arriverait alors je suis content :

* Donne la banane de bienvenue à Mary, ainsi que le mode d'emplois. *

Dis moi : c'est pas ton RP avec Juliet qui t'a donné l'envie d'en faire un pirate quand même ? xD
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Mary Read
Ondin
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MessageSujet: Re: Mary Read   Mary Read Icon_minitimeVen 8 Mar 2013 - 12:11

Merci Jaro! Pour l'avatar je fais avec ce que je trouve, c'est pas de ma faute si les clichés qui m'intéressent sont en noir et blanc... Mais pour vous faire plaisir j'ai rajouté une image couleur dans ma feuille de personnage, comme ça on peut bien voir ce que ça donne en technicolor Razz

Amy&Emmy > Merciiiiii pour la banane ♥️
Et tout à fait, c'est le caleçon pirate qui m'a donné cette idée, je ne cherche même pas à le nier... Mais pour compenser j'en ai fait un perso anti-douche Mary Read 660555693
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MessageSujet: Re: Mary Read   Mary Read Icon_minitime

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