Sexe: Masculin

Lieu et date de naissance: Je suis né dans l'ancienne Kassel, en Allemagne. J'estime être né en 1295, peut être avant, il faut dire que je ne savais pas trop lire à l'époque...

Race: Vampire


Apparence physique:

Je ne suis pas spécialement vaniteux, mais je suis beau et je plais aux femmes. Et les hommes me voient souvent comme leur ennemi. S’ils savaient combien mon apparence physique m’avait coûté, ils compatiraient.

Une barbe soigné, les cheveux longs et les yeux verts, d’après ce que je vois dans le miroir. Je préfère avoir les cheveux longs car c’est une des choses que mon ancienne femme aimait chez moi. Je me rappelle le temps qu'elle mettait à me les coiffer et les dêmeler. A l’époque je me plaignais que c’était les femmes et les nobles qui avaient l’habitude de ce genre de choses, mais secrètement j’appréciais cette attention. Aucune autre n’a eu l’honneur de faire ce qu’elle a fait pour moi. J’ai été tout d’abord un guerrier, puis un fermier avant que mon corps ne se fige dans la roue du temps. J’ai les muscles qui vont avec ces professions. Je m’habille souvent en costume pour sortir, et en décontracté pour rester à la maison.

L’évolution de la mode m’a toujours parût déconcertante… autant pour les hommes que les femmes (Croyez moi ce ne fut pas facile de s’habituer aux jupes courte des femmes du XXIème siècle). N’ayant aucunes préférences vestimentaires. Je peux mettre des tenues d’époque ou plus modernes, cela dépend de mon humeur. Je m’habitue pourtant peu à peu à m’habiller en Jean’s (une matière fantastique…) J’essai de vivre avec mon temps. Ont fait d’avantage confiance à un homme qui prend soin de son corps c’est ce que l’histoire au fils des siècles m’a appris.

Signes distinctifs

Les diverses cicatrices couturant mon corps sont dûe à mon entraînement dans l’art de la chevalerie que le vampirisme n’a pas pu effacer.


Comment décrire ma personnalité sans sonner arrogant et hautain ? Cela je ne le sais pas. J’aime remettre certaine choses à plus tard. Cynique, passionné et audacieux. J’ai besoin d’une vie bien remplie par toutes sorte d’activités car je ne supporte pas la monotonie. Je suis impatient et me lance souvent avec fougue dans plusieurs projets. Cependant mon intérêt pour ces mêmes projets peut s’essouffler aussi vite qu’il est apparût. Je peux passer pour un marginal parce que j’aime l’aventure. Orgueilleux et susceptible, mes réactions peuvent paraître… agressives dans le cas où je me sens froissé. Je peux devenir possessif et jaloux avec ceux que j’aime. Plusieurs de mes conquêtes m’ont trouvé sentimental et romantique à souhait, mais n’ont pas supporté que je demande ma propre liberté. Quand je suis heureux j’aime communiquer mon bonheur aux autres, je ne laisse personne indifférent.

J’aime prendre des risque, en particulier quand je me sens admiré. Je suis quelqu’un de franc et j’ignore comment cacher mes sentiments et mes émotions. Un jour une de mes rares petite amies humaines m’a demandé pourquoi je ne lui tiens jamais rancune ? Je lui ai répondu qu’avec l’éternité, les petites colères des humains me paraissent vraiment puérile. Moi, Dmitri, j’ai toujours été fidèle en amour et en amitié, quoi qu’il arrive je ne refuserais jamais de l’aide à un proche. J’éprouve souvent le besoin de manifester mon affection et accessoirement jouer les hommes mystérieux. Tantôt chaleureux et amical, je peux devenir égoïste et sans aucune compassion.

J’aime rire, et je pense que j’ai un certain sens de l’humour. Grand optimiste, je ne me fais jamais de soucis. La sécurité peut parfois me paraître sans importance quand il s’agit des affaires humaines. Ce que je désire c’est vivre et réaliser mes rêves aussi exagérés soient-ils.

Je n’apprécie pas les règlements et la discipline, car j’ai ma propre ligne de conduite et rien ne m’obligera à me conformer à la norme. La liberté est le moteur de mon existence.



Histoire :

XIIIème siècle.

Je suis le fruit de l’union d’une nuit de plaisir coupable. Ma mère Ariane, belle comme le soleil et proportionnellement naïve s’est laissé séduire par un marchand Russe de passage. Ses parents l’ont très vite marié après ma naissance pour qu’elle ne jette pas d’avantage la honte sur la famille. Mon beau père Bernhard était un homme très amoureux d’elle, il à fait en sorte qu’elle ne manque de rien. Malheureusement elle est morte en couche lors de la naissance de mes deux sœurs, des jumelles Anika et Anina. Deux petites diablesses gâtées jusqu'à la moelle par un père qui voyait en elles le fantôme de ma défunte mère. Lorsque j’eu douze ans je fus placé chez un noble qui pourvut à mon éducation et me permit de devenir écuyer. Ce ne fut pas facile comme apprentissage la chevalerie, et tandis que j’écris ces lignes, je me rappelle de toutes les fois où j’ai échappé de peu à la mort quand le cheval qui m’a été confié s’est mis à rué ou encore quand j’ai failli être estropié (c’est une autre histoire que je relaterais plus tard). Être couvert de plaie et de bosse ne m’a jamais fait peur et j’ai tenu bon jusqu'à mes dix neuf ans pour être adoubé. J’ai reçu mon destrier, mes éperons, mon épée et mon manteau par un baron dont le nom ne mérite plus vraiment d’être mentionné. Il m’a banni quand j’ai approché sa fille d’un peu trop près…

Je suis donc revenu chez moi dans le déshonneur et pour assister aux mariages de mes deux sœurs qui ont, sans que je le comprenne, mis la main sur deux riches notables de la ville.
Très content pour elles je leurs offrit mes meilleurs vœux, c’est à ce moment que je décidais donc de parcourir le monde en quête d’aventure.

Je me suis tout d’abord rendu en Russie, où j’ai rencontré une troupe de danseurs et de ménestrels qui demandait protection sur le chemin. La très jolie chef de groupe me paya de sa personne pour que je les défende contre loups et brigand. Et ma foi je n’ai jamais regretté d’avoir pu étreindre femme aussi douce. Bien quelle m’est proposé de me joindre à elle à vie, j’ai été contraint de refuser quand les autres hommes de sa troupe, furieux de jalousie, m’ont expressément demandé de filer. Après en avoir assommé quelques un, je suis parti.

C’est pendant une fête de l’hiver en Russie que ma vie a basculée. J’ai rencontré Aleksandra, j’aurais tué pour cette femme, nous étions amoureux. Brune, les yeux bleus, petite, une poitrine voluptueuse et sa voix sonnait comme un carillon. Nous nous marièrent dans son village. Nous étions heureux, je travaillais dans les champs et j’étais aussi un tanneur de cuir. Nôtre première fille Ariane (en l’honneur de ma mère), naquit très peu de temps après notre mariage. Les Hivers n’étaient pas facile, j’évitais également de me faire enrôler par les seigneurs dans leurs armées. J’étais heureux, j’avais Aleksandra, Ariane et un commerce prospère. Mon second enfant naquit deux années après Ariane, mon fils Demyan. Je n’étais pas particulièrement croyant à l’époque, mais je priais pour que rien ne vienne briser la vie que nous menions.

Mais c’était trop demandé.

Je ne suis pas particulièrement vaniteux à propos de mon apparence physique. Mais je plais aux femmes. Celles du village se retournaient toujours sur mon passage, ma clientèle était le plus souvent féminine. Aleksandra en était consciente et avait toujours secrètement peur que je la trompe pour une femme plus jeune ou plus jolie. Mais j’avais aussi une certaine aisance à toujours la rassurer sur ma fidélité et pour moi il n’y avait pas de femme plus belle qu'elle dans le royaume ou à des lieux à la ronde.

Le jour où le vampire Anouchka Smirnov s’est pris d’intérêt pour moi fut la fin de mon idylle avec le monde de la lumière. Elle avait d’abord tenté de me séduire et je l’avais rapidement éconduite. Ensuite elle à tenté de m’acheter, j’ai encore refusé. Mais Anouchka n’aimait pas qu’on lui dise non. Elle avait menacé de s’en prendre à ma famille. Je m’étais confié à Aleksandra, ma femme s’était donc décidé, nous devions fuir. Nous campions dans la forêt quand nous nous sommes fait attaquer. J’ai tué plus d’hommes en une soirée que dans mon ancienne vie de chevalier itinérant. Nous avons atteint ce qui est devenu l’Autriche et nous nous y sommes installé. Mais l’obsession d’Anouchka ne semblait pas avoir disparue. Elle m’envoya deux assassins que j’éliminais très vite avant de me décider à retourner en Russie pour mettre un terme à toute cette histoire. La dernière chose que j’ai faite c’est laisser un mot à Aleksandra lui disant que je m’en allais décapiter Anouchka et lui rapporter sa tête sur un plateau.

C’était une erreur, car c’est exactement ce qu’elle attendait. Je me suis introduit dans son château, j'ai tué ses hommes, j’ai même achevé les domestiques. Mais au final elle m’a attrapé par le cou et a planté ses crocs dans magorge. Je ne me rappelle plus très bien de ce qui c’est passé par la suite, quand je me suis réveillé je n’étais plus le même et plus décevant encore je me trouvais dans le lit d’Anouchka. Elle m’avait expliqué ce quelle m’a fait avec une assurance morbide, et elle me forçait à copuler avec elle, en me menaçant de rendre visite à ma famille. Anouchka me nourrissait de sang juste assez pour que je ne meure pas. Je désespérais et le temps filait sans que je m’en rende compte. Je n’étais qu’un jouet pour elle. J’étais parti tuer un monstre et au final j’en suis devenu un. Qui combat des monstres doit faire attention qu’il n’en devient pas un. Friedrich Nietzche n’a jamais eu autant raison.

Après avoir feint de m’être résout à mon sort et de prendre plaisir dans les petits jeux d’Anouchka. Je me suis nourris d’un de ces domestiques et tué ma tortionnaire alors qu’elle me croyait faible. C’était une sensation tout à fait plaisante… mais à l’époque je m’efforçais de m’accrocher à mon humanité.

Aleksandra me croyait mort. Mais je suis revenu une nuit devant elle je lui ai expliqué ce qui m’est arrivé. Tout autres femmes se serait enfuit et m’aurait traité de démon, mais pas mon Aleksandra. Elle m’avait fait une pièce au grenier qui protège de la lumière, elle me donnait à boire de son propre sang et parfois du sang animal. Les enfants grandissaient sans que je change moi-même. J’ai vu ma femme et mes enfants mourir et j’ai pris soin des enfants de mes enfants.


De nos jours.

Voir le monde changer n’a pas été facile. Il a toujours fallut que je m’adapte et que je vive dans le plus grand secret. J’ai rencontré très peu d’autres vampires et croyez moi, avoir connu Anouchka m’a suffit. En Huit cent années, j’en ai vu des choses, des humains aux dons peu communs, des lycans et autres créatures. Connue des femmes dont l’attrait pour le surnaturel les a menées droit à moi, beaucoup ont surtout été attirée par l’immortalité. Mais je ne souhaite cela à personne. Voir ses proches mourir l’un après l’autre, devenir un parasite qui se nourrit de sang humain. Elles ne comprenaient jamais mon appréhension. A ces moments là, Aleksandra me manquait beaucoup, je regrette de ne pas lui avoir offert l’immortalité. J’ai été surpris d’apprendre qu’Anouchka avait des amis. Des amis puissants qui ont mit bien huit ans à me traquer et que le fait que je ne reste jamais à un endroit de cinquante ans n’avait pas facilité les choses. Je me suis donc mis à la recherche d’un sanctuaire. Et par mes contacts je l’ai trouvé. En Irlande.
Je me suis installé dans une ville où les êtres comme moi ne sont pas rares, Galway. Mais je reste seul encore et toujours. Peut être que cela doit changer ? Me faire des amis de ma race ne me tuerait pas, non ?





Comment avez-vous trouvé le forum ?

Vigdis m’a forc… ma convaincue de venir, alors je la suis.

Le JDR et vous? Idylle récente ou vocation de longue durée?

Cela fait cinq ans que je le pratique, mais je m’étais mis en pause pour me consacrer à l’écriture de mes nouvelles et autres romans.

Des questions / remarques avant de vous lancer ?

Je trouve le contenu du forum complet et l’ambiance y est sympa.

Bonsoir, et bienvenue parmi nous.

Votre présentation est bien rédigée, mais il y a plusieurs points à revoir:

1) Vous avez oublié de signer le Contrat des Damnés

2) Vous devez également remplir les champs "Qui suis-je" et ceux de la feuille de personnage comme expliqué ICI.

3) Votre texte est parsemé de fautes d'orthographe surtout au niveau des accords (adjectifs au féminin, confusion er/é) et de quelques tournures de phrase hasardeuses comme ici "A l’époque je me plaignais que c’était les femmes qui et les nobles qui ont l’habitue de ce genre de choses". Une bonne relecture vous permettra de rectifier tout cela!

En vous souhaitant une bonne édition,
Mr.X

Voila j'ai changer, dite moi si tout ok. Je changerais si c'est toujours pas bon, sachant que j'ai toujours du mal a voir mes fautes.

Bonjour,

Alors vous avez déjà appliqué toute les corrections nécessaires pour la validation de votre fiche. Cependant il me reste un dernier point à voir avant de vous ouvrir les portes de notre sombre cité.

Citation :

Je m’accoutume pourtant peu à peu à m’habiller en Jean’s moulant un peu bas pour ma taille et au T-shirt qui moule les muscles de mon torse. On fait d’avantage confiance à un homme qui prend soin de son corps c’est ce que l’histoire au fils des siècles m’a appris.

Cette description physique ne correspond pas à l'image de votre avatar. Tous comme je l'ai dit à un autre joueur, l'avatar est un moyen de visualiser votre personnage au quotidien, et la je le visualise dans une tenue faisant plus référence à un chevalier hors temps, qu'à une personne cherchant à s’accommoder avec son époque.

J'ai modifié la description physique.

Bonsoir,

Maintenant que cette histoire de look est réglée, je vous souhaite la bienvenue à Galway!

Vous pouvez désormais commencer à jouer et faire une demande de jeu dans la section Looking for Rp.

En vous souhaitant un agréable séjour,
Mr.X

Bienvenue Dmitri!

Enfin seulement si tu perds cette sale manie de séquestrer mes employées, sinon on ne va pas être copains