Sexe: Je veux bien, mais tu ferais mieux de revoir tes attentes à la baisse.

Lieu et date de naissance: Budapest, le 6 janvier 1979.

Race: Humain


Apparence physique:

C'est bien simple, je suis un cliché. Le genre de personnage qui sort d'un mauvais polar dans lequel l'auteur s'est pas même creusé la tête deux secondes. On va pas se mentir, le classique chapeau des années 20, le long imper beige volé sur le tournage de Colombo, un vieux costume-cravate bon marché tâché de sueur, des chaussures avec dessus ce qui semble être des sucs gastriques fossilisés... Et si avec les vêtements ça vous suffit pas, regardez un peu ma tronche. Des cheveux châtains gras comme des frites, une barbe de trois jours à couper du verre, et des traits tirés par un alcoolisme notoire. Ouaip, je suis pas vraiment le mec le plus sexy des environs. Mais je pourrais ! 'Fin je crois... Non mais c'est vrai, à la base, je suis pas forcément super moche quoi. C'est juste que... Ben c'est peut être vrai que je me laisse un peu aller. Mais déjà je suis pas gros. J'ai jamais réussi à grossir à vrai dire. Au lycée et à la fac, je faisais de la muscu, je mangeais aussi protéiné que possible, mais j'ai jamais réussi à prendre du volume. Même avec les séances obligatoires de sport de combat lorsque j'étais dans la police, je restais fluet. Ah oui, parce que j'ai été dans la police, mais j'y reviendrais dans la partie histoire, parce que sinon ça va devenir n'importe quoi.
Je disais quoi déjà... Ah ouais, j'essayais de me rassurer en vous convaincant que je suis pas moche. Alors ok, j'ai une sale tronche la plupart du temps, même un peu tout le temps, mais si vous enlevez toute la couche d'ancien alcoolique, de dépressif, et de je-m'en-foutiste général, si vous retirez les dégâts que la clope a fait à mon sourire, faut bien le reconnaître mesdemoiselles : je suis un tombeur. Pas que j'ai eu l'occasion de le prouver dernièrement, mais j'en suis sûr. A part si les prostituées comptent ? Non ? Vraiment, parce que des fois elles refusent des clients, donc c'est bien qu'il faut leur plaire, quelque part. J'me suis déjà fait refuser pas mal de fois, je sais de quoi je parle.
Sinon, quoi vous dire d'autre... Ah, j'ai un tatouage sur la fesse gauche. Un dauphin rose et violet qui fait un salto autour de "Wild & Crazy" écrit en police gothique. C'est un truc qui date de mon bizuitage en première année de fac. J'ai jamais voulu le retirer, parce que ça fait un mal de chien et que comme tout homme normalement constitué, je suis terrifié par les aiguilles.

Signes distinctifs

Je sais pas si ça compte comme une capacité spéciale, mais pendant ma grande période d'alcoolique, j'étais en mesure de m'enfiler des shots de vodka par les narines. Ca m'a un peu bousillé l'odorat, mais j'avais une super réputation dans les bars.


Comme je viens de le dire, j'ai peur des aiguilles. Mais bon, j'imagine que ça suffit pas comme description mentale, alors je vais développer un petit peu.
Je vois pas trop par quoi commencer. Je suis pas vraiment un joyeux rigolo, mais ça a pas toujours été comme ça. J'y reviendrais. Je suis pas non plus un grand depressif, même si mon psychiatre s'accordait à me dire le contraire. Ouais je vois un psychiatre. 'Fin je voyais. Selon lui, je suis même carrément dépressif, peut être un peu suicidaire sur les bords à ce qu'il paraît. Il a dit ça un jour parce que je lui ai raconté que je passais tous les soirs quelques minutes à fixer mon Colt 1911, chargé d'une balle. Bon maintenant que je le dis comme ça, c'est vrai que ça fait un peu suicidaire, et j'sais pas, peut être que je le suis. J'accorde plus vraiment la même importance à la vie en général depuis que j'ai quitté la police.
Mais j'ai toujours mon sens de la justice, et je distingue toujours le bien du mal ! C'est juste qu'aujourd'hui, je sais que la justice vient pas forcément d'en haut, et que les forces de l'ordre sont juste une poignée de gars pas moins pourris que les autres qui obéissent à d'autres gars eux non plus pas moins pourris que les autres.
Les années à côtoyer ce que l'homme a de plus dégueulasse m'ont pas rendu spécialement confiant, mais faut pas croire que je suis un gros buvard gris rempli de larmes ! D'abord, j'ai arrêté de boire y a pas longtemps, et ça, ça fait du bien. Je retrouve peu à peu la forme, et faut bien dire ce qui est, le thé noir, ça vaut largement un brandy. Je traîne toujours autant dans les bars, mais ça c'est une déformation professionnelle. Y a des choses qui changent jamais, et les bistrots, c'est là qu'on peut choper toutes les infos qu'on veut.
Faut peut être aussi que je m'explique sur mon look. Je sais bien que j'ai l'air ridicule. Que des fois y a des touristes qui me demandent si y a un salon Derrick ou Colombo. Le truc, c'est que dès mon plus jeune âge, j'étais obsédé de polar. J'ai dévoré tous les Sherlock, les Agatha Christie, les Maurice Leblanc, puis j'me suis mis au polar noir. D'ailleurs, juste entre nous : bordel mais qu'est-ce qu'ils bouffent en Scandinavie ? Les polars norvégiens, islandais, danois, c'est hallucinant comment c'est sombre et glauque comme ambiance ! Mais bref, j'ai toujours eu cette admiration pour ces justiciers enquêteurs, et c'est pour cette raison que j'ai fait des études de criminologie et que je suis entré dans la police. Lorsque tout a merdé quelques années plus tard, je me suis raccroché à ce vieux rêve, et j'ai voulu devenir ce que j'admirais étant gosse, parce tout le reste me dégoutait. Du coup, on dirait que je sors d'un film de Robert Altman, mais après tout, j'aime me déguiser. Ça m'est même arrivé pour les besoins d'une enquête, et qu'est-ce que c'était fun.
Ah ouais, j'ai dû oublier de le mentionner, mais depuis pas très longtemps, je fais dans le privé.


Si vous le voulez bien, je vais passer sur tout ce qui est enfance, la famille, tout ça. C'est juste que sinon on en a pour la journée, et je préfèrerais faire un truc concis et centré sur les détails important. J'suis sûr après tout que vous avez d'autres trucs à faire de votre journée. Bref, vous avez juste besoin de savoir que je suis né à Budapest, et que mon enfance a été plutôt heureuse. Je l'ai dit un peu plus haut, j'étais passionné d'enquêtes policières. Mon père, ouvrier, me parlait souvent de mon grand-père, policier, qui s'était illustré à de nombreuses reprises, et dont la carrière était certie de médailles dorées. De tous mes héros, c'était lui le plus grand, le plus inspirant. Ma mère était une brave pâtissière qui avait émigré d'Irlande toute jeune. J'ai jamais beaucoup entendu parler de ma famille maternelle.

Je me suis engagé sur la voie du justicier. Faire le bien, être plus intelligent que les méchants, avoir la classe et fumer la pipe, ça me foutait des étoiles plein les yeux. C'est donc tout naturellement que je me suis dirigé vers un master en criminologie, qui me permettrait de passer les concours d'inspecteur. Marrant, je parle comme une lettre de motivation, faut que j'arrête.

Je me suis écrasé lamentablement. Faut le savoir, même si c'était mon rêve, j'étais pas vraiment un bon étudiant. Pas rigoureux, assez fainéant sur les bords, je me donnais pas vraiment les moyens de réussir et blâmais le monde entier sauf moi lorsque j'échouais. Bien que dégoûté, je ne renonçais tout de même pas, et entrais dans la police par le bas de l'échelle. Ça a pas été facile, bordel que non. Je veux pas entretenir les stéréotypes, mais c'est clair que la Hongrie donne du boulot aux forces de l'ordre. Pour vous dresser rapidement un tableau, la version officielle est que la criminalité est en baisse en Hongrie, sauf dans le Nord-Est, parce que mentir sur ça, ce serait vraiment prendre les gens pour des gros cons. Mais n'empêche qu'elle baisse que dalle, et à mon époque, c'était peut être pire. Y avait bien tous les réseaux de pornographie qui se développaient, mais bon ça, quand tu vois la place que ça a aujourd'hui... Je vous rappelle que sur l'un des boulevards les plus touristiques de la capitale, vous avez trois quatre Sex Shops avec des néons lumineux de trois étages de haut. Non, le plus dangereux, comme toujours, c'est le crime organisé, la pègre. Et ces réseaux là, mon coco, ils étaient florissants. Et pire que tout, on avait appris qu'ils étaient composés non seulement des cadors du marché noir, mais également d'anciens flics haut-gradés, voire même pas anciens du tout et carrément actuels. Et ça, c'est rude. Parce que d'une part la pègre a un pied chez les flics, en tous cas en ce qui concerne les informations et les connaissances. Mais plus que ça, ça t'attaquais le moral un truc de fou. Quand tu sais que ton mentor est maintenant une des têtes de l'hydre mafieuse, qu'il se torche avec tout ce qu'il t'a enseigné durant tes années de jeunot, ben tu sais plus vraiment ce qui est juste ou pas. Bon ça avait jamais le cas pour moi, mais j'avais quelques collègues de ma génération qui ont pas eu ma veine.

Quoiqu'il en soit, j'ai donc passé cinq ans en uniforme. C'était pas la grande joie, nous les bleus, on servait surtout de chair à administratif, à rapports, à circulation... Ben en fait, c'est facile de vous dresser le tableau. Vous voyez dans les séries policières, genre celle que vous voulez. Ben quand y a eu un meurtre et que les héros vont enquêter, ils envoient des persos secondaires poser des questions rébarbatives dans tout le voisinage. Eux, c'était nous. Quand y a un héros qu'est dans une fusillade, et qui appelle trente-six mille renforts se faire buter pour lui. Eux, c'était nous.

Ce qui est sûr, c'est qu'au moins avec cette formation, j'étais persuadé d'être prêt le jour où on me chargerait de ma première affaire.

Malheureusement, ce jour est bel et bien arrivé.

C'était un gros truc. Trop gros, j'aurais dû me méfier. Un cadre d'entreprise avait été retrouvé mort chez lui, c'était le boulot d'un haut-gradé, d'un mec indépendant et autonome qui se gave de donuts. Et pourtant non, les chefs avaient mis un temps inhabituellement long avant de confier l'enquête. A l'époque, j'avais rien vu venir, mais aujourd'hui j'vois bien que c'était cousu de fils blancs. L'affaire était pas destinée à être résolue. Ils l'avaient filé au premier bizu venu afin de garder le contrôle sur son déroulement. L'histoire banale de l'huile qui pète un plomb et fait un truc vraiment stupide. L'huile avait des amis haut placés. Des amis qui étaient prêts à compromettre le travail de la justice pour lui sauver ses fesses pleines de caviar. Le pire, c'est que ça avait rien d'extraordinaire... Le seul souci, c'est que même si j'étais pas un excellent flic, que je savais pas comment mener mon enquête, j'avais -et j'ai- un bon petit sens de la justice. Et à cause de ça, j'ai essayé de creuser un peu. Au delà de l'étau dans lequel mes patrons corrompus me maintenaient.

Et, fatalement, j'ai fini par voir ce que j'aurais pas dû voir.

Je commençais juste à fréquenter les bars, et à comprendre comment travailler dans ces mines éthyliques d'informations. Un tuyau m'a conduit dans un motel de banlieue. Je devais y rencontrer un potentiel témoin, à qui on aurait ordonné de taire ce qu'il avait vu à propos de mon double meurtre. Quand je suis entré, le pauvre gars gisait exactement dans le même état que le couple : vidés de leur sang, lacérations parallèles à la gorge. Y avait qu'une seule différence par rapport au premier crime : cette fois là le meurtrier était encore là.

Cette image m'a hanté pendant des mois. J'en ai fait des cauchemars qui inspireraient Coppola.

J'avais visiblement dérangé le bonhomme. Il était encore penché sur la victime, la mâchoire recouverte de sang. Sur le coup, je me souviens que je me suis fait la réflexion que des deux, c'était encore le témoin mort qui avait l'air le plus vivant. L'autre avait un visage livide, un peau blanche tirant sur un gris bleuté. Des yeux comme j'en avais vu qu'au zoo chez des bestiaux à griffes et à crocs. Et en parlant de crocs... J'avais déjà vu des cinglés qui se faisaient des implants et modifiaient leurs dents, mais là...

Je sais même pas comment je m'en suis sorti en fait. C'est super flou dans ma tête, le truc a bondit et m'a plaqué contre le mur. Me souviens que quelque chose a craqué à ce moment. Sans un formidable coup de cul, jamais j'aurais pu attraper mon arme, et à réussir à lui loger cinq balles dans le torse avant de déguerpir sans demander mon reste.

A partir de là, vous vous doutez de la suite. Personne ne m'a cru. Redoutant le danger que je représentais pour leur pote à dents longues, mes boss m'ont coulé. Ça été sans pitié. Me suis retrouvé tout en bas de l'échelle. Puis ils ont enfoncé l'échelle dans le sol, et j'ai continué à descendre.

J'ai commencé à picoler. A picoler sérieusement. Et puis à sombrer. Comprenez moi aussi. Non seulement je me rendais lentement compte que toutes mes valeurs, mes croyances, mes cinq années dans la police, tout ça ne servait au final à rien. Ça ne rimait à rien, si de toutes façons l'état major était corrompu. Le système ne fonctionnait pas. Alors pourquoi continuer.

Et, par dessus ça, j'ai pas honte de le dire, j'étais plutôt secoué par le cinglé que j'avais surpris. Je me suis rapidement persuadé que c'était qu'un taré avec trois ou quatre psychoses. un cinglé particulièrement flippant, et costaud. Mais quoique je fasse, il revenait me hantait. Je voyais son visage cadavérique, ses yeux flamboyants, ses dents, ce sang dégoulinant de sa bouche...

J'ai démissionné. Personne m'a retenu. A partir de là, le temps s'est écoulé de manière assez particulière? J'ai erré un peu partout, squattant chez la famille de mon père, chez des amis. Jamais très longtemps au même endroit. J'ai arpenté la Hongrie. J'suis allé dans ces coins où les touristes vont jamais, et où on a l'impression que les gens ont pas été prévenus que le bloc soviétique était tombé.

Je vais vous épargner la narration de cette période. Dites vous juste que j'étais paumé, que je puais l'alcool de patate, et que je survivais sur mes économies et en enchaînant les p'tits boulots tous moisis.

Un jour, y a pas très longtemps d'aujourd'hui, mon père m'appelle. J'avais plutôt coupé les ponts. Ça avait fait du mal à ma petite famille. Et d'ailleurs, ma mère venait d'y passer. C'était la raison de l'appel téléphonique.

On me priait de venir assister aux obsèques, ce qui doublerait la quantité de gens présents. Mes parents étaient pas du genre social, et la famille de mon père avait jamais pu blairer ma p'tite maman. M'enfin bref, ça a été une jolie petite cérémonie. On a ensuite été voir le notaire, parce que ma mère avait apparemment un testament. Ce que je savais pas. Mon paternel qu'a jamais été du genre bavard a baragouiné un truc au sujet de sa belle famille irlandaise, en guise d'explication. 'Fin bref, j'ai rien pigé, parce que j'étais encore saoul de la veille (me jugez pas, j'ai bu pour célébrer la vie de ma génitrice adorée). Le fait est que je me retrouvais avec une petite maison sur les bras, quelque part en Irlande. Ouaip, rien que ça, ma mère me léguait une baraque, en campagne, sur une côte irlandaise. J'étais un peu sur le cul. Le notaire a expliqué que c'était quelque chose comme une vieille maison familiale. Mais alors pourquoi que c'est moi qui la possède, que j'ai demandé. Et que c'était parce qu'histoire de successions successives, qu'il a répondu, que j'étais le seul représentant des Brogan (nom de jeune fille de ma mère) à pouvoir prétendre à la propriété des lieux.

Du coup me voilà. J'y ai pas beaucoup réfléchi, mais en même temps, y avait plus grand chose qui me retenait à Budapest. Mon père restait seul, mais il m'a poussé à partir en même temps.

Là j'viens d'arriver, j'vous ai raconté l'histoire, et juste après j'vais aller voir cette fameuse maison. Paraît qu'elle est pas très loin de la ville, mais quand même du genre paumée en campagne.

On se revoit bientôt du coup.


Comment avez-vous trouvé le forum ?
Via Tour de Jeu, c'est fou à quel point il veut pas crever cet annuaire, il est super vieux ! Je suis super fan de Twilight, donc j'ai cherché un forum avec des vampires dedans.
Ok, je déconnais pour Twilight, s'il vous plaît, me virez pas pour ça.

Le JDR et vous? Idylle récente ou vocation de longue durée?
En ai déjà fait un peu.

Des questions / remarques avant de vous lancer ?
Ça fait plaisir de voir un forum qui s'adapte avec son temps et qui balance des innovations

Bonsoir,

N'oubliez pas de poster une fois votre fiche terminée, ainsi nous pourrons corriger/valider votre personnage plus rapidement

Bienvenue dans notre sombre contrée, même si vous avez failli ne pas faire long feu à cause du film-de-vampires-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom.

N'oubliez pas de signer notre règlement au passage!

Bonne fin de rédaction et à très bientôt,
Mr.X

Désolé d'avoir mis longtemps comme ça, mais ai terminé !

Columbo chez les vampires

Je vais dire à Kain de faire attention la prochaine fois qu'il tuera :p

Je vais laisser aux admins le soin de décortiquer la fiche, mais je vais me charger des détails techniques:

Il faudrait tout d'abord mettre ton avatar à la bonne taille (200x300). Si tu n'as pas le logiciel adéquat, je veux bien m'en charger !

Il faudrait également retirer les indications en italique de la fiche, elles ne sont là que pour guider la conception ^^

Enfin il te manque quelques champs à remplir: "Age apparent", "Taille/Poids" et "Qui suis-je", comme expliqué dans ce topic du règlement

Et bienvenue parmi nous au fait

Bonsoir,

Après examen de la fiche je n'ai rien à redire: l'histoire est claire et bien écrite, il n'y a aucun détail qui ne concorde pas avec le background...

Du coup ne vous reste plus qu'à modifier les détails soulignés par Llylewin et tout sera en ordre!

Merci de l'accueil super efficace !

J'ai réglé les détails. Juste, j'dois être du genre couillon, mais ai pas trouvé les champs "Âge apparent" et "Taille/Poids".

Ai hâte de commencer, ça a l'air chouette ici !

Dans ton profil, tu as l'onglet "feuille de personnage", il te faudra la générer et remplir tous les détails demandés ^^.

C'est dans "Fiche de personnage". Il faut créer cette fiche et tu pourras alors remplir "Age apparent" et "Taille/Poids" Précédée par Mili ^^

Et bienvenue par nous ;D

Waouh, c'tait rapide, merci !

Du coup, j'pense être à jour !

Bonsoir,

Votre fiche est effectivement à jour, du coup il ne me reste plus qu'à vous souhaiter la bienvenue à Galway.

Vous pouvez dès à présent rechercher un partenaire de jeu dans la section "Looking for Rp" ou bien solliciter un parrainage dans ce topic.

En vous souhaitant un bon jeu,
Mr.Hycks

Chouette, un détective privé! Tu fais les filatures pour les dossiers de divorce?

Bienvenue en tout cas

Je vais répondre oui parce que ça sent l'affaire à proposer !

En plus j'aime bien faire ça, ça me permet de suivre des gens chez eux, de les prendre en photo quand ils sont tous nus à plusieurs... Tiens je viens de découvrir que je suis voyeur.

Pensez à moi si vous voulez espionner votre voisine !