Sexe: Masculin

Lieu et date de naissance: Née à Amarillo, le 13 Octobre 1978

Race: Humain


Apparence physique:

Leon Doyle. S'il était acteur, on parlerait de lui comme d'une « gueule ». Peu importe sous quel angle on le prend, ce n'est pas le genre de type à qui l'on confierait ses gosses. Un visage froid et dur, déformé par une balafre partant de l’arête du nez jusqu'au bas de la joue, est noyé dans une longue -pour un homme- chevelure de jais. Une barbe d'apparence mal taillée recouvre la partie basse de sa face. Enfin, ses deux yeux noirs n'aident pas à ajouter un peu de couleur à ce sombre tableau.
Ne parlons même pas de sa tenue vestimentaire: dichromatique, sa garde-robe étant composée de chemises blanches, d'un veston italien gris strié de blanc, d'un jean uniforme noir. Le plus souvent, l'américain porte une cravate trop serrée, mais au nœud impeccable, et les jours de froid ou de pluie, sa longue veste noire est sortie du placard.
Associée à sa carrure ,1m87 pour 81 kilos , la silhouette de Leon aurait parfaitement sa place dans les vieux westerns hollywoodiens -qu'ils soient en couleurs ou non, d'ailleurs- dans le rôle d'un desperado...

Signes distinctifs

Humain jusqu'au fond des tripes. Un diagnostic médical a également relevé un souci au niveau de la perception des couleurs, « handicap » qui ne l'a jamais vraiment dérangé.

Jusqu’à il y a peu, nous aurions pu facilement décrire notre « ami »: cupide, culotté, sans aucune délicatesse ou subtilité, impulsif, insouciant, qui n'hésite pas à recourir à la violence en cas de besoin. Mais les événements récents l'ont changé. Maintenant, nous pourrions peut-être supprimer insouciant. Quitter son pays pour une poignée de billets l'a fait réfléchir sur la notion de prise de risque. Mais malgré tout ses défauts, et bien qu'il se donne du mal pour le cacher, Leon laisse transparaître une qualité: c'est un passionné. Pour tout ce qu'il fait, que ce soit au travail, en loisir ou en amour, que ce soit légal ou non, prenant ou non, il y met tout ce qu'il peut pour réaliser son but. Hélas, ce bon côté peut parfois virer au défaut, car il n'est pas toujours bon de s'obstiner.
En parlant de passion, l'américain à un goût très prononcé pour les armes à feu, surtout les armes de collection, comme les vieux revolvers et carabines, qu'il prend plaisir à rénover. Nostalgie de sa contrée d'origine ? Simple amour de la violence ? Nul ne le sait, même pas lui. Mais les clichés du grand méchant s'arrêtent là. Imaginez la tête du barman quand il commande un milk-shake fraise, sa boisson préférée... ce n'est pas lié à ses croyances, simplement un amour de tout ce qui est laitages, ainsi que les vestiges d'une cuite qui l'empêche de consommer à nouveau de l'alcool. Un vaccin en quelque sorte. Nous pourrions également rajouter que ce n'est pas un grand séducteur. Vous saviez qu'il était plus compliqué d'aborder une fille que de braquer une supérette?Pour lui, c'est le cas. Alors que la deuxième est presque devenue une routine, la première situation lui fait perdre tout ses moyens, et le transforme totalement, la brute devenant encore plus niais qu'une blonde dans les séries américaines. C'est dire l'ampleur du phénomène.
Enfin, il est impossible de faire une liste complète de ce que Leon n'apprécie pas, mais nous allons tenter de faire une liste non exhaustive. Il n'aime pas les chiens (comprenez-le, ça pue, c'est bruyant, c'est chiant à s'occuper, et c'est bien trop affectueux. In-sup-por-ta-ble!), il n'aime pas non plus le poisson, car il tombe toujours sur une arête, et les aliments acides. Les odeurs de parfums trop prononcées le dégoûtent. Mais ce qui le dégoûte le plus, au point de vomir, ce sont les gros porcs qui se tapent des prostitués, surtout quand ils sont mariés. Il n'a rien contre les filles, qui après tout font leur job, mais contre ces tocards qui dilapident l'argent familial pour un plaisir égoïste et éphémère.

Hopital d'Amarillo, le 13 octobre 1978. Une date inintéressante au possible, mais ayant une signification pour notre histoire. En effet, c'est à cette date qu'une femme expulse un parasite de son corps. Le bout de chair violacée, aux proportions grotesques, encore glissant à cause des fluides corporels de la femme, s'agite violemment. Cette chose, que beaucoup nomment stupidement « bébé », est essuyée et placée dans les bras de sa mère, une certaine Madame Doyle. Ses seuls mots furent : « Il s’appellera Leon ». Quelle stupide femme, qui donna à sa progéniture le nom du chien qu’elle aimait bien quand elle était petite, et surtout, pauvre gosse. Heureusement qu'il ne pouvait rien comprendre à sa situation.

En fait, le gamin n'était pas né dans la pire famille qui soit, mais il était très loin d'être dans la meilleure. Une mère limitée sur le plan intellectuel, qui quitta son job de serveuse à mi-temps pour « s'occuper de son fils ». Mais cette femme n'avait jamais réussi à s'occuper de quoi que ce soit très longtemps, que ce fut un chien, un lapin, alors autant vous dire qu'elle baissa vite les bras devant l'ampleur du travail qui lui faisait face, pour ce réfugier dans le grignotage et le rôle de spectatrice télévisuelle à plein temps. Quant au père, il du faire face aux problèmes financiers causés par la décision de la mère, cumulant les petits boulots sous-payés, ce qui eu pour conséquence un absentéisme paternel quasi permanent.

Le jeune Leon vécut dans cette précarité jusqu'à son entrée à l'école. Les instituteurs contactèrent rapidement les services sociaux quand un enfant de six ans, dyslexique, ne s'étant pas lavé depuis certainement plusieurs mois, vint seul à l'école, située à plus de vingt minutes de marche du domicile familial. Une courte enquête révéla une mère en obésité morbide, liée à plusieurs années d'inactivités et d'une addiction à la nourriture, qui ne s'occupait de personne sinon d'elle-même. C'était donc son jeune fils qui devait la laver, incapable celle-ci incapable de sortir de son fauteuil. Quant au père, il fuyait la demeure familiale, et surtout sa femme, et dépensait une grande partie de sa paye pour se retrouver dans les bras des filles de joie.

C'est donc une nouvelle vie qui commença pour le garçon, entre les murs d'un « centre d'accueil de jeunes » d'Amarillo où il put rencontrer d'autres jeunes de son âge, et où il eut ses premiers amis. Mais comme toutes les maisons d'accueil des banlieues, c'était également un lieu qui entraînait les jeunes sur le chemin de la délinquance, les « grands frères » apprenant aux plus jeunes à sillonner les rues, leur faisant découvrir le monde dans ce qu'il y avait de plus violent: vols, agressions, drogues, armes. C'est donc tout naturellement que Leon quitta l'école dès qu'il le put, c'est a dire à 14 ans, et qu'il apprit les ficelles du métier: attaquer les proies faibles, pas forcément les riches, mais ceux qui ne poseront pas de problèmes. C'est pourquoi il privilégia rapidement des cibles très spécifiques: les populations hispaniques non intégrées. Non pas pour des raisons racistes, où du moins, pas à cause de son racisme a lui. Mais le policier texan moyen n'aime pas les immigrés qui ne parlent qu'espagnol. Pas de plaintes en anglais, pas de risque de se faire chopper. Peut-être même que certains flics étaient prêts à lui remettre une médaille. Mais hélas, les Mexicains ont le sang chaud. Peut-être un peu trop, alors qu'il arrivait à la fin de sa deuxième année de sévices. Alors qu’il agressait un « chicano » dans les règles de l'art, la victime frappa dans le vide, près du visage du jeune Doyle. Un coup dans le vide? Alors pourquoi son visage le faisait souffrir au point de hurler? Pour un liquide chaud et ferreux entra dans sa bouche? Un couteau. Ce petit con cachait un couteau. Alors que Leon sortait de la ruelle dans laquelle il se trouvait, aider par un de ses « frangins des rues », en direction de l’hôpital, le reste de la bande décida de finir le travail.
Le lendemain, un cadavre était retrouvé au fond d'une ruelle -avec une pseudo-enquête mise en suspend faute de preuves-, et un avis de recherche concernant un homme d'origine hispanique qui aurait agressé un enfant de 14 ans avec un couteau. Le « coupable » ne fut jamais retrouvé.

Suite à cet incident, plusieurs choses changèrent. Tout d'abord, il eut son surnom. « La Balafre ». Ce surnom plaisait à Leon: classe, et pas besoin d'en expliquer l'origine. Mais il modifia aussi ses activités: propulsé dans le monde des grands, finit les agressions minables sur des pouilleux, fini les «chicanos ». Désormais, il faisait parti de la famille des durs, qui ne se déplacent pas pour moins de cent dollars: l'âge des premiers braquages. C'est donc lors de son seizième anniversaire qu'il tint pour la première fois une arme à feu. Tout de suite, ça l'a botté. Premier braquage, d'une supérette à l'autre bout de la ville. C'est fout comme un pétard merdique lui donnait subitement tous les droits. C'est certainement aussi à cette époque que son amour des armes naquit.
Quelques mois plus tard, lassé de son « saturday night », il se procura un vieux revolver en pièces détachées qu'il remonta petit à petit. Le résultat était au dessus des espérances du bricoleur, à tel point qu'on lui en commanda rapidement, pour une bouchée de pain. Le jeune Doyle n'avait jamais appris à commercer, après tout.

Dix-sept années passèrent. Il était devenu criminel professionnel, armurier clandestins à ses heures perdues, domaines dans lesquels il excellait désormais, ayant échappé à la prison toutes ces années. Son style vestimentaire avait changé, passant du tape-à-l'œil de sa jeunesse à quelque chose de plus sobre et de plus classe. « Le look, c'est ce qui fait qu'on te considère comme un amateur ou un professionnel », qu'il avait dit. Ce n'était pas faux. Il suffit de regarder les films d'action actuels pour comprendre qu'un méchant expérimenté qui se respecte ne peut pas se balader en « sweat-jogging » surtout en couleurs flashy. C'est d'ailleurs ce qu'il tentait d'expliquer aux petits jeunes qui reprenais son business, l’attaque des supérettes, car ayant atteint la trentaine et se dirigeant vers la dizaine suivante, il fait partit des dinosaures de sa profession, la plupart de ses anciens collègues étant rangés ou derrières les barreaux. Mais ce n'était plus la petite frappe d'il y a vingt ans. Désormais, il travaillait à la commande, rarement plus de deux ou trois gros jobs par ans, avec une équipe d'habitués. La pêche au gros, disaient les jeunes. Ce qui était vrai, car ces rares actions, et en arrondissant ses fins de mois avec de la rénovation d'armes anciennes pour des collectionneurs et des passionnés, lui permettaient de vivre convenablement. Un job comme un autre, et même s'il paye pas des masses, au moins, il aimait son job.

Mais ce qui devait arriver arriva. Nous sommes au début du mois de mai. Une attaque de bijouterie rondement menée, comme à leur habitude. Alors que leur receleur s'occupait de revendre la marchandise acquise, et alors que l'équipe attendait leur paiement, un souci montra le bout de son nez. Là où tout plan, aussi théoriquement parfait que possible, atteint sa limite, c'est quand le facteur « humain » entre en jeu. Le 2 mai. 1H30 du matin. Un appel, en provenance du collègue. Un des deux derniers membres de l'équipe venait de se faire chopper par les flics. La raison? Totalement ivre, il avait commencé à se battre et à raconter ses derniers exploits. Putain de soûlard. Il fallait se tirer, et vite, la police sait se montrer rapide quand il y a de la promotion derrière. Rassemblant ses dernières économies -ce crétin n'aurait-il pas pu attendre le paiement avant de picoler?- ainsi qu'un minimum vestimentaire, il prépara sa première valise. La deuxième valise était plus … sentimentale? Il y engouffra ses travaux en cours, à comprendre ses dernières rénovations inachevées, et des pièces détachées, et quelques boites de balles. Sait-on jamais, les flics ne l'auraient pas sans lutter.

Partir. Pour où? Alors qu'il pensait se planquer dans un état voisin, pendant qu'il mangeait son petit dej' dans un fast-food d'Houston, prêt à prendre le premier train pour la Nouvelle Orléans, la sentence tomba. Sa gueule, à la télé. « Avis de recherche fédéral ». Merde, il le prenait pour un mafioso? Les deux autres membres du groupe s'étaient fait choper. Un qui n'avait pas pu être mit au courant -quelle idée de couper son téléphone portable la nuit?- et l'autre qui avait tenté de partir... par l'avion. Il avait toujours fait équipe avec des branques pareils? Surement, mais il se rendait compte de leur niveau de stupidité seulement aujourd'hui. Il n'avait plus le choix. Quitter son pays. Cette idée ne lui avait jamais traversé l'esprit, mais désormais, c'était sa seule option. Le Mexique? Trop risqué, et puis la frontière est désormais très surveillée, sans parler qu'il avait besoin d'une voiture. Partir d'Houston... une idée lui vint : le bateau. Lent, mais discret.
Le lendemain, après avoir dépensé un bon quart de son budget pour se payer la traversée et le silence du capitaine, Leon prenait pour la première fois le bateau. Quelques heures plus tard, après avoir vidé son estomac, découvrant le mal de mer, le fuyard apprit le nom de la première escale du bateau. Une certaine « Galway ». De toute façon, il n'avait pas le choix, il avait payé uniquement pour sortir du territoire. Tant pis pour l'Angleterre, bienvenue Irlande!

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Le JDR et vous? Idylle récente ou vocation de longue durée?
Idylle récente en ce qui concerne le Role-play, c'est a dire depuis environ.. 2 mois (?), peut-être plus, que je m'y investis vraiment. En revanche, le JDR tel que je l'entend est quelque chose que je connais depuis longtemps (et pratique aussi), mais qui n'a rien à voir avec le Role-play.

Des questions / remarques avant de vous lancer ?
Juste deux choses : Mon personnage souhaite ouvrir un commerce illégal (armes à feu « artisanales ») à Galway (commerce qui se mettra en route au fil des RP.) Aussi je souhaite l'aval des administrateurs pour mon affaire.
Ensuite, une remarque peut-être stupide, mais je suis réellement atteint d'altérations de la perception des couleurs (trichromatisme altéré), donc si je me trompe lors des descriptions merci de ne pas m'en vouloir ! (et de me le signaler par Mp si possible!)

Fiche achevée. Je serais disponible dès ce soir pour faire des modifications si besoin il y a.

Bonne lecture.

Bonjour ^^

Encore une fois bienvenue sur le forum !

Une fiche très intéressante à lire, autant l'histoire que le reste ^^.
Perso j'ai rien à redire dessus !

Enfin la fiche tant attendue

Après avoir lu ta fiche j'aurais quelques remarques à faire:
Tu n'as pas rempli les champs de ta fiche de personnage (âge apparent et taille/poids). En parlant d'âge apparent, ton avatar me perturbe un peu, parce qu'il a une tête de quarantenaire bien tassé alors que ton personnage n'en a que 29. Certes, il a une tête un peu dure d'après la description, mais un tel vieillissement est-il voulu?

Enfin une dernière remarque quant à la mise en page: le forum est déjà en justifié avec des marges internes, en rajoutant des balises "blockquote" ça fait du coup doublon et on se retrouve avec une colonne de texte super étroite qui n'est pas très agréable à lire ^^

Voilà voilà, c'était les commentaires de Llyl!

Je dirais même plus que mon personnage à 28 ans, puisqu'il va sur ses 29 ans. (le jour et le mois, c'est très important!). Mais il est vrai que je voulais le faire plus vieux au début. Deux ans de plus. Mais un chose m'a fait changé d'avis: une personne ayant cette profession a tendance à se "ranger"au maximum entre 30 et 40 ans (clichés? surement, mais j'aime ça!) Aussi, j'ai envie de répondre: ça ne me dérange pas de le vieillir, mais pas trop.

(pour ce qui est de la feuille de personnage, je viens de découvrir ça. Cependant, je préfèrerais la remplir une fois mis d'accord sur l'âge du personnage.)

Enfin, pour le blockquote, je trouvais ça mieux pour ma fiche. Mais je ne l'utilise pas en RP "courant." .

Edit: poids/taille sur fiche personnage remplis.

Bonjour,

Avant de vous ouvrir les portes de notre forum, j'ai juste une remarque à vous faire.

Votre fiche est très bien, je n'ai rien à redire dessus sauf pour votre avatar. Je suis assez d'accord avec Llylewin l'âge de votre personnage ne correspond pas avec l'avatar que vous avez choisi. Pour moi il s'approche plus de la quarantaine que de la trentaine (heureusement d'ailleurs j'espère ne pas avoir cette tête quand moi aussi je m'approcherais de la trentaine )
Je comprends votre envie de ne pas trop le vieillir, je vous conseillerais donc de changer l'image votre avatar pour une qui corresponde plus à l'âge indiqué sur votre fiche.

Une fois que cette correction sera faite, c'est avec plaisir que je vous ouvrirais les portes de notre sombre citée.

Après de courtes recherche, le personnage sur l'image est âgé de 38 ans. Mais n'ayant pas envie de changer d'avatar, car celui- me plait particulièrement je prend donc la décision de vieillir mon personnage qui désormais va sur sa 34ième année (ce qui fait un vieillissement de 5 années.), j'espère que ce vieillissement vous semble suffisant (je modifie mon histoire en conséquences)

Edit: modifications faites, y compris sur la fiche personnage.

re-bonsoir,

donc comme je disais précédemment

Citation :

Pour moi il s'approche plus de la quarantaine que de la trentaine

Je vois donc un personnage dont l'âge est plus vers 38 ans (ce qui correspond à l'age de votre avatar d'ailleurs) que 34 ans.

Cependant, je suis un admin assez rigide, et vu que vous avez fait un effort de vieillir votre avatar, je vais me concerter avec les autres membres du staff pour avoir leurs avis.

Je vous tiens aux courant le plus rapidement possible.

Bonsoir,

Nous ne vous oublions pas, nous discutons de votre avatar et vous devriez avoir de nos nouvelles très prochainement, demain soir au plus tard.

Bien à vous,
Mr.X

Après concertation avec les autres membres du staff, nous avons décidé de valider votre personnage, vous avez fait l'effort de le vieillir ce qui ajoute plus de crédibilité avec l'avatar que vous avez choisi.

Je vous ouvre donc les portes de notre sombre cité, amusez vous bien sur Hell's Gate!

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