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 Anÿa Harrington

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MessageSujet: Anÿa Harrington   Anÿa Harrington Icon_minitimeJeu 14 Fév 2013 - 9:34


Anÿa, HARRINGTON

Sexe: Féminin

Lieu et date de naissance: Auchengate, 12 avril 1920

Race: Vampire

Anÿa Harrington Barre_14

Apparence physique:

Avec ses mensurations plus qu’alléchantes, Anÿa pourrait facilement se faire passer pour un mannequin. Du haut de son mètre 74, elle accuse un petit 60 kilos qui fait d’elle une femme avec des formes bien placées. La partie de son corps qui fait, bien souvent, rêver les hommes sont ses jambes : elles semblent interminables et sont souvent, pour ne pas dire toujours, mises en avant grâce à des escarpins aux talons vertigineux.

A côté de sa silhouette élancée, Anÿa possède ce que l’on appelle couramment une couronne de feu ; en effet, elle possède une longue chevelure d’un roux éclatant. Ses cheveux sont bien souvent lisses bien qu’elle aime encore porter les boucles. Ses traits fins et sa chevelure mettent en avant des yeux d’un bleu océanique ; il arrive assez fréquemment que les hommes se noient dans leurs profondeurs. Elle aime jouer avec le regard et a appris à capter l’attention d’une personne d’un simple clignement. De par sa nature, elle donne régulièrement l’impression de regarder les gens de haut, d’être hautaine. Ses lèvres, bien que fines, peuvent se révéler sensuelles à souhait ; un rehaussement léger et bien placé peut être tout aussi aguicheur que des paroles ô combien révélatrices.

Anÿa aime être habillée de façon chic et élégante. Vous ne la verrez jamais vêtue d’un simple jeans surmonté d’une blouse tout ce qu’il y a de banale. Non, Anÿa fait extrêmement attention aux apparences et privilégiera toujours des tenues qui la mettront en avant. Plutôt coquette, elle aime porter des vêtements prêts du corps et des décolletés sans jamais tomber dans le vulgaire. Il ne faudrait pas non plus que l’on la prenne pour une simple fille de joie.

De par ses origines, et ses escarpins hauts perchés, Anÿa a une démarche qui pourrait être qualifiée de féline. Chacun de ses pas est calculé et aucun geste n’est posé au hasard. Assez joueuse, elle aime plaire aux hommes et saura se mettre en avant à travers un déhanché discret mais suffisant.


Anÿa Harrington Barre_15

Ayant toujours vécu sous la coupe de ses parents pendant son enfance, Anÿa n’a jamais véritablement pu partir à la rencontre d’autres personnes, d’autres horizons. De ce faite, elle a calqué, inconsciemment, son caractère sur celui de ses parents. Cela donne un mélange quelque peu détonnant… un père vampire, 100% pure souche garantie, hautain et une mère vampire, anciennement humaine, tournée vers son prochain. Imaginez un peu le cocktail…

Pendant la période qui se rapproche le plus de l’adolescence, Anÿa ne savait pas trop sur quel pied danser. Elle était tiraillée entre l’envie de plaire à son père en prenant les gens de haut, en faisant attention à ses relations et l’envie de plaire à sa mère en aidant son prochain, en étant une bonne citoyenne.

Au bout du compte, son histoire forgea son caractère à son insu. Anÿa est donc devenue une vampire hautaine, sans pitié, froide et distante. Il est rare qu’elle adresse la parole aux simples mortels, ne les considérant que comme de la nourriture. Néanmoins, elle une excellente comédienne et saura sauver les apparences en public et en se montrant prévoyante et attentionnée envers son prochain. Séductrice et sensuelle, elle aime attirer l’attention de la gente masculine. Également joueuse, elle aime relever les défis et se surpasser pour obtenir ce qu’elle désire.

A côté de ça, Anÿa a toujours été élevée dans l’idée que les vampires sont la race supérieure et que les humains ne sont présents que pour servir de nourriture. N’ayant jamais été confrontée aux autres races surnaturelles, elle ne sait pas trop que penser des lycanthropes et autres ondins.

Coquette, elle aime prendre soin d’elle et faire les boutiques pour trouver des vêtements de rêve. Elle dépense beaucoup d’argent dans les magasins d’habits et de chaussures. Elle aime également se faire bichonner chez l’esthéticienne. Elle profite bien des nouveautés dues à l’époque, des choses qui n’existaient pas en l’an 1920… de par cette partie de sa personnalité, elle prendra toujours du temps pour se préparer lorsqu’elle sort (ne serait-ce que sortir de chez elle).

Anÿa Harrington Barre_16

Prologue
Transylvanie, 1850
« Aujourd’hui, je me suis promené au village. Je n’en pouvais plus de rester cloîtrer dans cette prison dorée. J’ai donc tenu tête à père et suis parvenu à obtenir son accord. Tu n’imagines pas à quel point je suis heureux cher journal. C’est la première fois que je suis autorisé à quitter la demeure sans chaperon ! Il était grand temps car je commençais à étouffer là-haut. Le village en contre bas semble si vivant, si attirant quand je le regarde depuis la fenêtre de ma chambre… je me languis que la fête commence que je puisse rencontrer des humains, des mortels qui ignorent tout de ma nature. »

J’entendis la cloche, accrochée à l’entrée de la taverne, retentir, signifiant que je n’étais plus seul. Je fermai donc mon journal et le rangeai soigneusement dans la poche intérieure de ma veste. Un homme bien bâti fit son entrée, suivi d’une horde d’autres hommes et de groupies. Le premier à être entré semble être le meneur, probablement l’homme que toutes les femmes du village s’arrachent. D’autres groupes suivent et la taverne devient vite bondée. Tous s’installent mais le premier groupe continue sur sa lancée et « le chef », comme je viens de le surnommer, s’approche de moi.

- Et l’étranger ! Tu es à ma place !

Je regarde cet homme que je trouve soudainement grossier, ne comprenant pas pourquoi tant de femmes se languissent de lui.

- Milles excuses monsieur mais j’étais ici avant même votre arrivée. Je ne vois donc pas en quoi cette table vous appartient.

Le silence se fait soudainement dans la taverne. Je comprends alors mon erreur mais suis bien décidé à ne pas me laisser marcher sur les pieds par un vulgaire homme, un mortel. Ce dernier redresse les épaules et s’approche encore plus d’un air menaçant.

- T’as pas dû comprendre… tu es à ma place.

Je soutiens son regard et ne bouge pas d’un poil. Il semblerait que j’aies quelque peu bousculé son égo. Bien décidé à ne pas se laisser faire, il m’empoigne par l’encolure de ma veste et me secoue violement. Ce qu’il ignore alors, c’est que j’ai reçu un entraînement au combat et à l’auto-défense. Appuyant à un endroit clé de son poignet, je le force à me lâcher tout en le faisant se mettre à genou. Je le ridiculise devant la moitié du village. Je n’aurais peut-être pas dû… mais il est maintenant trop tard, je ne peux plus reculer. Je ne peux décemment pas me défiler, père ne me le pardonnerait jamais.

Les groupies s’écartent tandis que les autres hommes s’avancent. L’air est saturé de menaces implicites. Je ne me souviens pas de la suite si ce n’est que je suis le seul à être sorti vivant de cette taverne…

Une nouvelle région, une nouvelle vie

Grande-Bretagne, 1860

Je suis Nicolaï Vladislaus, 2ème du nom. J’ai été obligé de quitter ma terre natale pour survivre. J’ai été banni de chez moi par des gens qui nous prenaient pour des monstres. Tout cela à cause d’une stupide soirée, une grosse erreur.

Mon père m’a sévèrement fait comprendre que nous nous devions de rester discrets, que les mortels ne devaient pas avoir connaissance de notre condition de vampire, d’immortels. Je comprends alors pourquoi je n’avais jamais le droit de descendre seul au village, jamais le droit de rencontrer des personnes extérieures au cercle d’amis de mon père. Fort heureusement, l’un d’eux, un anglais, a su nous accueillir et nous sauvés des griffes des habitants de notre village.

C’est donc comme cela que nous nous sommes retrouvés dans un petit village nommé Auchengate. Afin que les gens d’ici ne posent pas trop de questions, nous avons dû changer de nom ; désormais, je me nomme Nicolaï Harrington. Etant bien décidé à ne pas reproduire les mêmes erreurs du passé, je m’éloigne des mortels ne les approchant que pour me nourrir. Je deviens aigre et hautain. Mon père semble se féliciter de cette nouvelle attitude vis-à-vis des humains.

Un jour, alors que notre ami donnait une grande soirée, comme il semblait être coutume de le faire, je la vis. Une beauté à vous couper le souffle. Elle était simplement vêtue d’une longue robe, sans fioritures, qui mettant en avant sa silhouette parfaite. Sa chevelure de feu attirait les regards mais ce que j’avais instantanément remarqué chez elle était ses yeux : deux perles d’un bleu éclatant. Sans véritablement savoir ce que je faisais, je m’avançai jusqu’à elle et entamai la discussion. C’est ainsi que je fis la connaissance de la charmante Charley.

Montre-moi ton cœur, je te dirai qui tu es

Auchengate, 1920

J’avais fini par gagner le cœur de la plus belle des femmes qui m’ai été donné de rencontré : Charley. Nous avions fini par nous acoquiner l’un de l’autre. Dans les premiers temps, j’avais été réticent à l’idée de lui demander sa main ; comment aurais-je pu m’attacher de quelque façon que ce soit à un être si fragile et destiné à mourir ? Mais mon amour pour elle avait fini par prendre le dessus et nous nous sommes unis un 16 juillet 1861. Auchengate étant une bourgade paisible, notre union a fait grand bruit et était probablement devenue l’attraction de l’année. Je parle de mon mariage comme d’une vulgaire fête foraine tout simplement parce que mes les habitants avaient invités toute leur famille, venue d’ici et d’ailleurs, uniquement pour célébrer ce mariage. Je ne comprendrai jamais rien aux humains…

Très vite, il s’est avéré que je parvenais à user de subterfuges pour que mon épouse ne se doute pas de ma véritable nature. Jusqu’au jour où elle tomba malade. Le médecin diagnostiqua un cancer 5 ans après notre union. Ne pouvant me résoudre à laisser ma femme mourir, je décidai de la transformer. Malheureusement, mon père ne m’avait jamais appris les subtilités de la transformation d’un humain. Il me fallut près de 5 années supplémentaires pour le convaincre de m’apprendre. Ce qu’il fit. C’est ainsi que mon épouse devint vampire en 1871. Au début, nous prétendions que la maladie avait gagné du terrain afin de tenir les curieux éloignés, laissant ainsi le temps à Charley de s’adapter à sa nouvelle condition. Les années passèrent et elle apprit à cacher sa véritable nature en société.

Un jour, elle m’avoua qu’elle avait toujours rêvé, de son vivant, devenir mère. Nous tentâmes à moultes reprises de donner la vie mais tous nos essais se concluaient par un échec qui plongeait ma femme dans une dépression. C’est alors qu’un jour, nous remarquâmes que son ventre s’était arrondi et nous fîmes le rapprochement avec ses nausées matinales : nous avions enfin réussi, Charley était enceinte. Mon père la prit alors sous sa coupe et surveilla personnellement sa grossesse, mettant tout en œuvre pour que les besoins en sang de sa belle-fille soient comblés.

Un matin d’avril 1920, nous avons accueilli ma fille : Anÿa Harrington.

Orpheline tu es, orpheline tu resteras
Auchengate, 1970
Je m’appelle Anÿa Harrington et je suis née vampire. Aujourd’hui âgée de 50 ans, j’en parais 20 tout au plus. J’ai vu le jour dans un petit village situé sur la côte Nord-Ouest de la Grande-Bretagne, au sud d’Irvine. J’ai vécu une enfance paisible, ne voyant le monde extérieur qu’à de rares occasions. Généralement, nous n’allions pas chercher le dîner, c’est lui qui venait à nous. J’ai donc appris à me nourrir jusqu’à satiété, tuant parfois quelques humains pour subvenir à mes besoins. Pour moi, cela semble normal ; je suis une prédatrice placée tout en haut de la chaîne alimentaire. Comment peut-on nous blâmer de tuer nos proies alors que les humains tuent des vaches et bien d’autres animaux pour se nourrir ? Pour nous vampires, ça revient exactement au même.

Mes parents m’ont toujours tenue sous leur coupe, sans jamais vraiment me laisser une chance d’explorer le monde. Je m’étais toujours promis de voyager, d’explorer, de partir à l’aventure. J’avais fichtrement besoin de bouger ! Mais lorsque la seconde guerre mondiale éclata, on ne me laissa pas le choix. Mon père qui semblait encore jeune fut réquisitionné pour l’armée anglaise. Il nous envoyait des courriers pour nous rassurer. Je savais mon père fort et rapide, mais malheureusement il ne fut pas plus rapide que la bombe qui l’emporta à jamais.

Ma mère et moi restâmes donc seules à Auchengate. Les années passaient et ma mère était inconsolable. En 1970, une troupe de fous furieux vinrent frapper à notre porte en hurlant au monstre. Charley comprit immédiatement que le masque était tombé et qu’il nous fallait partir au plus vite. La maison étant encerclée, elle décida de se sacrifier pour me laisser une chance…

Ô laissez Lucie faire, elle a besoin de plaire
Dracula, l’amour plus fort que la haine
Le Monde, 2000
Après le sacrifice de ma mère pour me sauver, je décidai de prendre mon baluchon et de ne pas demander mon reste. Je courus aussi vite que possible laissant derrière moi une foule en rage et une maison en feu. Je fis donc le serment de parcourir le monde en hommage à mes parents.

C’est ainsi que mon périple commença. Seule, sans vraiment savoir quoi faire, où aller. Heureusement, le banquier de mes parents était également un vampire. Il m’hébergea ce jour-là et me remit le contenu du coffre qui me revenait de droit. A présent, j’étais seule, perdue et riche. Il faut avouer que ça aide pas mal d’avoir de l’argent, beaucoup d’argent.

Je devins alors une mondaine aventurière et audacieuse. Je me dérogeai à toutes les règles de bienséance et usai de mes charmes pour attirer mes proies. Pauvres mortels, ils se laissent vite appâter… je traversai le monde de part en part, de ville en ville, ne restant jamais trop longtemps à la même place de peur que l’on ne découvre ma véritable nature. Ô combien les gens jacassaient-ils sur mon passage ! « Comment diable une jeune fille comme elle peut être aussi riche ? », « C’est probablement une fille de joie de luxe… », « Regardez-moi ça ! Une vraie m’as-tu-vu ! »… et j’en passe.

A force d’entendre les médisances des mortels, je ne leur prêtai plus aucune attention hormis lorsque j’avais besoin de me nourrir. Parfois, je m’amusais à boire jusqu’à la limite, laissant ma proie à moitié morte et terrorisée à vie par l’expérience qu’elle venait de vivre. Je trouvai cela amusant et divertissant de détruire la vie d’un humain comme eux avaient détruit la mienne. Je devins vite hautaine, prétentieuse comme les gens d’aujourd’hui disent, aigrie et éprise d’une vive envie de faire du mal aux mortels. Etant seule, je ne pouvais malheureusement pas succomber à la tentation ; je devais rester discrète si je voulais que ma tête reste bien accrochée à mes épaules.

Je suis l’instrument que Dieu utilise pour emmerder les gens.
Tee-shirt
Le Monde, 2007
Un jour, alors que j’errais dans les rues d’une Australie fêtant une occasion quelconque jusqu’à tard dans la nuit, j’entendis parler de la ville de Galway. Les vampires qui discutaient à voix basse sentirent ma présence et se turent. Malgré mes tentatives pour en savoir plus, je restai plantée là avec uniquement un nom et la promesse d’un endroit où les êtres surnaturels seraient les bienvenus.

Frustrée, je fis des recherches pour tenter d’en savoir un maximum sur cette ville ô combien prometteuse. Je fus alors forcée de constater qu’on aurait pu la confondre avec une ville fantôme. Certes, elle existait sur la carte et on pouvait facilement s’y rendre mais bizarrement il n’y avait pas beaucoup d’informations intéressantes concernant la vie qui étaient divulguées. Ma curiosité piquée à vif, je pris mes affaires et me mis en route pour un nouveau voyage.

A travers mon nouveau périple, j’en profitai pour détruire quelques vies supplémentaires. Je devenais très bonne à ce jeu-là et j’appréciais de plus en plus usé de sensualité, et non de vulgarité, pour attirer mes proies dans les filets que j’avais tendus. Etant une nomade, j’eus quelques difficultés à traverser le monde ; les gens se méfiaient de moi comme de la peste. J’étais une étrangère que personne ne connaissait. Les seuls qui se souvenaient de moi croyaient devenir fous sur mon passage : j’étais jeune et pleine de vie tandis qu’ils étaient devenus de vieux personnages obligés d’être aidés pour les gestes de la vie courante. D’une certaine manière, je détruisais leur vie sans véritablement chercher à le faire. Qui pourrait croire une personne d’une nonantaine d’années lorsqu’il vous dit que lui et moi avons plus ou moins le même âge ?

Je fis halte dans plusieurs pays où je pris du bon temps sous bien des sens. On dit toujours « Sea, sun and sex » et bien on pourrait dire que là c’était plutôt : « Blood, sensuality and… blood ». J’en profitai pour observer les mortels qui m’entouraient en prenant note que les apparences jouaient énormément. Etant donné que j’adorais faire grande impression, je pris l’habitude de me vêtir uniquement de vêtements chics.

Déguisé(e) en citoyen responsable. Malin, non ?
Tee-shirt
Galway, de nos jours
Après un interminable voyage, non dénué de distractions je vous l’accorde, je trouvai enfin mon chemin jusqu’à la terre promise : Galway. J’y découvris bien vite que les êtres surnaturels étaient bien plus nombreux que je ne l’avais jamais imaginé. J’en restai sans voix.

Après avoir fait un rapide tour d’une partie de la ville, je décidai de tenter de ma chance et de déposer mes bagages. De plus, j’avais entendu parler d’une organisation bien décidée à faire en sorte que les vampires soient au sommet de la pyramide humaine. Et j’étais fichtrement bien décidée à vérifier si c’était réel…

Anÿa Harrington Barre_18

Comment avez-vous trouvé le forum ?
En cherchant un peu sur Google, j'ai trouvé un annuaire de forum Rpg qui m'a menée droit à vous.

Le JDR et vous? Idylle récente ou vocation de longue durée? Cela fait maintenant 10 ans que je suis dans le JDR. Par contre, j'ai fait pas mal de pauses; la dernière étant de longue durée, je vous serai gré d'être indulgents avec moi au début xD Bah oui, faut le temps que je remonte en selle ^^

Des questions / remarques avant de vous lancer ? Nop m'dame!


Dernière édition par Anÿa Harrington le Jeu 14 Fév 2013 - 15:49, édité 8 fois
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Llylewin
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MessageSujet: Re: Anÿa Harrington   Anÿa Harrington Icon_minitimeJeu 14 Fév 2013 - 10:55

Bonjour, et bienvenue!

N'oublie pas de poster à la suite pour signaler quand la ficher sera terminée, que les admins puissent l'examiner rapidement Smile
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MessageSujet: Re: Anÿa Harrington   Anÿa Harrington Icon_minitimeJeu 14 Fév 2013 - 15:51

Llylewin a écrit:
Bonjour, et bienvenue!

N'oublie pas de poster à la suite pour signaler quand la ficher sera terminée, que les admins puissent l'examiner rapidement Smile

Bonjour et merci pour ton accueil ^^
Voilà je pense n'avoir rien oublié, du moins je l'espère!

Si vous voyez des incohérences dans l'histoire n'hésitez pas à me taper sur les doigts histoire que je corrige ça vite fait xD
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Gianna Giacometti
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MessageSujet: Re: Anÿa Harrington   Anÿa Harrington Icon_minitimeVen 15 Fév 2013 - 19:54

Bonsoir,

Après lecture de votre fiche, tout me paraît en règles: l'histoire est bien écrite (malgré quelques fautes d'orthographe qui se sont glissées dans le texte) et cohérente, je vous souhaite donc la bienvenue parmi nous!

Vous pouvez dès à présent faire une demande de parrainage ou bien vous lancer directement et rechercher un partenaire de jeu dans la section Looking for Rp.

En vous souhaitant un très bon jeu,
Gianna
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Juliet Ahston
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MessageSujet: Re: Anÿa Harrington   Anÿa Harrington Icon_minitimeVen 15 Fév 2013 - 21:50

Officiellement bienvenue peut-être future collègue de la Steel Wink
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Llylewin
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MessageSujet: Re: Anÿa Harrington   Anÿa Harrington Icon_minitimeVen 15 Fév 2013 - 22:16

Bienvenue! On va pouvoir publier la photo en une du journal maintenant Anÿa Harrington 248604097
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MessageSujet: Re: Anÿa Harrington   Anÿa Harrington Icon_minitimeSam 16 Fév 2013 - 9:32

Merci les filles Very Happy
Ah oui je vais faire une entrée fracassante dans l'histoire de Galway xD
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Milicent
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Milicent

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MessageSujet: Re: Anÿa Harrington   Anÿa Harrington Icon_minitimeSam 16 Fév 2013 - 9:58

Bienvenue et bonne arrivée fracassante alors Anÿa Harrington 660555693
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MessageSujet: Re: Anÿa Harrington   Anÿa Harrington Icon_minitimeSam 16 Fév 2013 - 10:30

Merci pour l'accueil Very Happy
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MessageSujet: Re: Anÿa Harrington   Anÿa Harrington Icon_minitime

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