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 La femme au collier de mercure

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MessageSujet: La femme au collier de mercure   La femme au collier de mercure Icon_minitimeLun 7 Jan 2013 - 4:39


Dragomira Merkoulovna Volochine

Sexe: Visiblement féminin. L'époque moderne réserve parfois des surprises à ce sujet, mais c'est une véritable femme.

Lieu et date de naissance: le 23 décembre 1983, à Tioumen (Sibérie de l'Ouest, en Russie).

Race: On a dit beaucoup de choses à propos d'elle. Que c'était une sorcière, un démon, une ordure, un dragon, un vampire. Elle n'est qu'humaine. Simplement humaine.

La femme au collier de mercure Barre_14

Apparence physique:

De grands iris d'un bleu abyssal creusent son visage lunaire de deux puits profonds, desquels il est difficile de sortir une vérité. Si les yeux sont le reflet de l'âme, alors la sienne est secrète et évanescente. Un nez fin, long et droit donne une harmonie à son visage aux traits doux, sans âge, qui sans lui aurait été trop rond pour ne pas faire pataud. Ses lèvres étroites et épaisses à la fois donnent l'impression qu'elle affiche toujours une petite moue soit légèrement rieuse, soit assez sournoise, en tous cas, si elle n'est que rarement très expressive, elle n'est jamais tout à fait neutre. De figure, elle dégage quelque chose de doux mais d'absent, de mélancolique mais de fier, et ses cheveux d'un blond cendré mousseux ne retirent rien de la sensation de flou qui l'accompagne. Impossibles à dompter, ils flottent comme des nuages poudrés et paresseux, sans forme, sans couleur nette. Parfois on pourrait les dire bruns ou presque, d'autres fois ils semblent quasiment blancs, selon la lumière et la façon dont elle a tenté de les arranger.

Sa voix, comme sa démarche, sont suaves et crémeuses, mais encore assez légères. Elle est plutôt menue de corps, mais si elle a les bras fins et le minois juvénile, elle a des formes très féminines et très prononcées. Sa poitrine est lourde et ample, lui dégageant une gorge très blanche et très longue par contraste, sa taille est fine au point d'une faire un peu bizarre et ses hanches pleines sont celles d'une femme ayant déjà porté la vie. Sa façon de vivre fait qu'elle a un poids oscillant et que d'un mois à l'autre, on peut la trouver un peu trop sèche des épaules, avec des clavicules creuses qui lui donnent un air malade, pour finalement la juger un peu grasse une poignée de semaines ensuite. Tout comme son visage, sa silhouette laisse une impression étrange, insaisissable.

Au fond, elle est un peu trop étrange à regarder pour être belle, et jamais personne ne l'a jugée comme telle. On n'a pas envie de la peindre, mais on a parfois celle de la toucher, peut-être, d'ailleurs, pour vérifier quelque part qu'elle est bien réelle ou qu'elle n'est pas fardée pour avoir des airs aussi particuliers. Sa peau est terriblement douce et sa chair a la tendresse que sa voix laisse entrevoir. A la façon d'une fleur vénéneuse, elle n'a pas les plus éclatants des pétales, mais il ne faut pas s'en approcher, sous peine d'avoir un mal surprenant à s'en détacher. Son regard trop puissant pour son visage impersonnel, sa sensualité de mère accrochée à une carcasse d'enfant font qu'elle est difficile à juger, donc pénible à appréhender ; et selon la façon dont elle s'arrange, elle peut avoir l'air adolescente ou mure, dure ou lascive, mais toujours avec cette touche dissonante, cette impression de glissement, de mystère, de bizarrerie qui signe sa présence bien mieux encore que son parfum, qui lui est toujours le même : une brassée de roses orientales, relevée d'une touche de musc et de poivre.

Signes distinctifs

Dragomira s'habille avec soin, selon la facette qu'elle a envie de présenter (ou de prétendre être) et a un certain goût des vêtements chers. S'il n'est pas rare de la croiser un peu ivre, il est très peu fréquent de la voir négligée. Elle ne se sépare jamais d'un pendentif fétiche, une fiole de mercure en verre chimique éclatant, ni d'une bague qu'elle porte depuis l'enfance et qu'elle a maintenant au petit doigt. C'est un anneau d'argent avec une perle de nacre, à l'intérieur de laquelle il est gravé en russe « A la plus chère d'entre toutes », qui est ce que signifie son prénom.

La femme au collier de mercure Barre_15

On a dit des horreurs sur elle, et on s'est presque toujours trompés, mais ce dont on la juge incapable, c'est souvent ce qu'elle a pourtant fait. Ceux qui l'ont fréquentée un peu la jugent presque tous froide, indifférente, on ne pourrait avoir plus tort. Outre la prudence qu'elle a appris à observer et son goût envers les excès (en trop ou en pas assez), ce qui guide Dragomira, c'est l'amour, et ça l'a toujours été. Certes, c'est un amour tordu, fétide, pervers et perverti, mais c'est bel et bien de l'amour. Elle a aimé si fort jadis des êtres qu'elle ne reverra plus jamais qu'elle ne peut agir comme un être insensible, mais elle ne peut plus s'ouvrir comme une jeune fleur qui n'a connu que la rosée du matin. Son plus grand drame est qu'elle s'est dévouée à ceux qu'elle aimait et qu'elle ne peut plus rien faire pour eux. Elle a déjà commis l'irréparable ou accompli son devoir, aussi elle est vide, étrangère à elle-même, figée dans l'espèce de stupeur qui saisit les âmes lorsqu'elles se retrouvent sans but, mais sans sérénité. Elle n'est pas pour autant désespérée, loin s'en faut, mais elle est en attente, entre deux eaux, entre deux drames et son tempérament déjà passablement décalé s'en retrouve presque dénué de moralité. A vrai dire, elle s'ennuie un peu, elle cherche à s'exalter et si elle est capable de trésors de patience et n'oublie pas les dangers, elle ne rechigne que peu à assouvir ses penchants peu ordinaires.

Elle aime louvoyer, elle aime tromper, elle aime mentir, elle aime jouer, elle aime trahir, elle aime défaire, elle a une passion abominable pour tout ce qui est tragique et c'est avec un naturel désarmant qu'elle est capable de fomenter quelque plan pour plonger un être dans un tourment implacable, sans haine, sans esprit de vengeance, mais tout simplement parce qu'elle éprouve un amour des plus grands pour l'Art. Et que, pour elle, le plus grand des Arts, c'est la dramaturgie. Ce qu'il y a de singulier chez elle, c'est qu'elle pourrait parfaitement aller consoler elle-même quelqu'un qu'elle aurait blessé sciemment, pour le simple plaisir de contempler sa peine. Ces gestes tendres seraient, d'ailleurs, parfaitement sincères. Pour comprendre Dragomira, il faut saisir à quel point elle aime, à quel point elle ne fait qu'aimer et obéir à son amour, mais aussi à quel point cet amour qu'elle éprouve peut être laid, impérieux et barbare. Par ailleurs, elle ne s'épargne pas elle-même et si elle n'est que très peu démonstrative, elle ressent beaucoup, souvent, et avec force. Simplement, elle a compris depuis toute enfant que montrer était livrer, et elle fait partie des femmes qui préfèrent être prises plutôt que de s'offrir. Elle ne croit en Dieu que parce qu'il signifie qu'elle peut croire au diable, et elle préfère l'ange tombé des cieux au Très Haut, parce que Satan promet des tourments et des extrêmes, et qu'elle ne désire que ça, elle qui a l'air si indécise.

Elle apprécie les chats et les corbeaux, elle collectionne les petits couteaux nacrés de femme et les anciennes fioles de poison, elle préfère le froid au chaud et lui offrir du cointreau assure, dans n'importe quelle soirée, d'avoir son intérêt pour tout le temps qu'elle jugera bon pour déguster son verre. La seule violence qu'elle applique est la violence morale, mais si elle ne frappera jamais quiconque, les coups, le sang et les menaces ne lui font pas pour autant horreur. A chacun ses pinceaux et ses toiles.

Enfin, puisqu'il faut bien lui trouver quelques qualités, si son intelligence est somme toute très normale, elle a une mémoire stupéfiante et un sens de l'empathie et de l'observation remarquables. On se laisse souvent tromper en ça par ses allures évanescentes, mais Dragomira est quelqu'un d'attentif, de patient, de retors et de particulièrement affectueux et attentionné. Elle sait comment plaire et comment faire plaisir aussi bien qu'elle sait déceler les faiblesses et trouver les façons d'appuyer sur une vieille plaie, et, de l'un comme de l'autre, elle ne s'en prive pas. Quelque part, elle a une âme d'araignée, tissant sa toile et veillant sur la danse des papillons, pour les enrober de ses attentions, et ne plus jamais les laisser s'envoler.

Sorcière, démon, ordure, dragon, vampire, c'est ce qu'on a dit d'elle, elle l'est un peu en esprit, et si le flou devait résumer son corps, la décadence résumerait sa psyché. Le diable a beaucoup d'enfants et ils ne se ressemblent pas tous, vous savez.


La femme au collier de mercure Barre_16

La famille Volochine était une famille typique de sa région. Ouvriers des usines de pétrole, ces gens étaient de ceux que l'époque du communisme avaient nourris de blé et d'illusions, mais, avec le temps et l'effondrement des cours pétroliers durant les années 80, le blé venait à manquer, quand les illusions se fissuraient. Le grand-père de Dragomira, son père et un de ses oncles travaillaient tout le jour et une partie de la nuit durant pour ramener un salaire miséreux, ses jeunes fils travaillaient eux aussi, à l'usine pour le plus grand et à ramasser la ferraille pour le plus petit, sa mère chassait rats et pigeons pour améliorer la soupe. Seul le plus jeune de ses oncles n'était pas avec eux, puisqu'il allait devenir médecin - la fierté de la famille. Dragomira apprit la valeur du silence, la force de l'endurance, mais surtout l'incroyable importance que revêtait le fait de savoir plaire. Elle savait déjà comment minauder, que dire et que faire pour avoir moins faim ou moins froid. Dépourvue de la force ou de l'adresse qu'il fallait pour voler ou prendre ce qu'il manquait, elle fit ses premiers pas dans la vie en apprenant à séduire les hommes de sa famille. C'était une séduction enfantine, une façon de contenter dépourvue de perversité, mais déjà trop pleine de calcul et de malice pour être innocente.

L'URSS s'effondra enfin et, soudainement, les Volochine devinrent riches. Le grand-père ouvrier de Dragomira détenait un trésor plus précieux qu'un simple héritage dont l'état pouvait le spolier, mais qui n'était pas utile tant qu'il ne pouvait pas devenir propriétaire d'une terre : la connaissance de certains emplacements de mines de mercure. Le mercure, c'est la purification de l'or, c'est la fabrication des piles, c'est le chlore, c'est la lumière des lampes industrielles, en somme, de l'énergie, de l'industrie et de la richesse, tout ce dont le pays avait besoin. Seul le père de Dragomira eut foi en son propre géniteur lorsque l'aïeul décréta qu'ils allaient acheter officiellement une bouchée de pain plusieurs domaines qui n'en avaient pas même la valeur alors qu'ils avaient encore si faim, mais tous, sauf la mère de Dragomira, suivirent. Elle voulait tenir la maison, leur seul pauvre bien, persuadée qu'elle était qu'ils reviendraient. Elle ne la revit jamais.

Quand elle eut douze ans, son grand-père était déjà bien installé, son propre père était officiellement le directeur de plusieurs usines diverses et ils décidèrent qu'il faudrait bientôt pouvoir s'ouvrir mieux, et vers des pays plus puissants. Avec naturel, il fut décrété que Dragomira irait étudier aux États-Unis, dans une école chère et fermée, dans une culture toute autre où la richesse, le profit et le lucre sont presque des valeurs nationales, ce dont, avec les capacités qu'ils lui voyaient, elle saurait profiter. Elle rejoint son plus jeune oncle, celui qui faisait ses études de médecine et qui était maintenant l'un de ces nouveaux riches, fort de son diplôme cliquant et inutile, qui s'était exilé sitôt la richesse venue. Elle étudia sagement toute une année avant de le voir, lors des vacances de printemps. Elle venait d'avoir treize ans, il en avait vingt-sept et, aussi immonde que ce puisse être, elle en tomba amoureuse.

Il était marié, bien sûr, il était de son sang, sa femme, jeune, belle et arriviste haït immédiatement cette adolescente bizarre qui jetait de longs regards sur son époux et lui, le dandy, le décadent, s'en amusa fatalement. C'était pervers en bien des points, c'était étrange et unique, ça ne pouvait que le séduire, aussi, il joua avec sa nièce comme un Volochine avec une souris lors des famines. Peut-être était-ce l'interdit, peut-être était-ce parce qu'elle avait toujours su que dire et que faire pour plaire, peut-être était-ce que cet amour atroce avait été plus réciproque aux origines qu'elle ne l'avait décelé, mais lentement, ignoblement, il s'éprit d'elle en retour et, avant qu'elle ne reparte dans son pensionnat propret, ils s'étaient embrassés. Toute l'année durant, ils s'envoyèrent des lettres, d'abord brèves, insinuées, puis de plus en plus longues, de plus en plus passionnées. Ils étaient fébriles à l'idée de se voir, il lui jurait de ne pas l'épargner, de la dévorer toute entière, de lui faire le plus grand mal et, quand le printemps revint, quand il vint la chercher, il voulut la prendre. Elle se laissa déflorer, avec une passivité aussi grande que l'était son coupable plaisir. La tante de Dragomira était toujours haineuse, mais pas jalouse, puisque loin de se douter de l'horreur incestueuse qui se déroulait et trop préoccupée par son projet de concevoir un enfant pour être certaine de garder, si ce n'était son mari, au moins sa pension, pour avoir l'idée même d'ouvrir les yeux. Une année passa encore et ils étaient plus amoureux que jamais, au point que, lorsqu'elle eut quinze ans, Dragomira tomba enceinte. Elle, qui était la présidente du club de chasteté dans son école, demanda à voir son oncle exceptionnellement lorsqu'elle finit par le comprendre et, drapée dans ses vêtements blancs et son écharpe rouge, elle le lui avoua. Il était tétanisé d'effroi et transporté de joie, foudroyé de plaisir comme de honte et serra un long moment ses grandes mains autour du cou grêle de la jeune fille. Jamais Dragomira n'avait vécu moment plus sublime et elle ne se défendit pas, tant elle le trouvait beau. Elle finit toutefois par reprendre connaissance : il voulait garder l'enfant, avec elle, auprès de lui. Sous un prétexte quelconque que l'argent aida à digérer, il la retira de son école et vint l'annoncer à son épouse, laquelle passa ensuite quelques mois dans une clinique psychiatrique, laissant le couple immonde roucouler sous son toit et couver leur enfant anormal. Elle était revenue lorsque Dragomira était sur le point d'accoucher. Il fut décidé de faire passer l'enfant pour celui du couple officiel, pour l'honneur, pour l'avenir et pour des raisons pécuniaires, et sa tante par alliance entendit d'abord chasser cette mère de trop une fois l'enfant sevré, d'une façon ou d'une autre, mais voilà : si la chair de l'enfant était dépourvue de tare, il fut révélé très tôt que le bambin était autiste. L'épouse partagea son temps entre sa clinique et ses vacances, laissant l'oncle et la nièce s'occuper de leurs amours effroyables.

De façon intrigante, le temps arrangea les choses. Dragomira montrait une patience stupéfiante et un amour admirable envers son fils, lequel, petit à petit, s'ouvrait, apprenait, commençait à sourire, à marcher, à parler ; son oncle devenait plus responsable, sa tante, qui se trouvait finalement chanceuse de ne pas avoir été chassée, faisait office d'ouverture sur le monde et parvenait à s'occuper du petit. Tout serait resté ainsi si un scandale n'avait pas éclaboussé la famille. Deux adolescentes accusaient son oncle d'actes scabreux sur leurs personnes. Mensonge, réalité, Dragomira s'en moquait éperdument mais les peines de prison étaient longues et la police parfois rude avec des ressortissants étrangers. Elle n'eut pas peur pour son honneur ou son statut : c'était un rebondissement dramatique, donc qui ne pouvait que l'exalter, mais il y avait son petit bonhomme qui souffrait des intrusions maintenant fréquentes des assistantes, des enquêteurs, des avocats. Il se refermait, il régressait, elle le sentait se raidir lorsqu'elle lui tendait les bras. Comble de l'horreur, les enquêteurs se doutaient de quelque chose à son propos. S'ils apprenaient la vérité, son oncle serait condamné à coup sûr, pire que tout, l'enfant serait placé, arraché aux sien, donc condamné à se flétrir. En accord avec sa rivale de toujours, et pour rendre toute analyse postérieure impossible, elle fit incendier la maison en leur absence, organisa son retour en Russie, barda d'avocats et de dignité la légitime épouse qui ne saurait accepter qu'on fasse souffrir encore davantage son enfant innocent et le petit aurait au moins une mère sur les deux. Sur des adieux passionnés avec son oncle, elle s'éloigna par des petits trajets en ferry vers l'Europe, espérant rejoindre Tioumen après moult escales. Alors qu'elle touchait terre pour la première fois, elle ouvrit la lettre que son amour lui avait confiée avant qu'elle ne parte, en lui interdisant de l'ouvrir auparavant. C'était une lettre d'adieu, il allait se suicider juste après son départ. Traversée par un grand froid, transportée par le tragique de la scène, elle regarda autour d'elle et elle tomba amoureuse de ce petit port de Galway, aux airs étranges et vieillis. Et puisqu'elle l'aimait, forte de ses quelques valises et de tout l'argent qu'elle avait pu retirer, elle décida de ne plus le quitter. Pas avant le prochain incendie.

La femme au collier de mercure Barre_18

Comment avez-vous trouvé le forum ? Par un topsite, il y a un moment. J'ai longtemps hésité avant de passer le cap, mais Dragomira me hantait.

Le JDR et vous? Idylle récente ou vocation de longue durée? Ca fait un moment déjà.

Des questions / remarques avant de vous lancer ? Je suis l'ancienne Gaelle Vedrai (:


Dernière édition par Dragomira Volochine le Mar 8 Jan 2013 - 15:33, édité 4 fois
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Llylewin
Vampire
Llylewin

Messages : 2199
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MessageSujet: Re: La femme au collier de mercure   La femme au collier de mercure Icon_minitimeLun 7 Jan 2013 - 13:52

Bonjour, et bienvenue!

Je vais laisser aux admins le soin d'évaluer ta fiche, mais je peux d'ores et déjà te dire qu'il te manque les champs "Age apparent" et "Taille/Poids" comme expliqué dans cette partie du règlement Smile
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MessageSujet: Re: La femme au collier de mercure   La femme au collier de mercure Icon_minitimeLun 7 Jan 2013 - 14:24

Merci (:

Et voilà qui est rempli !
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Jaro
Administration
Jaro

Messages : 484
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MessageSujet: Re: La femme au collier de mercure   La femme au collier de mercure Icon_minitimeLun 7 Jan 2013 - 23:53

Votre fiche est bien rédigée, il n'y a aucune faute d'orthographe, et je n'ai rien à redire quant à votre personnage. Il est certes compliqué, mais Galway n'est pas une ville simple Wink

J'aurais cependant une petite remarque à vous faire quant à votre avatar. Il est aux bonnes proportions, cependant le cadre noir qui l’entoure est assez épais. Il serait plus agréable pour les joueurs que vous le réduisiez afin que l'on voit mieux le visage de votre personnage.

Cette remarque cependant ne m’empêchera pas de vous ouvrir de nouveau les portes de notre sombre cité, à partir du moment ou vous respectez les conditions données par mp.

Vous pouvez dès à présent rechercher un camarade de jeu , n'hésitez surtout pas si vous avez des questions.
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MessageSujet: Re: La femme au collier de mercure   La femme au collier de mercure Icon_minitimeMar 8 Jan 2013 - 0:02

Les conditions seront respectées (;

Au sujet de l'avatar, l'image originelle est ici, et je n'ai pas trouvé d'autre moyen que ce cadrage noir pour ne pas lui rogner les joues et rendre son visage, de fait, moins visible. Si quelqu'un trouve un truc pour avoir un meilleur découpage, j'en serais ravie, mais pour l'heure je ne vois pas comment faire, sauf à changer d'avatar (je vais m'employer à en trouver un de remplacement le cas échéant).

Merci beaucoup, au plaisir (:

Edit : j'ai trouvé une image moins serrée, même si le cadrage reste très centré. Le visage correspond assez, j'espère que celle-ci fera l'affaire.
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Juliet Ahston
Humain
Juliet Ahston

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MessageSujet: Re: La femme au collier de mercure   La femme au collier de mercure Icon_minitimeMar 8 Jan 2013 - 7:37

Bienvenue officiellement Dragomina ^__^
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Llylewin
Vampire
Llylewin

Messages : 2199
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MessageSujet: Re: La femme au collier de mercure   La femme au collier de mercure Icon_minitimeMar 8 Jan 2013 - 12:51

Gosh, on est envahis par les russcof! C'est Vladimir qui va être content Razz

Bienvenue, j'aurais juste une petite remarque à propos de ton avatar: maintenant que tu l'as changé il faudrait également changer celui de la fiche, car avoir une brune à côté d'une blonde, ça fait pas assorti ^^
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Invité
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MessageSujet: Re: La femme au collier de mercure   La femme au collier de mercure Icon_minitimeMar 8 Jan 2013 - 15:34

Problème réglé Razz

Merci, en espérant faire honneur à la mère patrie Very Happy
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Kain
Vampire
Kain

Messages : 717
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MessageSujet: Re: La femme au collier de mercure   La femme au collier de mercure Icon_minitimeMar 8 Jan 2013 - 19:55

Re-bienvenue à toi sur le fofo miss^^
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Kelly
Lycanthrope
Kelly

Messages : 355
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MessageSujet: Re: La femme au collier de mercure   La femme au collier de mercure Icon_minitimeMar 8 Jan 2013 - 20:16

Ahhhhh ! J'ai calé que c'était toi dés les cinq premières lignes ! Ça fait plaisir de te revoir parmi nous ! Very Happy
En espérant te croiser au cours d'un RP o/
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MessageSujet: Re: La femme au collier de mercure   La femme au collier de mercure Icon_minitime

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